détails

L’islam a développé les prescriptions rituelles concernant la vie quotidienne au point d’en faire la loi civile, avec un barème de sanctions encore appliquées aujourd’hui : un musulman se convertissant à une autre religion est mis à mort, un assassin volontaire est mis à mort, on coupe la main d’un voleur, on fouette les coupables d’adultères 24:2 (mais comme un hadith rapporte que Mohamed a fait lapider une femme adultère, on peut les lapider)…. mais cela dépend si le coupable reconnait son crime, et si la victime lui pardonne, … (ainsi un violeur qui épouse sa victime ne sera pas puni [11], et sinon, c’est la victime qui se retrouve accusée de relations sexuelles illicites, alors que le violeur s’en sort libre faute des 4 témoins pouvant prouver la pénétration (mais si une femme peut produire quatre témoins masculins de son viol, c’est qu’elle a visiblement été victime d’une tournante !) . Une grossesse consécutive à un viol est même considérée comme l’aveu du consentement de la femme). Les homosexuels sont mis à mort de manière particulièrement cruelle. La thora contient aussi ce genre de sanctions, mais aucun état ne rend la justice en l’appliquant, par contre la charria est dans la constitution des états islamiques, et elle s’applique, souvent à la lettre.

La loi islamique vient directement de dieu, et n’a donc pas lieu d’évoluer ; toute interrogation sur la teneur d’un texte, qui remet en doute la validité de la solution déjà donnée et acceptée par le consensus infaillible des docteurs de la foi, est une bid’ah, une innovation, c’est-à dire une hérésie. En d’autres termes, le progrès moral de la société est extrêmement difficile.

Quand un verset dérange, car trop éloigné de la morale commune, c’est-à-dire lorsqu’il est contre-productif vis-à-vis des mécréants, aujourd’hui majoritaires dans un pays, et pourrait les effrayer et leur ouvrir les yeux, les savants de l’islam disent que c’est un problème de traduction, ou d‘interprétation, ou que le verset a été extrait de son contexte, ou alors ils prétendent être opposés à l’application de cette règle aujourd’hui, et proposent par exemple ([1]) un moratoire sur la lapidation, sous prétexte qu’ « elle n’est pas applicable », « inapplicable islamiquement », car « les conditions ne sont pas réunies »([2]), mais en fait ils l’approuvent pour l’appliquer plus tard, lorsque ces conditions seront réunies, c’est-à-dire lorsque la majorité aura changé ; en tout cas ils ne porteront aucun jugement de valeur sur cette règle, ils ne diront jamais que c’est mal, monstrueux, inhumain, …. puisque c’est licite, halal.

Avant d’entrer dans les détails de la charia, notons que l’état français aménage ses propres lois pour accommoder les traditions islamiques et démontrer « une ouverture, à tous, un droit à tous de vivre à l’intérieur desfrontières de la République française avec ses coutumes, ses traditions, ses vêtements. »  (Michel Rocard) Ainsi, on va le voir, la charia s’insinue peu à peu dans notre arsenal juridique et donc dans nos mœurs.

En Suisse, par exemple, le CSIS célèbre les activités des centres islamiques où il ne relève aucun radicalisme, Il met en œuvre les besoins en formation (langue arabe, sciences islamiques, théologie, …) financées par les pouvoirs publics et encourage la renégociation des normes et la professionnalisation des auxiliaires des mosquées et plaide pour qu’ils puissent devenir des prestataires de services pleinement reconnus au sein de l’État providence,. voir : http://www.vigilanceislam.com/images/Broch_CSIS_MV_avril2020.pdf

En Angleterre il y a même déjà, depuis 1980, des tribunaux islamiques, pudiquement nommés « conseils de la charia » et dont les juges, pudiquement nommés « experts », sont aptes à traiter de conflits matrimoniaux et financiers (voir https://reinformation.tv/angleterre-tribunaux-islamiques-conseils-charia-rapport-bault-80516-2/). C’est très exactement le but recherché lorsqu’est demandé la reconnaissance par l’état de la « communauté islamique » car « reconnaître une communauté, c’est reconnaître les lois qui la régissent. Nous travaillons à ce que la notion de communauté soit reconnue par la République. Alors, nous pourrons constituer une communauté islamique, appuyée sur les lois que nous avons en commun avec la République, et ensuite appliquer nos propres lois à notre communauté » (Amar Lasfar président de l’UOIF – 1999).

Et qui dit « tribunal » dit « police des mœurs » pour faire respecter les décisions et jurisprudences dans ces « charia zone » résultat de cette partition de plus en plus évoquée. Ainsi un commerçant qui vend du porc ou du vin subit le chantage jusqu’à ce qu’il respecte l’interdit ou ferme sa boutique, une jeune fille qui s’habille à l’occidentale ou veut entrer dans un café est harcelée au point de finir par porter le voile ou déménager, des gens qui mangent pendant le ramadan sont sommés, au nom du vivre ensemble, de respecter le jeûne, des homosexuels qui se promènent ensemble sont agressés.

Les femmes

Manou il y a 4000 ans en Inde écrivait: là ou les femmes sont honorées les dieux sont contents, quand les femmes sont maltraités tous les sacrifices sont inutiles (loi III :56)

Mais l’assimilation postérieure de la femme au diable fut une catastrophe pour l’humanité. Pour Averoes la pauvreté et la détresse du monde proviennent du fait que les femmes sont maintenues « comme des animaux domestiques ou des plantes vertes pour le seul plaisir des hommes au lieu d’être autorisées à prendre part à la production et à la préservation des richesses matérielles et intellectuelles ».

Dans la genèse, Dieu crée l’homme et la femme à son image, égaux en droits et en devoirs : « Dieu créa l’homme à son image, à l’image de Dieu et il les créa, homme et femme il les créa. » (Genèse, I, 27). Saint Paul renforça ce message d’égalité dans l’épître aux Galates (III, 28) : « Il n’y a ni Juif, ni Grec, il n’y a ni esclave ni homme libre. Il n’y a ni homme ni femme : car tous vous ne faites qu’un dans le Christ Jésus. »

La vision de la femme par l’islam est primairement misogyne : Quoi! Cet être (la fille) élevé au milieu des parures et qui, dans la dispute, est incapable de se défendre par une argumentation claire et convaincante ? Et ils firent des Anges qui sont les serviteurs du Tout Miséricordieux des [êtres] féminins! étaient-ils témoins de leur création ? Leur témoignage sera alors inscrit; et ils seront interrogés. (43 : 18) Votre Seigneur, aurait-il réservé exclusivement pour vous des fils, et lui, aurait-il pris pour lui des filles parmi les anges! Vous prononcez là une parole monstrueuse (17 : 40). Voila donc une réponse claire pour la question sur le sexe des anges.

Le verset (4:34) affirme que Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles.

Vos épouses sont pour vous un champ de labour; allez à votre champ comme [et quand] vous le voulez et œuvrez pour vous-mêmes à l’avance (2 :223).

Le mariage n’est pas un sacrement en islam, ce n’est qu’un contrat, prévoyant impérativement un douaire, et le divorce est accepté, en dernier recours, comme un moindre mal. Selon le verset (4 :3), un musulman peut avoir 4 femmes, et autant de concubines, esclaves non musulmanes, qu’il souhaite. Et si vous craignez de n’être pas justes envers les orphelins, il est permis d’épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d’injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille) [12].

Le mariage est interdit avec les idolâtres (2 :221), mais un homme musulman peut épouser une non musulmane juive ou chrétienne  (de la religion du livre, considérée alors comme croyante, abrahamiste, monothéiste)  (5 :5) par contre une musulmane ne peut épouser un non musulman (60 :10), même parmi les gens du livre, il devra se convertir, et ces 3 versets distinguent explicitement les hommes et les femmes, contrairement à ce qu’insinuent ceux qui prétendant à l’égalité de traitement des hommes et des femmes, malgré le démenti des juridictions de l’oumma. (voir https://twitter.com/i/status/1392567697888665601)

« la femme ne peut décider seule de son mariage, il lui faut l’approbation de son tuteur musulman. Seule la prostituée (la débauchée) se marie elle-même. »  (Sunane Ibn Majah, Livre du mariage : Volume 3, Livre 9, Hadith1882).

