Pierre le Vénérable publie une traduction du coran en latin en 1141 sous le titre « Lex Mahumet pseudoprophete » (Loi du pseudoprophète Mahomet) – Jacques Le Goff, Les Intellectuels au Moyen Àge, p20-21)
Qu’on donne à l’erreur mahométane le nom honteux d’hérésie ou celui, infâme, de paganisme, il faut agir contre elle, c‘est-à-dire écrire. […] Je me suis indigné de voir les Latins ignorer la cause d’une telle perdition et leur ignorance leur ôter le pouvoir d’y résister; car personne ne répondait, car personne ne savait. Je suis donc allé trouver des spécialistes de la langue arabe qui a permis a ce poison mortel d’infester plus de la moitié du globe. Je les ai persuadés à force de prières et d’argent de traduire d’arabe en latin l’histoire et la doctrine de ce malheureux et sa loi même qu’au appelle coran.
« Vois maintenant comment est mutilé Mahomet! Et celui qui marche et pleure devant moi est Ali, fendu au visage du menton au front; Et tous les autres qu’ici tu peux voir, étaient de leur vivant, les semeurs de discorde et de schismes, et pour cela sont maintenant ainsi fendus. »
Mahomet a séduit les peuples par des promesses de voluptés charnelles au désir desquelles pousse la concupiscence de la chair. Lâchant bride à la volupté, il a donné des commandements conformes à ses promesses, auxquels les hommes charnels peuvent obéir facilement.
En fait de vérités, il n’en a avancé que de faciles à saisir par n’importe quel esprit médiocrement ouvert…D’ailleurs, ceux qui dès le début crurent en lui ne furent point des sages instruits des sciences divines et humaines, mais des hommes sauvages, habitants des déserts, complètement ignorants de toute science de Dieu, dont le grand nombre l’aida, par la violence des armes, à imposer sa loi aux autres peuples.
Par contre, il [Mahomet] a entremêlé les vérités de son enseignement de beaucoup de fables et de doctrines les plus fausses. Il n’a pas apporté de preuves surnaturelles, les seules à témoigner comme il convient en faveur de l’inspiration divine, à savoir quand une oeuvre visible qui ne peut être que l’oeuvre de Dieu prouve que le docteur de vérité est invisiblement inspiré. Il a prétendu au contraire qu’il était envoyé dans la puissance des armes, preuves qui ne font point défaut aux brigands et aux tyrans. Aucune prophétie divine ne témoigne en sa faveur : bien au contraire, il déforme les enseignements de l’Ancien et du Nouveau Testament par des récits légendaires, comme c’est évident pour qui étudie sa loi. Aussi bien, par une mesure pleine d’astuces, il interdit à ses disciples de lire les textes de l’Ancien et du Nouveau Testament qui pourraient le convaincre de fausseté.
C’est donc chose évidente que ceux qui ajoutent foi à sa parole croient à la légère.
Quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d’or et de pierreries, peuplé de garçes d’excellente beauté, de vins et de vivres singuliers, je vois bien que ce sont des moqueurs qui se plient à notre bêtise pour nous emmiéler et attirer par ces opinons et espérances, convenables à notre mortel appétit.
L’islam! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers.
César et Mahomet ont rempli la terre de leur renommée. Le dernier est, dans la moitié de l’univers, respecté comme l’ami de Dieu ; dans l’autre, il est honoré comme un grand génie: cependant, ce Mahomet, simple courtier d’Arabie, sans lettres, sans éducation, et dupe lui-même en partie du fanatisme qu’il inspirait, avait été forcé, pour composer le médiocre et ridicule ouvrage nommé al-koran, d’avoir recours à quelques moines grecs. Or, comment, dans un tel homme, ne pas reconnaître l’ouvrage du hasard qui le place dans le temps et les circonstances où devait s’opérer la révolution à laquelle cet homme hardi ne fit guère que prêter son nom?