La femme ne peut employer la formule du talâq pour répudier son mari, elle ne peut que lui demander le Khoul’ê, et c’est lui qui accepte de la répudier, en récupérant la dot, et un hadith dit « Toute femme qui demande le divorce sans raison, le parfum du Paradis lui est interdit. » (Tirmidhi, Abou Dawoud, Ibn Maja…)

D’après les hadiths, Aïcha a dit : J’avais six ans lorsque le prophète m’épousa et neuf ans lorsqu’il eut effectivement des relations conjugales avec moi. En 65 :4 du coran Allah ne déclare pas blâmable d’épouser des enfants, puisqu’il prescrit que la période d’attente  (avant de pouvoir les répudier et divorcer) pour les femmes qui n’ont pas encore eu de règles (des enfants donc) est de 3 mois. La cour européenne des droits de l’homme interdit de nommer cela « pédophilie ». Et aujourd’hui on découvre que des imans célèbrent des mariages de fillettes de 12 ans ; Abdul-Aziz Al-Cheikh, le grand mufti d‘Arabie déclarait en avril 2012 : « Ceux qui appellent à élever l’âge du mariage à 25 ans sont dans l’erreur absolue » … « Nos mères et nos grands-mères se sont mariées quand elles avaient à peine 12 ans. Avec une bonne éducation une fille est prête à remplir toutes les tâches conjugales à cet âge. »

S’appuyant sur l’exemple de Mohamed qui avait autorisé le mariage temporaire pour ses compagnons, le prédicateur saoudien Mohammed Al-Arifi a lancé en janvier 2013 une fatwa autorisant les mariages temporaires des jeunes filles avec les combattants venus soutenir les rebelles de l’Armée syrienne libre (ASL). Selon Al-Arrifi, le mariage de jouissance « Zawaj Almouta » avec des jeunes adolescentes à partir de quatorze ans est permis aux moudjahidines en Syrie. Pour les combattants de l’ASL qui ne se seraient pas réunis à des femmes depuis deux ans, il est permis de « se servir » de femmes ayant atteint l’âge de 14 ans, de divorcées et de veuves, stipule la fatwa, afin de régler les problèmes sexuels chez les combattants syriens de l’armée libre. Selon le savant musulman, le mariage des filles « pendant quelques heures » leur favorise l’accès au « Paradis d’Allah » car les relations sexuelles lors d’un mariage temporaire avec des jeunes adolescentes sont permises et même encouragées, recevoir le sperme des «moudjahidines » est le billet d’entrée au Paradis. Est-ce une incitation aux pères pieux à envoyer leurs filles sur le front pour recevoir cette bénédiction de dieu, ou une simple incitation au viol en temps de guerre ?

Concernant l’égalité homme/femme, le verset (4 :11) précise que pour un héritage, il revient au fils, une part équivalente à celle de deux filles.

En 4:23, Allah a oublié d’interdire le mariage entre cousins, par contre en 65 :50 il l’a explicitement autorisé à Mohamed, qui est le bon modèle à suivre.

Et le verset (2 :282)   précise que pour une dette d’argent il faut deux témoins d’entre vos hommes; et à défaut de deux hommes, un homme et deux femmes d’entre ceux que vous agréez comme témoins, en sorte que si l’une d’elles s’égare, l’autre puisse lui rappeler.

La burqa, le voile, le burqini

Le voile, duquel parle-t-on
(Le foulard islamique est un hijab).

Comme la femme est la tentatrice, il convient qu’elle se voile pour ne pas pousser les hommes à la fornication. Contrairement à ce qu’on essaye de nous faire croire, c’est bien une prescription religieuse du coran : Ô prophète ! Prescris à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, d’abaisser un grand voile sur elles, elles en seront plus vite reconnues et éviteront d’être offensées (33:59, 24:31)). Voile couvrant le visage ou « simple mantille » il s’agit bien du foulard islamique, le hijab. qui est prescrit par le coran, comme l’explique Rachid Houdeyfa, l’imam de Brest  : « Le hijab c’est la pudeur de la femme, et sans pudeur, la femme n’a pas d’honneur, et si la femme sort sans honneur, qu’elle ne s’étonne pas que les hommes abusent de cette femme là, la négligent, et l’utilisent comme un objet, ne lui donnent aucune importance, et ne la veulent pas pour sa religion, pour sa bonne moralité, mais simplement pour son corps, pour son visage qui attire. Malheureusement, elle a oublié que Allah parle de visages qui iront dans le feu de l’Enfer. »

Le hijab est aujourd’hui pour les jeunes musulmanes qui le portent un signe ostentatoire de radicalisation proclamant une conquête de l’espace public et affirmant que celle qui ne le porte pas est impure, c’est insultant. https://vimeo.com/248809023 et les polémiques à ce sujet sont des instrumentalisations pour les faire passer comme victimes de « racisme » (https://youtu.be/0eS2Kp3nCqc). Le voile c’est un petit pas pour les croyantes mais un grand pas pour la ségrégation et l’islamisation

Le 27 novembre 1989, lors de l’affaire de Creil ([13]), le conseil d’état donne raison à l’imam en déclarant que le port de signes religieux à l’école « n’est pas, par lui-même, incompatible avec la laïcité », à condition qu’il ne soit pas « ostentatoire et revendicatif ». Et Michel Rocard, soulagé : « Le Conseil d’État a dit le droit, et pour le droit il n’est pas imaginable, qu’un élément vestimentaire puisse, emporter par sa signification l’exclusion de l’école. […] La laïcité de l’état exige, une ouverture, à tous, un droit à tous de vivre à l’intérieur desfrontières de la République française avec ses coutumes, ses traditions, ses vêtements. » puis il ajoute: « Ce foulard, le. Coran ne l’impose pas. » s’attirant la réponse cinglante du président de l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) : « Vous laissez entendre, que le Coran n’impose pas le foulard. Or, le livre, sacré des musulmans est très clair et très explicite, et ne laisse aucun doute sur le devoir de chaque musulmane de porter le voile. » Et Lionel Jospin, ministre de l’éducation nationale, agacé : « Qu’est-ce que vous voulez que cela me fasse que la Fiance s’islamise ? »

S’en suit une longue liste de polémiques :

En 2010 lors des élections régionales à Avignon, présentation d’une candidate voilée par le Nouveau Parti anticapitaliste d’Olivier Besancenot
En 2010 encore,  une salariée de la crèche de l’association Baby Loup, qui refuse de retirer son foulard, est licenciée, d’où imbroglio judiciaire allant jusqu’à la condamnation par  l’ONU, et  la fermeture de la crèche
en avril 2012 la circulaire Chatel l’interdisant, le conseil d’état (2015) autorise les accompagnatrices de sorties scolaires à porter le voile
en juillet 2012 la FIFA autorise le voile dans les compétitions de foot. On voit alors apparaître dans les matchs internationaux des sportives voilées et en tenue couvrante, ce que les fédérations acceptent les unes après les autres (judo, beach-volley, basket, …)
en 2013 refus des Restos du cœur d’accepter des bénévoles voilées
en 2013 encore, émeute urbaine à Trappes liée à un contrôle d’une femme portant le voile intégral.
au cours de l’été 2016, apparition du burqini sur les plages d’abord, et dans les piscines
en février 2018 la candidate voilée à « the voice » est rattrapée par ses tweet islamistes et antisémites
en mai 2018 les étudiants du syndicat étudiant Unef de la Sorbonne élisent une présidente voilée et organisent des stages interdits aux blancs, installent une salle de prière, interdisent les conférences d’opposants (dont la lecture de la lettre de Charb aux idiots de l’islamophobie)
en février 2019, decathlon tente, comme l’a déjà fait nike, de commercialiser en France des hijabs de sport, puis renonce devant les réactions(une fausse publicité vantant un kit de lapidation composé d’une camisole et de pierres certifiées hallal fait le tour du web)
en juin 2019, l’assemblée vote la loi autorisant les femmes voilées à encadrer les sorties scolaires.

Suite à la polémique du conseil général de Bourgogne, dans son communiqué du 29 octobre 2019, le CFCM rappelle une fois de plus que le voile est bien une prescription religieuse du coran, tous ceux qui répétaient comme des perroquets que ce n’est pas le cas sont donc invités à le lire (voir http://www.musulmansdefrance.fr/communique-cfcm/)

Ces évènements et ces polémiques ont donné lieu à deux lois et une charte :

  • Le 15 mars 2004 la loi Stasi proclame que « Dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit ».
  • La charte de la laïcité du 29 janvier 2006, destinée aux agents des services publics, rappelle qu’ils ont « un devoir strict de neutralité » et énonce « qu’il appartient aux responsables des services publics de faire respecter l’application du principe de laïcité dans l’enceinte de ces services. » Quant aux usagers, ils ont le droit d’exprimer leurs convictions religieuses « dans les limites du respect de la neutralité du service public. Mais la charte n’est pas claire : certains argumentent que le foulard islamique ne serait pas un signe religieux mais un simple article de mode, librement choisi.
  • le 14 septembre 2010, la loi interdit le port du voile intégral (niqab et burqa) dans l’espace public : « Nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage». Mais, par crainte des réactions incontrôlables, consignes sont données aux policiers de ne pas « faire de zèle » surtout dans les quartiers, où de toutes façons ils n’entrent pas sans précautions. Les rares amendes seraient presque toujours payées par l’homme d’affaire Rachid Nekkaz.

Mais les occasions de polémiques et provocations ne manquent pas pour argumenter et  tenter de faire reculer l’état en brisant la digue des résistances à l’islamisation :

Les journalistes violées sur la place Tahir lors de la révolution égyptienne, les allemandes de Cologne, les anglaises de Rotherham, les suédoises de Malmo, peuvent témoigner de la nécessité de ce voile, car en effet après avoir placé leurs filles et leurs épouses dans des prisons ambulantes, pour en cacher jusqu’aux bout des cils, comment enseigner à leurs enfants des relations harmonieuses ? l’absence des femmes dans le paysage de la vie, leur séquestration dans leur propre maison apparaît comme un défi à la raison [9].

(voir sur l’avancée du communautarisme  https://youtu.be/39mtkk-Bu08?t=2889)

L’excision

            Le Coran ne contient aucune allusion, ni de près ni de loin, à l’excision des filles. De même, il n’y a aucun consensus sur un arrêt légal (hukm char’i) concernant cette question, tout comme aucune analogie ne peut s’y appliquer, et les quelques hadiths y faisant référence sont réputés faibles, d’autant que Mohamed n’a pas fait circoncire ses filles. Ce n’est donc qu’une tradition de certains pays, principalement africains. (voir http://www.npwj.org/GHR/L’Excision-des-filles-au-regard-de-lIslam.html)

Le droit à la différence et aux traditions culturelles autorise évidement l’excision.

Certes la cour d’appel de Paris décide, le 10 juillet 1987, que l’article 312 du Code pénal, qui considère toute mutilation comme un crime, s’applique bien à l’excision. Mais les avocats invoquent cependant un « respect des cultures » et dénient à la justice le droit de se mêler des traditions venues d’ailleurs, et les rares procès se terminent invariablement par des peines symboliques assorties du sursis en raison de l’« absence de volonté de nuire ».

Tobie Nathan, professeur de psychologie clinique et pathologique à l’université Paris-VIII. dans la revue Science et Nature, en 1995 : « Nombre de petites filles africaines qui vivent en France, et ne sont pas excisées présentent de graves troubles. Or seul le rituel de l’excision permet de les soigner et de les reconstruire.. […] Sans ce rituel, une femme, est incomplète, elle, est en errance., elle tourbillonne et se cherche des initiations de remplacement, comme le premier « shoot » ou le premier casse. Les ethnopsychiatres savent très bien quune jeune fille excisée ne tombe jamais dans ces travers. Elle n’en a pas besoin. L’excision est en quelque sorte un mécanisme de prévention mentale, un bénéfice social extraordinaire, que la société devrait d’urgence reconsidérer. » (histoire de l’islamisation française)

Et Tariq Ramadan (égyptien d’origine) la justifie : « Nous ne pouvons pas nier que l’excision fait partie de nos traditions. »

La circoncision

Tareq Oubrou (Appel à la réconciliation, foi musulmane et valeurs de la République française) précise qu’elle «n’est pas un acte baptismal, [et qu’] elle n’est même pas une obligation canonique», il s’appuie sur un hadith rapporté par al-Bukhâri et Muslim selon Abou Hourayra, qui instaure et légitimise la circoncision en la considérant comme acte hygiénique, «comme le fait de se couper les ongles, et autres actes de propreté élémentaire, ainsi que le souligne un hadith du Prophète». Tareq Oubrou se soumet donc à ce hadith, qui évoque «cinq actes hygiéniques : la circoncision, la réduction de la pilosité pubienne et de celle des aisselles, la diminution de la moustache – afin qu’elle n’obstrue pas la bouche – et le coupage des ongles.» (Mohamed Louizi)  Pourtant, «l’homme étant créé à l’image de Dieu, il ne peut être question d’un quelconque Adam raté.» (Tareq Oubrou) L’homme créé à l’image de dieu, l’incomparable, l’unique, « rien ne lui ressemble » (Tareq Oubrou) ? oula, il déraille frère Tareq. Ce n’est d’ailleurs pas la seule trace d’enfumage des chrétiens dans son livre. Il aurait pu dire « il ne peut être question d’une création de dieu ratée  » mais il a préféré authentifier comme fiable le hadith 6227 de Bukhari : «Adam fut créé à l’image de Dieu, sa taille fut de soixante coudées… Depuis, la taille de l’homme ne cesse de diminuer jusqu’à aujourd’hui »

La lapidation

Le 10 septembre 2002, Le Monde publie une tribune d’Hani Ramadan qui justifie la peine de mort par lapidation pour les femmes adultères après l’émotion suscitée par l’annonce de l’exécution de deux Nigérianes. Sous le titre « La charia incomprise », le directeur du Centre islamique de Genève dénonce la « vision caricaturale de la civilisation musulmane » de l’Occident, qui ne perçoit que « des barbares, des coupeurs de mains sanguinaires et des assassins. […] Réduire la richesse de la loi islamique […] aux seuls châtiments corporels, c’est un peu comme si l’on prétendait résumer toute la médecine aux seules amputations chirurgicales. » Le théologien musulman justifie la lapidation, que pratiquait le Prophète : « Parce, qu’il s’agit d’une, injonction divine, la rigueur de cette loi est éprouvante pour les musulmans eux-mêmes. Elle constitue une punition, mais aussi une forme de purification. Il est interdit d’insulter le coupable. Après sa mort, on prie pour lui. Ce, que fit le Prophète pour une femme qui s’était livrée après avoir accouché d’un enfant adultérin, et dont le repentir avait été sincère. »  (histoire de l’islamisation française)

Polygamie et divorce

Le 29 avril 1976 le gouvernement Giscard promulgue le décret sur le regroupement familial « relatif aux conditions d’entrée, et de séjour en France, des membres des familles des étrangers autorisés à résider en France», mais il a oublié de tenir compte des femmes épouses de polygames. Au nom du « droit à mener une vie familiale normale », le 11 juillet 1980, le conseil d’état  désavoue le préfet qui demandait à une seconde épouse de quitter le territoire. Il reconnait donc le statut de polygame et impose aux caisses de la secu et de la CAF de reconnaitre ces enfants car « La vie familiale normale d’un musulman consiste à respecter les obligations d’entretien et surtout d’équité entre ses femmes »  il donne ainsi raison aux immigrés qui refusent d’appliquer la loi du pays d’accueil : l’immigré arrive avec ses mœurs et la société d’accueil doit s’adapter.

En 1981 signature avec le Maroc, et en 1983 avec l’Algérie, de conventions bilatérales soumettant les épouses d’Algériens et de Marocains aux codes familiaux conformes à la charia en raison de leur double nationalité. La convention franco-marocaine instituait dès lors le droit de répudiation des femmes sur le sol français, laquelle se déroulait selon le droit musulman marocain. Cela en dérogation de l’article 310 du Code civil français, qui prévoit l’application de la loi française en matière de divorce quand des époux de nationalité étrangère ont leur domicile sur le territoire français. Des formulaires avec pour en-tête « République française. Liberté, égalité, fraternité » précisent donc que « la répudiation est le droit pour l’époux de se séparer unilatéralement de sa femme », envisageant même tous les cas de figure : « Lorsque la femme est atteinte d’une maladie grave ou contagieuse, ou d’une infirmité génitale, son époux peut la répudier sans devoir quoi que ce soit. » Non seulement l’État français tolérait un régime inégalitaire pour les femmes musulmanes résidant sur le sol français, mais il y soumettait aussi les Françaises épousant un musulman, pouvant de la sorte être répudiées du jour au lendemain sans pension alimentaire.