Pendant que les princes mahométans donnent sans cesse la mort ou la reçoivent, la religion, chez les chrétiens, rend les princes moins timides, et par conséquent moins cruels. […] Sur le caractère de la religion chrétienne et celui de la mahométane, on doit, sans autre examen, embrasser l’une et rejeter l’autre : car il nous est bien plus évident qu’une religion doit adoucir les mœurs des hommes, qu’il ne l’est qu’une religion soit vraie. C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée. […] La religion des Guèbres rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire.
J’exposerai comment la religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, la moins absurde dans ses pratiques, la plus tolérante dans ses principes, semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire, tandis que nous allons voir briller le génie des sciences et de la liberté, sous les superstitions les plus absurdes, au milieu de la plus barbare intolérance. La Chine nous offre le même phénomène, quoique les effets de ce poison abrutissant y aient été moins funestes.
Le culte sacré est toujours resté ou redevenu indépendant du souverain, et sans liaison avec le corps de l’État. Mahomet eut des vues très saines, il lia bien son système politique, et tant que la forme de son gouvernement subsista sous les califes ses successeurs, ce gouvernement fut exactement un, et bon en cela. Mais les Arabes devenus florissants, lettrés, polis, mous et lâches, furent subjugués par des barbares; alors la division entre les deux puissances recommença; quoi qu’elle soit moins apparente chez les mahométans que chez les chrétiens, elle y est pourtant, surtout dans la secte d’Ali, et il y a des États, tels que la Perse, où elle ne cesse de se faire sentir.Voltaire (1694-1778)
Il est à croire que Mahomet, comme tous les enthousiastes, violemment frappé de ses idées, les débita d’abord de bonne foi, les fortifia par des rêveries, se trompa lui-même en trompant les autres, et appuya enfin, par des fourberies nécessaires, une doctrine qu’il croyait bonne.
Mahomet le fanatique, le cruel, le fourbe, et, à la honte des hommes, le grand, qui de garçon marchand devient prophète, législateur et monarque.
Les musulmans sont animés de la rage de la malfaisance. Rien n’est plus terrible q’un peuple qui, n’ayant rien à perdre, combat à la fois par esprit de rapine et de religion.
Voltaire – lettre à M Thiriot – 1736 – cité dans « la laïcité, mère porteuse de l’islam »
Le mensonge n’est un vice que quand il fait du mal. C’est une très grande vertu quand il fait du bien. Soyez donc plus vertueux que jamais. Il faut mentir comme un diable, non pas timidement, non pas pour un temps, mais hardiment et toujours . Mentez mes amis, mentez, je vous le rendrai un jour.
Voltaire – Lettre 181 à M. Damillaville – 19 mars 1766
Le roi de Prusse mande que, sur mille ,hommes, on ne trouve qu’un philosophe; mais il excepte l’Angleterre. A ce compte, il n’y aurait guère que deux mille sages en France; mais ces deux mille, en dix ans, en produisent quarante mille; et c’est à peu pris tout ce qu’il faut; car il est à propos que le peuple soit guidé et non instruit; il n’est pas digne de l’être.
Voltaire – Lettre 186 à M. Damillaville – 1er avril 1766
Je crois que nous ne nous entendons pas sur l’article du peuple, que vous croyez digne d’être instruit. J’entends, par peuple, la populace, qui n’a que ses bras pour vivre. Je doute que cet ordre de citoyens ait jamais le temps ni la capacité de s’instruire; ils mourraient de faim avant de devenir philosophes. Il me paraît essentiel qu’il y ait des ,gueux ignorants. Si vous faisiez valoir comme moi une terre, et si vous aviez des charrues, vous seriez bien de mon avis. Ce n’est pas le manœuvre qu’il faut instruire, c’est le bon bourgeois, c’est l’habitant des villes; […] Quand la populace se mêle de raisonner, tout est perdu.
d’Alembert (1717-1783)
Les imams et les muphtis de toutes les sectes me paraissent plus faits qu’on ne croit pour s’entendre; leur but commun est de subjuguer, par la superstition, la pauvre espèce humaine.
Napoléon Bonaparte – Réimpression de l’ancien Moniteur – t. 29, Henri Pion – 1863 – p.500-501 – 1798 – cité dans « la laïcité, mère porteuse de l’islam »
Bonaparte: Gloire à Allah! Il n’y a point d’autre Dieu que Dieu; Mahomet est son prophète et je suis de ses amis.