La loi Pasqua du 24 août 1993 introduit dans l’ordonnance du 2 novembre 1945 sur les étrangers un article 15 bis indiquant que « la carte de résident ne peut être délivrée à un ressortissant étranger qui vit en état de polygamie ni aux conjoints d’un tel ressortissant. Une carte de résident délivrée en méconnaissance de ces dispositions doit être retirée » mais le visa de tourisme pour une seconde épouse ou un divorce de pure forme permettent de tourner facilement la loi, d’où les circulaires Jospin de 2000 et 2001 qui autorisent la délivrance de cartes de séjour aux familles polygames, à condition de dé-cohabiter en différents appartements, ce que les HLM organisent en fournissant aux polygames des grands appartements sur le même palier.

Le 1er avril 2008 le tribunal de grande instance de Lille annule un mariage en raison de l’état de « non-virginité » de l’épouse (voir https://www.dreuz.info/2020/09/14/le-totalitarisme-nouveau-est-arrive/https://www.fdesouche.com/2020/09/16/aucune-mention-dislam-ou-dislamisme-dans-une-tribune-contre-la-penalisation-des-certificats-de-virginite-dans-liberation/.

En décembre 1999, des imams de Roubaix expliquent à une délégation du HCI menée par Roger Fauroux, son président, que les mariages religieux sans mariages civils étaient très fréquents. Cela permet d’éviter les contraintes égalitaires haram (interdites par la charia) du « mariage français ». (Histoire de l’islamisation française)

Les statistiques comptabilisent faussement comme « mixtes » les mariages dont le mari est un nouveau « français », magrébin né en France, et ayant recherché sa femme au Maghreb.

L’honneur

Les femmes sont considérées comme incarnant l’honneur des hommes auxquelles elles appartiennent, elles doivent donc préserver leur virginité et leur chasteté, et toute la famille va exercer sur elles une forte pression car la virginité appartient à la communauté et non aux filles elles-mêmes. Exprimer le souhait de choisir son conjoint et d’épouser un homme de son choix est considéré comme un défi grave dans une société où la plupart des mariages sont arrangés par le père. Un tel comportement porte donc atteinte à l’honneur de la communauté, et du père en particulier, chargé d’en transmettre les valeurs. Et c’est pour les amener à se soumettre à ses volontés, qu’elles subissent des pressions physiques et morales, qui peuvent aller jusqu’au « crime d’honneur » ([6]), lequel est justifié par le coran : « Et, sauf en droit, ne tuez point la vie qu’Allah a rendu sacrée. Quiconque est tué injustement, alors Nous avons donné pouvoir à son proche [parent]. Que celui-ci ne commette pas d’excès dans le meurtre, car il est déjà assisté (par la loi) ». (17 :33) . Ce sont alors les victimes qui sont considérées comme les coupables. Les crimes d’honneur sont défendus comme un « droit de l’homme en Islam » et, en pays non musulmans, sont souvent déguisés en accident ou en suicide et parfois délégués à un frère, mineur, donc non condamnable.

La charia d’ailleurs prévoit le cas de ceux qui ne sont pas sujet à représailles et qui bénéficient d’immunité : Un enfant ou une personne démente, un musulman qui tue un non-musulman, un juif ou un chrétien qui tue un apostat de l’islam, un père ou une mère qui tuent leurs descendants ou les descendants de leurs descendants (manuel sunnite de la charia umdat al salik et Komeini dans A Clarification of Questions)

Pour les autres crimes, le prix du sang, susceptible d’éviter la sanction au coupable, est de 300 000 rials si la victime est un musulman, 150 000 rials, si la victime est une musulmane. Et seulement 3333 rials si la victime est une femme d’une autre religion

Finance islamique

Le Bulletin officiel des impôts du 25 février 2009 introduit dans le droit français les concepts financiers de la charia : « La finance islamique se rapporte aux instruments financiers utilisés par les investisseurs qui souhaitent investir dans le respect des principes du Coran et notamment du principe de prohibition de l’intérêt. » Deux « outils de la finance islamique » sont reconnus, sans même que leurs dénominations soient traduites : « La murabaha est un contrat de vente aux termes duquel un vendeur vend un actif à un financier islamique, qui les revend à un investisseur moyennant un prix payable à terme. […] Les sukuk […] sont des titres représentant pour leur titulaire un titre de créances ou un prêt dont la rémunération et le capital sont indexés sur la performance d’un ou plusieurs actifs détenus par l’émetteur. »

C’est parce que cette opérations de transfert de propriété et des plus-values taxables est « pénalisée » par les règles fiscales françaises qu’il faut adapter ces dernières. Il s’agit aussi de respecter les interdictions de contacts avec des entreprises non hallal, et avec Israël. (Histoire de l’islamisation française)

Les interdits alimentaires

Les seuls aliments autorisés par la loi juive sont ceux qui proviennent de sources dont les aspects « spirituellement négatifs » comme la douleur, la maladie ou la malpropreté sont absents, et dont la préparation ne s’est pas assortie de pratiques comme la chasse, la torture…

 On retrouve cela dans la loi islamique. On citera seulement : Ne mangez pas ce sur quoi le nom de dieu n’aura pas été invoqué, car ce serait une perversité. (6.121) et Vous sont interdits la bête trouvée morte, le sang, la chair de porc, ce sur quoi on a invoqué un autre nom que celui d’Allah, la bête étouffée, la bête assommée ou morte d’une chute ou morte d’un coup de corne, et celle qu’une bête féroce a dévorée -sauf celle que vous égorgez avant qu’elle ne soit morte-. (Vous sont interdits aussi la bête) qu’on a immolée sur les pierres dressées, ainsi que de procéder au partage par tirage au sort au moyen de flèches. Car cela est perversité (5 : 3) ([5])

En avril 2013 l’imam Mehdi Kabir prêche sur « la chose la plus mauvaise pour l’être humain », à la mosquée de Villetaneuse, en Seine-Saint-Denis,: « Celui qui mange du porc a tendance à avoir le comportement d’un porc. C’est pour cela que les consommateurs de viande de porc, tu les trouves parmi les gens les plus sales. […] Les gens qui ne se soucient pas de voir leurs femmes dénudées et embrassées par d’autres hommes. »

L’abattage hallal

la France fut pourtant pionnière, en 1964, en rendant obligatoire l’étourdissement des bêtes avant leur égorgement, progrès décisif repris par Bruxelles dans une directive européenne, en 1974. Mais une dérogation a été accordée aux abattages rituels juifs et musulmans pour les exonérer de ces obligations collectives. Une autre dérogation a été spécifiquement octroyée aux musulmans, leur donnant le droit d’organiser des égorgements en dehors des abattoirs officiels, à l’occasion de la fête de l’Aïd-el-Kébir, qui exige l’immolation d’un mouton dans chaque famille.

Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur de Nicolas Sarkozy, a rassurés à la fois les industriels et les musulmans, en septembre 2010, en s’engageant à être « particulièrement vigilant » pour éviter « un étiquetage discriminant pour l’abattage rituel » : « Vous pouvez compter sur ma mobilisation et celle des députés français au Parlement européen pour que le projet n’aboutisse pas. » Sur ce point il a été efficace. (Histoire de l’islamisation française)

L’abattage rituel doit se faire sans étourdissement, sans ligature de l’œsophage (la ligature évite la diffusion de la bactérie e-coli) et avec l’invocation « Allah ouakbar » ou une prière juive. Coucher l’animal sur le flanc gauche en direction de la Mecque est recommandé pour le halal. L’abattage casher impose de retirer le nerf sciatique.