Suleiman: Salut de paix sur l’envoyé de Dieu. Salut aussi sur toi, invin¬cible général, favori de Mohamed.
Bonaparte: Mufti, je te remercie. Le divin Coran fait les délices de mon esprit et l’attention de mes yeux. J’aime le Prophète, et je compte avant qu’il soit peu allé honorer son tombeau dans la ville sacrée [Médine]. Mais ma mission est auparavant d’exterminer les Mamelouks. […]
Bonaparte: Et si j’ai tempéré, par ordre d’en haut [de Dieu lui-même!] l’orgueil du vicaire d’Issa [Jésus en arabe coranique] en diminuant ses possessions terrestres [allusion aux campagnes d’Italie], pour lui amasser des trésors dans le ciel, dites, n’était-ce pas pour rendre gloire à Dieu, dont la Miséricorde est infinie?
Muhamed (d’un air interdit) : Le mufti de Rome était riche et puissant, mais nous ne sommes que de pauvres muftis […]
Bonaparte: Malheur, trois fois malheur, à ceux qui recherchent les richesses périssables et qui convoitent l’or et l’argent, choses semblables à la boue!
Suleiman : Tu as épargné le vicaire d’Issa, et tu l’as traité avec clémence et bonté.
Bonaparte: C’est un vieillard que j’honore […] ; mais il a eu le tort de condamner au feu éternel tous les musulmans, et Allah défend à tous l’intolérance.
Ibrahim: Gloire à Allah et à son prophète, qui t’a envoyé au milieu de nous pour réchauffer la foi des faibles et rouvrir aux fidèles les portes du septième ciel !
Bonaparte: Vous l’avez dit, très zélés muftis; soyez fidèles à Allah, le souverain maître des sept cieux, à Mahomet son vizir [vizir], qui parcourait tous ces cieux dans une nuit [allusion au voyage nocturne de Mahomet]. Soyez amis des Francs, et Allah, Mahomet et les Francs vous récompenseront.
Ibrahim: Que le prophète lui-même te fasse asseoir à sa gauche, le jour de la résurrection, après le troisième son de la trompette.
Bonaparte: Que celui-là écoute, qui a des oreilles pour entendre. L’heure de la résurrection politique est arrivée pour tous les peuples qui gémis¬saient sous l’oppression. Muftis, imans, mullahs, derviches, kalenders, instruisez le peuple d’Égypte! Encouragez-le à se joindre à nous pour achever d’anéantir les beys et les Mamelouks. Favorisez le commerce des Francs dans vos contrées et leur entreprise pour parvenir d’ici à l’ancien pays de Brama [l’Inde, pour rééditer les exploits d’Alexandre le Grand]. […] Éloignez de vous les insulaires d’Albion [les Britanniques], maudits entre les enfants d’Issa ! Telle est la volonté de Mahomet. Les trésors, l’industrie et l’amitié des Francs seront votre partage, en attendant que vous montiez au septième ciel, et qu’assis aux côtés des houris aux yeux noirs, toujours jeunes et toujours pucelles, vous vous reposiez à l’ombre du laba, dont les branches offriront d’elles-mêmes aux vrais musulmans tout ce qu’ils pourront désirer. […]
Muhamed: Noble successeur de Scander [Alexandre le grand, honneur à tes armes invincibles, et à la foudre inattendue qui sort du milieu de tes guerriers à cheval [artillerie volante, qui a beaucoup étonné les Mamelouks].
Bonaparte: Crois-tu que cette foudre soit une œuvre des enfants des hommes ? Le crois-tu ? Allah l’a fait mettre entre mes mains par le génie de la guerre. […] Un char céleste montera bientôt par mes ordres jusqu’au séjour des nuées; et la foudre descendra vers la terre le long d’un fil de métal dès que je l’aurai commandé [Bonaparte avait emmené avec lui des aérostiers, et fait installer un paratonnerre sur son palais du Caire] […] Lumières des fidèles, vous êtes destinés à voir encore de plus grandes merveilles car les jours de la régénération sont venus.
Histoire de Napoléon Buonaparte depuis sa naissance, en 1769 jusqu’à sa translation à l’île de Sainte-Hélène en 1815, par une société de gens de lettres, L.G. Michaud, 1817, p.136-139)
A son retour d’expédition jusque Saint jean d’Acre, les cheikhs de l’université d’al-Azhar au Caire y accueillirent Bonaparte avec la proclamation suivante, qu’il les força à publier :
« Il est arrivé au Caire, le Bien-Gardé, le chef de l’année française, le général Bonaparte, qui aime la religion de Mahomet. Il s’est arrêté avec ses soldats à Quoubbée [Qobbet el-Azeb], remerciant Dieu des faveurs dont il le comble. Il est entré au Caire par la porte des Victoires […] Ce qui était dans les destins a eu lieu: le Maître de l’univers agit toujours avec la même justice [..] Lorsque le général en chef est arrivé au Caire, il a fait connaître qu’il aime les musulmans, qu’il chérit le Prophète, qu’il s’instruit dans le Coran, qu’il le lit tous les jours avec attention ».
Napoléon Bonaparte – 1804 – Mémoires de Madame de Rémusat.
En Egypte, je me trouvais débarrassé du frein d’une civilisation gênante. Je rêvais toutes choses et je voyais les moyens d’exécuter tout ce que j’avais rêvé. Je créais une religion, je me voyais sur le chemin de l’Asie, parti sur un éléphant, le turban sur ma tête et dans ma main un nouvel Alcoran que j’aurais composé à mon gré. J’aurais réuni dans mes entreprises les expériences des deux mondes, fouillant à mon profit le domaine de toutes les histoires, attaquant la puissance anglaise dans les Indes, et renouant par cette conquête mes relations avec la vieille Europe. Ce temps que j’ai passé en Egypte a été le plus beau de ma vie, car il en a été le plus idéal.
Napoléon Bonaparte – 1805 – Austerlitz, dans Un aide de camp de Napoléon, mémoires de Philippe-Paul Ségur.
Si je m’étais emparé d’Acre, je prenais le turban; je faisais mettre de grandes culottes à mon Armée; je ne l’exposais plus qu’à la dernière extrémité; j’en faisais un bataillon sacré, mes Immortels! C’est par des Arabes, des Grecs, des Arméniens que j’eusse achevé la guerre contre les Turcs! Au lieu d’une bataille de Moravie je gagnais une bataille de l’Issus, je me faisais empereur d’Orient, et je revenais à Paris par Constantinople !
François-René de Chateaubriand – Mémoires d’outre-tombe – 1806
Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet. […] Continuez de discipliner des hordes de Turcs, d’Albanais, de Nègres et d’Arabes, et, avant vingt ans peut-être, le croissant brillera sur Saint Pierre. Appellerez-vous alors l’Europe à une croisade contre des infidèles armés de la peste, de l’esclavage et du Coran ? Il sera trop tard.