L’intérêt économique mène naturellement à uniformiser l’ensemble de l’abattage vers l’abattage rituel (30% d’abattage rituel se répartissant en hallal 90% et casher 10%). La filière développe donc d’elle-même l’abattage rituel, constatant que celui-ci était plus simple en supprimant le poste d’étourdisseur et donc moins onéreux que l’abattage traditionnel. L’étiquetage n’étant pas fait, cela mène à imposer à tous, musulman ou non, la viande hallal (les abattoirs de la région parisienne ne pratiquent que l’abattage rituel).

En octobre 2019, le Conseil d’État valide l’abattage rituel halal et casher. Pour la haute juridiction, cette méthode d’égorgement sans étourdissement préalable de l’animal « ne peut être regardée comme autorisant des mauvais traitements envers les animaux »

Le communautarisme dans le sport

On sait que Daesh a invité, par le biais de sa propagande sur internet, ses partisans à s’entrainer aux sports de combat dans des clubs.

« La radicalisation islamiste dans le cadre de la pratique sportive est susceptible de revêtir diverses formes. Celles-ci peuvent aller de la prière collective dans les vestiaires, voire pendant les compétitions, à la nourriture exclusivement halal et à l’obligation du port du caleçon dans la douche. Certains individus refusent de s’incliner devant leur adversaire au motif qu’on ne s’incline que devant Allah. En ce qui concerne les tenues vestimentaires, les leggings qui couvrent toutes les parties du corps, les hijabs et les voiles se répandent dans la pratique sportive et compétitive. Certains règlements interdisent ce type de vêtements. À l’inverse, il semblerait que des fédérations délégataires avalisent certaines de ces tenues (port de legging autorisé, par exemple). En cas de conflit, le voile est parfois remplacé par un bandana. Certains clubs ne sont pas ouverts aux femmes ou bien celles-ci ne peuvent s’y entraîner en même temps que les hommes. D’après M. Chapitaux, « une fédération de sports de combat aurait même demandé à son directeur technique national de prendre en compte les fêtes religieuses pour établir le calendrier des compétitions ». (rapport sur la radicalité dans la fonction publique – juin 2019)

Relation directe avec dieu

Pour les catholiques, il y a une hiérarchie d’intermédiaires entre dieu et les hommes : Marie, les saints, les clercs. Il n’y en a pas pour les protestants, ni pour les musulmans. Pour diriger les fidèles, les chiites ont un début de hiérarchie, les mollahs et les ayatollahs et les sunnites n’ont que des imams pour mener la prière. Par la confession, le prêtre catholique pardonne les péchés, de même la prière de repentir car « Le repentir est accepté de celui qui le fait avant que le soleil ne se lève au couchant…» (Mouslim , 2703)

L’interdiction des images

La représentation de dieu ou des hommes est interdite en islam (le coran ne condamne que les idoles, les hadiths ont étendu l’interdiction aux représentations humaines pour éviter qu’elles ne deviennent des idoles ([4])), car on ne peut imiter dieu ni sa création, et il est vain de chercher à faire mieux. On ne se rase pas, car il ne faut pas retrancher ce que dieu a fait.  “Soyez différents des mécréants, taillez vos moustaches et laissez vos barbes”. De même on ne rajoute pas des mèches, des cils, …. car on ne peut mieux faire que dieu. On peut se teindre les cheveux, mais pas en noir.

Le blasphème

Charb et l’équipe de charlie hebdo croyaient vivre sous la loi française, mais ils sont morts sous la loi islamique qui considère comme un blasphème de représenter Mohamed. Malheureusement, alors que la seule solution honorable aurait été que tous les journaux, le lendemain, publient les caricatures, il n’y eut que des bougies dérisoires et une manifestation prétendue unitaire alors que le plus grand parti de France en était exclu par le camp du déni de réalité et se réfugiait dans sa position de « Charlie Martel » et que le deuxième, celui des abstentionnistes des territoires perdus de la république, refusait les minutes de silence en expliquant qu’ « ils l’avaient bien cherché ».

On voit bien que la loi Avia contre la haine sur internet est appliquée, avant sa censure, quasi exclusivement contre ceux qui critiquent  l’idéologie islamiste et les propagateurs de charia. Les premiers touchés ont été le journal Présent, Majid Ouchaka youtubeur islamo-lucide), Romain Espino (génération identitaire), Zineb el Rhazoui (rescapée de Charlie hebdo et militante anti islam) et une youtubeuse islamo-lucide et Emmanuelle Ménard (députée islamo-lucide).

« la France est fragile et lâche » (Mila) et on peut craindre que le blasphème soit interdit en France compte tenu de la modification démographique en cours et de la vision anglo-saxonne de la laïcité. (voir cette vidéo de Laurent Alexandre et Georges Kuzmanovic  (ex porte parole de lfi ) : https://youtu.be/eoDMdNWjdic

L’apostasie

L’islam n’admet pas la liberté de conscience : une conversion d’un dhimmi à une autre religion que l’islam est impossible : Et quiconque désire une religion autre que l’Islam, ne sera point agrée, et il sera, dans l’au-delà, parmi les perdants (3 :85), les apostats de l’islam sont condamnés à mort : Celui qui renie dieu après avoir cru, non pas celui qui subit une contrainte et dont le cœur reste paisible dans la foi, celui qui, délibérément, ouvre son cœur à l’incrédulité : la colère de dieu est sur lui et un terrible châtiment l’atteindra (16:106). Ils jurent par Allah qu’ils n’ont pas dit (ce qu’ils ont proféré), alors qu’en vérité ils ont dit la parole de la mécréance et ils ont rejeté la foi après avoir été musulmans. Ils ont projeté ce qu’ils n’ont pu accomplir. Mais ils n’ont pas de reproche à faire si ce n’est qu’Allah – ainsi que son messager – les a enrichis par sa grâce. S’ils se repentaient, ce serait mieux pour eux. Et s’ils tournent le dos, Allah les châtiera d’un douloureux châtiment, ici-bas et dans l’au-delà ; et ils n’auront sur terre ni allié ni secoureur (9 :74).

Les hadiths précisent ce châtiment douloureux ici-bas : Narré par Ikrima: Ali brûla quelques personnes et cette nouvelle arriva à Ibn ‘Abbas qui dit: « Si j’avais été en ce lieu je ne les aurais pas brûlés, car le Prophète a dit: « Ne punissez (quiconque) avec le Châtiment d’Allah. » (le feu) Sans aucun doute, je les aurais tués, car le Prophète a dit: « Si quelqu’un (un musulman) rejette sa religion, tuez-le. » (Sahih Bukhari)

Aujourd’hui, en 2013, selon l’article 222 du code pénal marocain, est passible d’un 1 à 6 mois de prison, assortie d’une amende, « celui qui, notoirement connu pour son appartenance à la religion musulmane, rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le temps du Ramadan, sans motif admis par cette religion ».

Sous la pression des pays musulmans, l’article 18 de la Déclaration des Nations-Unies a été honteusement révisé en novembre 1981 : La liberté de religion et le droit de changer de religion ont été supprimés et seul le droit d’avoir une religion fut conservé..

(le micro trottoir : https://twitter.com/i/status/1495487130356924427)

Voir notre page droits de l’homme

Le talion

Le christianisme ne prétend pas établir le royaume de dieu sur terre car Jésus a dit « Rendez à César ce qui appartient à César, et à dieu ce qui est à dieu » (Mathieu 22 :21), «Mon royaume ne vient pas de ce monde » (Jean 18 :36). Le royaume de dieu n’est pas sur terre, il n’y sera jamais. Si Jésus lui-même a été vaincu sur terre, crucifié, c’est évidemment qu’il n’était pas dans l’intention de dieu d’établir son royaume ici bas. Le christianisme abolit donc ces prescriptions pharisiennes, proclame l’amour du prochain comme le plus grand commandement et, privilégiant la réconciliation, abolit la loi du talion, « Vous avez appris qu’il a été dit: Tu aimeras ton prochain, et tu haïras ton ennemi. Mais moi, je vous dis: Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux; car il fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes. Si vous aimez ceux qui vous aiment, quelle récompense méritez-vous? Les publicains aussi n’agissent-ils pas de même? Et si vous saluez seulement vos frères, que faites-vous d’extraordinaire? Les païens aussi n’agissent-ils pas de même? Soyez donc parfaits [parfaits et non soumis], comme votre Père céleste est parfait. » (Matthieu 5:43-48)

Dans la thorah, il n’est pas question de couper la main du voleur, cette sanction est prévue uniquement dans un cas bien spécial : « Lorsque des hommes se querelleront ensemble, l’un avec l’autre, si la femme de l’un s’approche pour délivrer son mari de la main de celui qui le frappe, si elle avance la main et saisit ce dernier par les parties honteuses, tu lui couperas la main, tu ne jetteras sur elle aucun regard de pitié ». (deutéronome 25 :11) Et dans l’ évangile on trouve : « Si ta main droite est pour toi une occasion de chute, coupe-la et jette-la loin de toi ; car il est avantageux pour toi qu’un seul de tes membres périsse, et que ton corps entier n’aille pas dans la géhenne. » (Matthieu, 5:30, Marc, 9:43-51) Mais il ne faut pas confondre une allégorie symbolique avec une sentence juridique. L’auteur du coran a mal compris ses sources.

La loi du talion avait pourtant été abolie par Akhenaton, Bouddha, Zoroastre et Jésus. Mohamed revient donc en arrière ([8]).

L’esclavage

L’islam légitime l’esclavage et aucune école doctrinale de l’islam ne l’a interdit, car le prophète avait des esclaves. Le marché aux esclaves est consubstantiel à l’islam.

En 4 :3 et 70 :30 Allah donne une règle pour l’éternité et évoque comme partenaires sexuels pour le bon musulman 4 épouses et « les esclaves que tu possèdes » donc esclaves non épousées, non consentantes, et dans ces deux versets de deux sourates différentes Allah dit que ces hommes « ne font pas d’injustice » et « ne sont pas blâmables ». Allah approuve donc l’esclavage.

Les historiens estiment que la traite a concerné au moins 42 millions d’esclaves pendant treize siècles, du VIle au XXe siècle : 17 millions pour la traite musulmane vers le Maghreb et les pays arabes, 14 millions pour la traite intra-africaine, principalement au sein de l’Afrique noire, et 11 millions pour la traite européenne transatlantique vers les Amériques, entre 1450 et 1869. Des Européens l’ont pratiquée en violation des valeurs chrétiennes, ce qui a provoqué des débats aboutissant à son abolition, plus ou moins rapidement selon les pays, tandis que les pays musulmans l’ont pratiquée en vertu du Coran, qui y consacre 25 versets répartis sur 15 sourates (histoire de l’islamisation française) (4:3, 2:221, 16:61,75, 2:178, 4:25, 23:6, 24:33, 33:52, …) en particulier lorsqu’il s’agit de légiférer sur le partage du butin de guerre.

La dénonciation des méfaits de la colonisation a fait passer à la trappe l’une de ses dimensions, l’anti-esclavagisme car c’est bien la colonisation occidentale qui a amené la lutte pour l’abolition de l’esclavage. Dans les faits il existe toujours au Soudan, au Niger, au Mali et en Mauritanie. Boko haram le pratique au Mali, des marchés aux esclaves ont été filmés dans le chaos lybien, dans les pays du golfe des travailleurs asiatiques construisent des stades et des immeubles en vivant sous le régime de la « kafala » Dans ces pays (Qatar, Dubai, EAU) la kafala (adoption islamique, sans filiation) est utilisée systématiquement pour parrainer les travailleurs étrangers qui se voient alors privés de droits au profit de ce « tuteur ». Par exemple : ils ne peuvent pas quitter leur emploi sans l’accord de ce tuteur qui est aussi leur employeur, et qui conserve leur carte d’identité, ceux qui croient fonder leur entreprise n’en sont en fait pas propriétaires.

Aujourd’hui encore, les marchés aux esclaves fonctionnent, modernisés (voir

https://www.dreuz.info/2019/11/02/instagram-prete-assistance-aux-marches-islamiques-aux-esclaves/)

https://youtu.be/8C7OrAZouk4 l’enseignement d’al azhar sur l’esclavage sexuel

https://youtu.be/04IZw83SXes les prisonniers de guerre tués et l’esclavage des femmes et enfants

https://youtu.be/YknRNQW1PdI  l’esclavage par ARTE 1ère partie

Voir notre page sur les conquètes turques

L’autre, le pur et l’impur

Un des plus importants principes de la foi en Islam, qui est directement relié avec le premier pilier de la foi, l’unicité de Dieu, est le principe d’Al-Walaa wal-Baraa. Aimer pour Allah et détester pour Allah.([7]) Ce principe postule que les musulmans doivent rester loyaux seulement envers leur coreligionnaires et activement haïr les non musulmans. (voir https://ripostelaique.com/le-coran-enseigne-la-haine-de-lautre-a-tous-les-musulmans-des-leur-enfance.html) Ainsi le cheikh Abdallah dispense une leçon informelle en arabe à Mantes la jolie en 2017 : « O serviteurs d’Allah ! l’alliance et le désaveu ont pour sens l’amour des croyants et la haine et l’animosité vis-à-vis des mécréants, en les désavouant, eux et leurs religions. C’est le sens du terme « alliance » (al wala) et de celui de « désaveu » (al bara) comme Allah le très haut a dit dans la sourate al muntahana : « vous avez un bel exemple en Abraham et en ceux qui étaient avec lui, lorsqu’ils dirent à son peuple « Nous vous désavouons, vous et ce que vous adorez en dehors de dieu ; nous vous renions ! Que l’inimitié et la haine paraissent constamment entre nous et vous, jusqu’à ce que vous croyiez en dieu l’unique » (l’épreuve 60 :4) Le fait de les haïr n’implique pas d’être injuste avec eux ou de leur faire du mal s’ils ne sont pas en état de guerre, mais cela veut dire de les haïr avec son cœur, et de ne pas se lier d’amitié avec euxIl est interdit de tenter de ressembler aux mécréants dans ce qui leur est spécifique, qu’il s’agisse de coutumes, d’adorations, d’allure ou de comportement. … N’établissez des liens d’amitié qu’entre vous, les autres ne manqueront pas de vous nuire ; ils veulent votre perte ; la haine se manifeste dans leurs bouche mais ce qui est caché dans leurs cœurs est pire encore.» (cité dans « les territoires conquis de l’islamisme »).  ». Avec de tels principes la fraternité, l’assimilation, l’intégration, le vivre ensemble ou ce que vous voulez n’est pas au programme.

En juillet 2016, le magazine de DAESH explique que « Ce qu’il est important de comprendre c’est que même si certains affirment que votre politique extérieure est à l‘origine de notre haine, cette cause est secondaire, en réalité même si vous cessez de nous bombarder nous continuerons à vous détester parce que la cause principale de cette haine ne cessera pas tant que vous n’aurez pas embrassé l’islam » et Salah Abedslam reprit cette formule lors de son procès en 2021 en justifiant le massacre du bataclan.

Les Musulmans sont le peuple choisi par Allah : « Vous formez la meilleure communauté suscitée parmi les hommes : vous ordonnez ce qui est convenable, vous interdisez ce qui est blâmable » (3, 110). Donc les musulmans sont supérieurs aux autres hommes, et ne doivent pas se mélanger à eux : Ô les croyants, ne prenez pas de confidents en dehors de vous-mêmes : ils ne failliront pas à vous bouleverser. ils souhaiteraient que vous soyez en difficulté. La haine certes s’est manifestée dans leurs bouches, mais ce que leurs poitrines cachent est encore plus énorme (3 :118) (5 :51), Et ceux qui sont avec lui [les musulmans] sont durs envers les mécréants, miséricordieux entre eux. (48 :29). Curieuse conception du « vivre ensemble ». Les musulmans doivent imposer leur loi à ces êtres déclarés impurs :

Les pires bêtes, auprès d’Allah, sont ceux qui ont été infidèles (dans le passé) et qui ne croient donc point (actuellement). (8 :55) ce qui est confirmé par 9 :28, 98 :6, 95 :5, 8 :22,55

« Onze choses sont impures : l’urine, l’excrément, le sperme, les ossements, le sang, le chien, le porc, l’homme et la femme non musulmans, le vin, la bière, la sueur du chameau mangeur d’ordures.