François-René de chateaubriand – Itinéraire de Paris à Jérusalem, Editions Garnier, p.334
Les croisades ne furent des folies, comme on affectait de les appeler, ni dans leur principe ni dans leur résultat. N’apercevoir dans les croisades que des pèlerins armés qui courent délivrer un tombeau en Palestine, c’est montré une vue très bornée en histoire. Il s’agissait non seulement de la délivrance de ce tombeau sacré, mais encore de savoir qui devait l’emporter sur la terre, ou d’un culte ennemi de la civilisation, favorable par système à l’ignorance, au despotisme, à l’esclavage, ou d’un culte qui a fait revivre chez les modernes le génie de la docte antiquité et aboli la servitude. Il suffit de lire le discours du pape Urbain II au concile de Clermont [1095] pour se convaincre que les chefs de ces entreprises guerrières n’avaient pas les petites idées qu’on leur suppose, et qu’ils pensaient à sauver le monde d’une inondation de barbares. L’esprit du mahométisme est la persécution et la conquête : l’Évangile au contraire ne prêche que la tolérance et la paix… Où en serions-nous si nos pères n’eussent repoussé la force par la force ? Que l’on contemple la Grèce et l’on apprendra ce que devient un peuple sous le joug des Musulmans. Ceux qui s’applaudissent tant aujourd’hui du progrès des lumières auraient-ils donc voulu voir régner parmi nous une religion qui a brûlé la bibliothèque d’Alexandrie, qui se fait un mérite de fouler aux pieds les hommes et de mépriser souverainement les lettres et les arts ? Les croisades, en affaiblissant les hordes mahométanes au centre même de l’Asie, nous ont empêchés de devenir la proie des Turcs et des Arabes. »
Lamartine – discours à la chambre
Remettre les rivages et les villes de l’Afrique à des princes arabes, ce serait confier la civilisation à la barbarie, la mer à la garde de ses pirates, nos colons à la protection et à l’humanité de leurs bourreaux. […] Si l’or a son poids, la politique, l’honneur national, la protection désintéressée du faible, l’humanité, n’ont-ils pas le leur ? Abandonnerions-nous ces mers à leurs pirates ? Les côtes de France, d’Italie et d’Espagne à leurs insultes ? Repousserions-nous les bénédictions de ces rivages que nous avons affranchis de leur terreur ? Laisserons-nous repeupler d’esclaves français et européens ces nids d’esclavage que nous avons détruits pour jamais ?
Alexis de Tocqueville (1805-1859) -1843 – Oeuvres, papiers et correspondances d’Alexis de Tocqueville
L’islam, c’est la polygamie, la séquestration des femmes, l’absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de l’intérieur de la famille. […] J’ai beaucoup étudié le Coran […] Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu’il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd’hui si visible du monde musulman […] je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès.
Maupassant – au soleil
Et ceux-là des Arabes qu’on croyait civilisés, qui se montrent en temps ordinaire disposés à accepter nos mœurs, à partager nos idées, à seconder notre action, redeviennent tout à coup, dès que le ramadan commence, sauvagement fanatiques et stupidement fervents. Il est facile de comprendre quelle furieuse exaltation résulte, pour ces cerveaux bornés et obstinés, de cette dure pratique religieuse.
Ernest Renan (1823 – 1892) – De la part des peuples sémitiques dans l’histoire de la civilisation: discours d’ouverture du cours de langues hébraïque, chaldaïque et syriaque, au Collège de France – 1862
L’islamisme ne peut exister que comme religion officielle; quand on le réduira à l’état de religion libre et individuelle, il périra. L’islamisme n’est pas seulement une religion d’État, comme l’a été le catholicisme en France, sous Louis XIV, comme il l’est encore en Espagne, c’est la religion excluant l’État… Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d’Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L’Islam est la plus complète négation de l’Europe; l’Islam est le fanatisme, comme l’Espagne du temps de Philippe II et l’Italie du temps de Pie V l’ont à peine connu; L’Islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile; c’est l’épouvantable simplicité de l’esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à tout recherche rationnelle, pour le mettre en face d’une éternelle tautologie : Dieu est Dieu…
L’islam est contraire à l’esprit scientifique et hostile au progrès. Il a fait des pays qu’il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l’esprit. Les musulmans sont les premières victimes de l’islam. Le fanatisme est le fait d’une minorité d’hommes dangereux qui, par la terreur, maintiennent les autres dans la pratique de l’islam. Affranchir le musulman de sa religion est le plus grand service qu’on puisse lui rendre.
Renan
La science et la philosophie ont fleuri sur le sol musulman durant la première moitié du Moyen Âge, mais ce n’était pas en raison de l’islam : c’était malgré l’islam. Pas un seul philosophe ou un seul érudit musulman qui n’ait échappé à la persécution. Durant cette période, la persécution est moins forte que la soif de découvertes et la tradition rationaliste est encore vivante. Ensuite, l’intolérance et le fanatisme gagnent la bataille. Il est vrai que l’Eglise catholique a aussi fait d’immenses difficultés à la science au Moyen Âge, mais elle ne l’a pas complètement étranglée, comme le fit la théologie musulmane. Donner à l’islam le crédit d’Averroès et de tant d’autres penseurs illustres, qui passèrent la moitié de leur vie en prison, dans la clandestinité, en disgrâce, dont les livres furent brûles et dont les écrits furent impitoyablement censurés par l’autorité religieuse, c’est attribuer à l’inquisition la gloire des découvertes de Galilée et tous les développements scientifiques qu’elle n’a pu réprimer. (Renan, cité par Ibn Waraq – pourquoi je ne suis pas musulman p 330)
Gustave Flaubert – Lettre à Madame Roger des Genettes – 1878
Sans doute par l’effet de mon vieux sang normand, depuis la guerre d’Orient, je suis indigné contre l’Angleterre, indigné à en devenir Prussien ! Car enfin, que veut-elle ? Qui l’attaque ? Cette prétention de défendre l’Islamisme (qui est en soi une monstruosité) m’exaspère. Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise La Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme.
Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770-1831)
Le plus grand mérite pourtant est de mourir pour la foi, et celui qui meurt pour elle en bataille, est sûr d’entrer au paradis.
Arthur Schopenhauer (1788 -1860)
Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme.(.) je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde. »
Alfred de Vigny (1797-1863)
Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte.
Monseigneur Louis Pavy – Évêque d’Alger (1805-1866)
Celui qui prétend être le prophète d’Allah devrait avoir des lettres de créances, c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie. Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu.
Victor Hugo – Choses vues – 1887
Enfer chrétien, du feu. Enfer païen, du feu. Enfer mahométan, du feu. Enfer hindou, des flammes. A en croire les religions, Dieu est né rôtisseur.
Charles de Foucauld (1858-1916)
Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? (…) d’une manière générale, non (…) Dans cette foi le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non-musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non-musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve.
Winston Churchill (1874-1965) – The River War II : An Historical Account Of The Reconquest Of The Soudan- 1899 – pages 248-250
Combien redoutables sont les malédictions que la religion mahométane fait peser sur ses dévots! A côté de la frénésie fanatique, aussi dangereuse chez un homme que l’hydrophobie chez un chien, il y a cette effrayante apathie fataliste. Ses effets sont manifestes dans de nombreux pays. Une imprévoyance coutumière, une agriculture négligente, des méthodes de commerce léthargiques, une insécurité de la propriété existent partout où les fidèles du Prophète gouvernent ou vivent. Une sensualité avilie ôte à cette vie ses grâces et ses raffinements, et à la suivante sa dignité et son caractère sacré[…]. Les musulmans peuvent montrer de splendides qualités, mais l’influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles. Il n’existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde. Loin d’être moribonde, la religion mahométane est une foi militante et prosélyte. Elle s’est déjà étendue à travers l’Afrique Centrale, dressant à chaque étape des guerriers sans peur ; et si la Chrétienté n’était protégée par les bras puissants de la Science, la science contre laquelle elle avait lutté en vain, la civilisation de l’Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique.
Quotidien australien – The age 9 mai 1917
Chassés de Palestine – l’impuissant destin des Juifs
Les organisations sionistes de New York ont reçu une information de la Palestine selon laquelle les Turcs chassent les Juifs de leurs maisons au milieu de scènes de vandalisme et de pillage.
Un rapport indique que Djemal Pacha, ministre de la Marine [turque], a déclaré qu’il fera subir aux Juifs le sort des Arméniens.
Huit mille Juifs ont été chassés de Jaffa. Certains qui ont résisté ont été pendus. Trois cents furent expulsés de Jérusalem. Beaucoup ont rampé vers le désert et sont morts.
Le « Jewish Chronicle » a publié des détails terribles sur la situation désespérée des Juifs en Palestine. Il affirme que les Juifs sont forcés de quitter Jaffa, bien que les Mahométans et les Chrétiens soient autorisés à y rester.
Les Juifs de Jaffa, au nombre de 8000, n’ont pas été autorisés à emporter leurs biens ou leur nourriture. Les maisons sont pillées avant même le départ des propriétaires. Les routes vers Jaffa sont bordées de milliers de réfugiés juifs affamés.