Chaque partie du corps d’un individu non musulman est impur, même ses cheveux et ses poils, ses ongles et toutes les sécrétions de son corps. Tout homme ou femme qui nie l’existence de dieu, ou croit en ses partenaires, ou ne croit pas en son prophète Mahomet est impur (comme les excréments, l’urine, les chiens et le vin)  Il l’est même s’il met en doute un seul de ces principes. » (Khomeiny).

Les musulmans doivent se distinguer des non-musulmans, notamment dans leur apparence, les femmes par le voile (33:59) et les hommes par la barbe et le kamis [10] Dans son « appel à la réconciliation » Tareq Oubrou se réfère à Ibn Taymiyya et revendique son «principe de ressemblance dans les attitudes extérieures avec le reste des non-musulmans majoritaires» mais son modèle disait : «Se distinguer des mécréants, ne fut obligatoire qu’après que l’islam eut triomphé et que ses préceptes furent prédominants, comme pour le  jihad armé, pour la capitation [al-Djizia] que [les mécréants dominés] furent obligés de verser [aux musulmans] en étant humiliés. Au début [à la Mecque], lorsque les musulmans étaient fragiles et en état d’infériorité, cette obligation ne leur fut pas imposée. Mais quand la religion fut parachevée et a  triomphé [à Médine], cette différenciation est devenue obligatoire.» … «De notre temps, il en est de même si un musulman réside au sein d’une demeure de guerre (Dâr al-Harb) ou au sein d’un territoire de mécréance, autre que Dâr al-Harb. Celui-ci n’est pas concerné par l’obligation de se différencier des non-musulmans dans les apparences et attitudes visibles. Le faire, pourrait lui causer bien des contraintes et des dommages. Au contraire, il lui est recommandé de ressembler [aux non-musulmans] dans ces attitudes visibles à condition, toutefois, que cela puisse servir un intérêt religieux permettant de les amener à se convertir à l’islam. Cela pourrait l’aider à s’infiltrer pour connaître leurs secrets et les dévoiler ensuite aux musulmans. Aucune ressemblance n’est, par ailleurs, tolérée en terre d’islam et de hijra. Là où Dieu a fait triompher l’islam et a frappé d’humiliation et de dhimmitude les mécréants. En terre d’islam point de ressemblance.» (Ibn Taymiyya) En terre d’islam et donc dans les territoires perdus de la république !

Dans son ouvrage « Emprunter le droit chemin pour se distinguer des gens de l’Enfer », Ibn Taymiyya consacre de nombreux chapitres à ce sujet. Ici, un chapitre consacré à «la mécréance des juifs». On tourne les pages, on tombe sur un autre chapitre «Ordre [aux musulmans] de recolorer les cheveux gris par dissemblance avec les juifs. Un peu plus loin, «Jeuner le jour d’Achoura et un jour avant ou un jour après par dissemblance avec les  juifs». Un autre chapitre ordonne aux musulmans, toujours par «dissemblance avec les  juifs», de manger avec leurs femmes et ne pas les abandonner seules dans les foyers lorsqu’elles  ont leurs règles. Un autre déconseille  aux musulmans de faire pareil que les juifs et les chrétiens pour exprimer par un geste les salutations. Un autre explique que «juifs et chrétiens ont mérité d’être maudits parce qu’ils ont pris les tombes de leurs prophètes pour des lieux de prière». (Mohamed Louizi)

(voir http://www.dreuz.info/2013/07/youssef-qaradawi-les-musulmanes-doivent-porter-le-hijab-pour-se-distinguer-des-mecreantes-par-leur-apparence-ce-qui-leur-evite-egalement-detre-molestees/

Après l’avènement de l’Islam, il a été institué une manière de saluer distinctive des musulmans et destinée à leur usage exclusif. Il s’agit de dire : « as-salamou alaykoum ». Cette phrase leur est réservée à l’exclusion des autres communautés. As salam, c’est un des noms d’Allah et la salutation signifie : que la bénédiction du nom d’Allah vous profite. En fait, salam, c’est la paix, on retrouve donc la formule : que la paix soit avec vous.

Les hadiths précisent la manière de répondre au salut d’un non musulman :

Il ne vous est pas permis de prendre l’initiative de saluer un mécréant compte tenu des propos du prophète (bénédiction et salut soient sur lui) «Ne prenez pas l’initiative de saluer les Juifs et les Chrétiens » (rapporté par Mouslim, 2167).

Si l’un d’eux dit : « as-sam alaykoum » c’est-à-dire : «  Recevez la mort » [que la mort soit sur vous] ou ne prononce pas le mot « as-salam » de façon claire, nous devons lui répondre par : « wa alaykoum » [et sur vous] compte tenu de ce qui a été rapporté par Ibn Omar, à savoir qu’il a dit que le Messager d’Allah avait dit : «  Quand les Juifs vous saluent, il leur arrive parfois de dire : « as-sam alaykoum », alors dites : « wa alayka » (rapporté par al-Boukhari, 5902 et Mouslim, 2461).

« Celui qui aura vécu dans les pays des non Musulmans et aura participé à leurs fêtes et leurs cérémonies et les aura imités ainsi jusqu’à sa mort, sera ressuscité avec eux ». (Al-Bayhaqi : Sahih)

Il est encore nécessaire que le musulman manifeste sa supériorité sur le non musulman en l’humiliant chaque fois que cela est possible, comme l’explique Ibn Qayyim al-Jawziyya (1292- 1350) :

« Humiliation et dérision doivent être le lot de ceux qui désobéissent à ma parole. »
Les dhimmî sont les plus réfractaires à son commandement et opposés à sa parole; par conséquent ils méritent d’être humiliés en les différenciant des musulmans qu’Allah a exaltés, en raison de leur soumission à [Allah] et à son prophète, au-dessus de ceux qui lui désobéissent. Ceux-ci il les a humiliés, rabaissés, et rendus abominables de façon que la marque du mépris soit manifeste sur eux pour qu’ils puissent être différenciés par leur apparence.
Qu’un signe distinctif [ghiyar] doive leur être imposé, cela est clair de la déclaration du prophète : « Celui parmi les gens, qui ressemble [aux dhimmî] sera considéré comme étant des leurs. » […] Il est obligatoire de forcer l’infidèle à ressembler à ceux de son peuple, pour que les musulmans puissent le détecter. […] Il est alors nécessaire d’imposer aux dhimmî un vêtement spécial qu’ils puissent être reconnus, et que les coutumes islamiques puissent être correctement observées et que le musulman puisse savoir qui l’a salué. […] En outre le vêtement distinctif sert d’autres buts. Il [le musulman] saura ainsi qu’il ne doit pas le rencontrer, il ne doit pas le faire asseoir dans une assemblée de musulmans, il ne doit pas baiser sa main, il ne doit pas se 1ever pour lui, il ne doit pas s’adresser à lui avec les mots frère ou maître il ne doit pas lui souhaiter le succès ou l’honneur comme cela est habituel envers un musulman, il ne doit pas lui faire la charité islamique, il ne doit pas l’appeler comme témoin, ni pour l’accusation ni pour la défense, il ne doit pas lui vendre une esclave musulmane et il ne doit pas lui donner des livres religieux ou juridiques concernant l’Islam [p. 81].
Il est strictement interdit d’appeler un dhimmî « sieur » ou « maître », […]. Quant à les appeler « Gloire de l’Etat », « Pilier de l’État », etc., ceci n’est pas permis. Si l’un deux porte ces titres, alors un musulman ne doit pas les lui conférer. S’il est un chrétien, qu’il l’appelle, « Toi, là, Chrétien « toi, là, ô croix », et si c’est un juif, qu’on l’adresse par ces mots « Toi, là, Juif. » [p. 115]. (Ibn Qayyim al-Jawziyya cité bar Bat Ye’or dans les chrétientés d’orient p.371)

Même dans la mort, la séparation est nécessaire : l’interdiction, au nom du principe de neutralité, des regroupements par confession dans les cimetières publics édictée par la loi de 1881 a été contournée par des circulaires ministérielles autorisant, en 1975, en 1991 et en 2008, la création de « carrés musulmans ».