De nombreux Juifs riches ont été retrouvés morts sur les collines de sable, manifestement victimes de vols et de meurtres. Lorsque les Juifs organisèrent des gardes du corps pour surveiller les routes, les autorités turques emprisonnèrent immédiatement les gardes
Lord Arthur Balfour (1848–1930) – Déclaration du 2 novembre 1917 du ministre britannique des Affaires étrangères à Lord Lionel Walter Rothschild (1868-1937) vice-président du Board of Jewish Deputies.
«Cher Lord Rothschild,«J’ai le grand plaisir de vous adresser, de la part du gouvernement de Sa Majesté, la déclaration suivante, en sympathie avec les aspirations juives sionistes; cette déclaration a été soumise au Cabinet et approuvée par lui. Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un Foyer national pour le peuple juif, et il emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui porte atteinte aux droits civils et religieux des communautés non juives de Palestine ainsi qu’aux droits et aux statuts politiques dont les Juifs jouissent dans les autres pays.»
Mustapha Kémal Ataturk (1881-1938)– 1920, dans Méhémet Ali, le fondateur de l’Egypte moderne
Depuis plus de 500 ans, les règles et les théories d’un vieux sheikh arabe, et les interprétations abusives de générations de prêtres crasseux et ignares ont fixé, en Turquie, tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la constitution, les moindres faits et gestes de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil, la coupe de ses vêtements, ce qu’il apprend à l’école, ses coutumes, ses habitudes et jusqu’à ses pensées les plus intimes. L’islam, cette théologie absurde d’un bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies.
Mais pourquoi nos femmes s’affublent-elles encore d’un voile pour se masquer le visage, et se détournent-elles à la vue d’un homme ? Cela est-il digne d’un peuple civilisé ? Camarades, nos femmes ne sont-elles pas des êtres humains, doués de raison comme nous ? Qu’elles montrent leur face sans crainte, et que leurs yeux n’aient pas peur de regarder le monde ! Une nation avide de progrès ne saurait ignorer la moitié de son peuple !
Vous venez me parler des avantages que nous a valu notre conversion à l’Islam, et moi je vous dis : regardez ce qu’elle nous a coutée !
Hermann von Keyserling (1880 – 1946) – La révolution Mondiale et la responsabilité de l’Esprit – 1934
Dès le commencement de la révolution allemande, je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l’islam et cette impression n’a fait que se préciser et s’affermir depuis. L’islam, qui à l’origine était la foi d’une obscure tribu nomade, conquit avec une rapidité vertigineuse la plus grande partie de l’Orient qui comptait alors, historiquement parlant, et cela parce qu’il constituait un mouvement puriste et purificateur au milieu d’un monde civilisé à l’extrême et moralement pourri. Sans la corruption monstrueuse de l’époque précédente, corruption plus contraire que tout au monde au tréfonds du caractère allemand, Adolf Hitler n’eut jamais pu, en un temps si court réunir autour de lui l’écrasante majorité du peuple. Mais la lutte contre la corruption entraine la suprême estime accordée aux valeurs de caractères;et par la, le critère auparavant valable de la culture et de l’esprit tombe en désuétude. Les vertus les plus simples et les plus élémentaires deviennent déterminantes, et ainsi nait du jour au lendemain, qu’il s’agisse du national-socialisme ou de l’islam, une nouvelle unité, dont la force et la tension sont immenses; et en face de cette unité on voit s’écrouler et se réduire à néant la plupart des différences précédemment importantes (dans le cas de l’islam, les différences entre les peuples et les cultures; en Allemagne, les classes et les partis). En outre les deux mouvements sont essentiellement religieux, et non pas politiques. Si l’on observe les points essentiels, ils se distinguent surtout en ceci : l’esprit de l’islam était originellement nomade et partant conquérant et il le resta durant des siècles; le national-socialisme, par contre représente une rupture avec le déracinement provoqué par l’ère intellectualiste, et un retour aux racines du Sang et de la Terre.
Heinrich Himmler (1900 – 1945) -1943 : « Je n’ai rien contre l’islam, parce que cette religion se charge elle-même d’instruire les hommes, en leur promettant le ciel s’ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille: bref, c’est une religion très pratique et séduisante pour un soldat.