Combattre l’impureté de son prochain, c’est affirmer sa propre pureté, mais on trouve toujours plus pur que soi, et l’islam est en perpétuelle guerre contre lui-même.

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A la Mecque : Ségrégation entre musulmans et non musulmans, purs et impurs

Pour les preuves de tolérance voir les références coraniques dans notre page religion de tolérance ou idéologie de conquète

Saint Paul dans sa lettre aux Colossiens (2 :16 – 3 :17) montre comment choisir entre la loi et l’esprit :

« Que personne donc ne vous juge au sujet du manger ou du boire, ou au sujet d’une fête, d’une nouvelle lune, ou des sabbats: c’était l’ombre des choses à venir, mais le corps est en Christ. Qu’aucun homme, sous une apparence d’humilité et par un culte des anges, ne vous ravisse à son gré le prix de la course, tandis qu’il s’abandonne à ses visions et qu’il est enflé d’un vain orgueil par ses pensées charnelles, sans s’attacher au chef, dont tout le corps, assisté et solidement assemblé par des jointures et des liens, tire l’accroissement que Dieu donne.
Si vous êtes morts avec Christ aux rudiments du monde, pourquoi, comme si vous viviez dans le monde, vous impose-t-on ces préceptes : Ne prends pas! ne goûte pas! ne touche pas! Préceptes qui tous deviennent pernicieux par l’abus, et qui ne sont fondés que sur les ordonnances et les doctrines des hommes. Ils ont, à la vérité, une apparence de sagesse, en ce qu’ils indiquent un culte volontaire, de l’humilité, et le mépris du corps, mais ils sont sans aucun mérite et contribuent à la satisfaction de la chair.
Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d’en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu. Affectionnez-vous aux choses d’en haut, et non à celles qui sont sur la terre. Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec Christ en Dieu. Quand Christ, votre vie, paraîtra, alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire. Faites donc mourir les membres qui sont sur la terre, l’impudicité, l’impureté, les passions, les mauvais désirs, et la cupidité, qui est une idolâtrie. C’est à cause de ces choses que la colère de Dieu vient sur les fils de la rébellion, parmi lesquels vous marchiez autrefois, lorsque vous viviez dans ces péchés.
Mais maintenant, renoncez à toutes ces choses, à la colère, à l’animosité, à la méchanceté, à la calomnie, aux paroles déshonnêtes qui pourraient sortir de votre bouche. Ne mentez pas les uns aux autres, vous étant dépouillés du vieil homme et de ses œuvres, et ayant revêtu l’homme nouveau, qui se renouvelle, dans la connaissance, selon l’image de celui qui l’a créé. Il n’y a ici ni Grec ni Juif, ni circoncis ni incirconcis, ni barbare ni Scythe, ni esclave ni libre; mais Christ est tout et en tous. Ainsi donc, comme des élus de Dieu, saints et bien-aimés, revêtez-vous d’entrailles de miséricorde, de bonté, d’humilité, de douceur, de patience.
Supportez-vous les uns les autres, et, si l’un a sujet de se plaindre de l’autre, pardonnez-vous réciproquement. De même que Christ vous a pardonné, pardonnez-vous aussi.
Mais par-dessus toutes ces choses revêtez-vous de la charité, qui est le lien de la perfection. Et que la paix de Christ, à laquelle vous avez été appelés pour former un seul corps, règne dans vos cœurs. Et soyez reconnaissants. Que la parole de Christ habite parmi vous abondamment; instruisez-vous et exhortez-vous les uns les autres en toute sagesse, par des psaumes, par des hymnes, par des cantiques spirituels, chantant à Dieu dans vos cœurs sous l’inspiration de la grâce. Et quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant par lui des actions de grâces à Dieu le Père. »

Suite : La fin et les moyens

[1] Voir le débat Sarkozy/Ramadan : http://www.dailymotion.com/video/x12nk3c_debat-complet-entre-tariq-ramadan-et-nicolas-sarkozy_news

[2] El Karadaoui explique très bien quand ces conditions seront réunies : Je pense que la charia doit être distillée graduellement. La loi de la charia est la loi de la nature. Nous devons faire les choses graduellement. Nous devons préparer le peuple, leur enseigner, le peuple doit apprendre. Nous devons faire l’effort d’enseigner au peuple la vérité de l’islam. Le peuple ne comprend pas bien la charia. Nous devons enseigner au peuple les lois de la charia et leur expliquer, avant tout autre chose. Je pense que durant les cinq premières années, nous ne devons pas amputer des mains. Voir

 https://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=EynEwSR7Vvc

[3] Les rédacteurs du coran ont mal recopié l’original, Jésus disait : si ta main droite est pour toi une occasion de chute, coupe-la et jette-la loin de toi; car il est avantageux pour toi qu’un seul de tes membres périsse, et que ton corps entier n’aille pas dans la géhenne. (Mathieu 5 :30)

[4] D’où la destruction des statues de Bouddha en Afghanistan, des mausolées des saints au Mali et la menace pesant sur le sphinx en Egypte

[5] Voir l’étude sur la préparation de l’établissement de la charia par le mouvement hallal sur http://pointdebasculecanada.ca/articles/10002587-d%C3%A9cembre-2010-un-dirigeant-des-fr%C3%A8res-musulmans-en-europe-encourage-les-musulmans-%C3%A0-%C2%ABconqu%C3%A9rir-le-monde-via-le-mouvement-halal%C2%BB.html

voir aussi https://www.dreuz.info/2019/12/03/halal-vecteur-dislamisation/

[6] Voir http://www.postedeveille.ca/crimes-dhonneur/

et : http://www.dreuz.info/2014/08/sur-le-viol-et-la-culture-de-la-honte-dans-le-monde-musulman/

[7] voir l’explication du principe par Abou Hammaad Sulaiman Dameus Al Hayiti dans https://app.box.com/s/yrm7uarqszu89a4ooqor et la classification des différents types de koufars (mécréants non musulmans)

[8] voir https://web.archive.org/web/20151230085516/http://www.asraralislam.com/Les%20secrets%20de%20l’islam/crucifixion_et_torture.html

[9] Voir https://web.archive.org/web/20151108215536/http://www.asraralislam.com/Les%20secrets%20de%20l’islam/les_corbeaux_de_la_ville_illuminee.html

[10] Pour les hommes le coran dit simplement de ne pas faire comme les non croyants, et de tout faire comme le prophète, le modèle parfait. Concernant la barbe, plusieurs hadiths de Muslim rapportent que le prophète a dit «Laissez poussez (vos) barbes ».  En terre d’islam, le dhimmi ne doit pas s’habiller comme un musulman, il doit respecter un signe distinctif (capitulation d’omar)

[11] L’Article 227 bis du code pénal tunisien stipule : “Est puni d’emprisonnement pendant six ans, celui qui fait subir sans violences, l’acte sexuel à un enfant de sexe féminin âgé de moins de quinze ans accomplis. La peine est de cinq ans d’emprisonnement si l’âge de la victime est supérieur à quinze ans et inférieur à vingt ans accomplis. La tentative est punissable. Le mariage du coupable avec la victime dans les deux cas prévus par le présent article arrête les poursuites ou les effets de la condamnation. “

En Algérie c’est l’article 326 qui disait la même chose, l’article 475 au Maroc, etc …..

[12] Voir la jurisprudence sur le mariage : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/remmm_0035-1474_1974_num_17_1_1265
http://www.dreuz.info/2013/10/video-temoignage-de-la-petite-nada-al-ahdal-10-ans-qui-a-fui-un-mariage-force/
http://www.dreuz.info/2014/08/sur-le-viol-et-la-culture-de-la-honte-dans-le-monde-musulman/
http://www.dreuz.info/2014/12/regles-a-appliquer-par-les-musulmans-sur-les-fillettes-et-femmes-esclaves-sexuelles
https://youtu.be/kqxorhOeomU pédophilie

[13] L’ancien principal de Creil raconte, trente ans après, l’histoire de la première brèche dans la laïcité par l’islamisme conquérant. Et c’est croquignolet, entre les prises de judo et les coups fourrés de la mairie et de l’éducation nationale : https://www.marianne.net/societe/l-ancien-principal-de-creil-j-ai-eu-affaire-la-premiere-breche-dans-la-laicite-par-un

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