Adolf Hitler (1889-1945)
Que le Christianisme est bien quelque chose de fade – Nous aurions bien mieux encore reçu le Mahométisme, cette doctrine de la récompense de l’héroïsme : le combattant seul a le septième ciel ! Les Germains auraient avec cela conquis le monde, ce n’est que par le Christianisme que nous en avons été tenus éloignés.
Carl-Gustav Jung (1875-1961)
La religion d’Hitler est la plus proche qui soit de l’islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l’islamisme, elle prêche la vertu de l’épée.
Bertrand Russel – The Practice and Theory of Bolshevism – 1920
D’entre les religions, le bolchevisme doit être comparé avec le Mahométisme plutôt qu’avec le Christianisme ou le Bouddhisme. Le Christianisme et le Bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour contemplatif. Le Mahométisme et le bolchevisme sont concrets, sociaux, dénués de spiritualité et intéressés à étendre leur domination sur ce monde.
Ainsi, plus d’un milliard de personnes croient en Allah, sans vraiment savoir ce qu’Allah supposément représente ni ce qu’il leur demande vraiment, et la minorité qui le comprenne continue à être musulmans car ils ont redéfini leur moralité et leur éthique afin qu’ils s’adaptent aux enseignements de l’islam, qui sont en manque flagrant de moralité. Ils ont donc redéfini le bien et le mal afin d’adapter leur vie à ce qui est prêché par l’islam, au lieu d’examiner l’islam pour voir s’il s’inscrit dans le cadre de ce qui est bon. Pensées arriérées imposées par une religion arriérée.
André Malraux – 3 juin 1956, Time – Dossier : Un siècle religieux
C’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. À l’origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n’ont trouvé la réponse. De même aujourd’hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l’islam. En théorie, la solution paraît d’ailleurs extrêmement difficile. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l’aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d’État. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s’établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis “musulmane” je pense moins aux structures religieuses qu’aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l’islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard ! Les “misérables” ont d’ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution.
Charles de Gaulle (1890-1970) à propos des citoyens d’Algérie
A Alain Peyrefitte :
Qu’on ne se raconte pas d’histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés, avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants… Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille : au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber 10 millions de musulmans, qui demain seront 20 millions et après-demain 40 ? Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées !
en novembre 1960 à Pierre Laffont, député d’Algérie et directeur de L’Écho d’Oran :
On a dit récemment que l’Algérie était la plus française des provinces de France. Plus française que Nice et la Savoie. C’est inepte ! Nice et la Savoie sont peuplées de chrétiens, parlent français, ne se sont pas, à cinq reprises, soulevées contre la France. » Et il le répète après le Conseil des ministres du 4 juillet 1962, le lendemain même de la proclamation officielle de l’indépendance et donc de la fin de l’Algérie française, le 3 juillet, laquelle était la conséquence du référendum d’autodétermination des Algériens du le‘ juillet, approuvé par 99,72 % des suffrages exprimés : « On se rendra peut-être compte que le plus grand de tous les services que j’ai pu rendre au pays, ce fut de détacher l’Algérie de la France, et que, de tous, c’est celui qui m’aura été le plus douloureux. Avec le recul, on comprendra que ce cancer allait nous emporter. On reconnaîtra que l’intégration », la faculté donnée à 10 millions d’Arabes, qui deviendraient 20, puis 40, de s’installer en France comme chez eux, c’était la fin de la France.
Michel Poniatowski, ministre de 1974 à 1977
Cette âme, la France est en train de la perdre… surtout, à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluri-culturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer. … Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages: celui du « cher et vieux pays » dont parle le général de Gaulle et celui du campement avancé du tiers monde africain … Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées.
Jacques Ellul, hebdomadaire Réforme en 1989
« Je dirais « oui », aisément, au bouddhisme, au brahmanisme, à l’animisme… mais l’islam, c’est autre chose. C’est la seule religion au monde qui prétende imposer par la violence sa foi au monde entier. Je sais qu’aussitôt on me répondra : » Le christianisme aussi ! » Et l’on citera les croisades, les conquistadors, les Saxons de Charlemagne, etc. Eh bien il y a une différence radicale. Lorsque les chrétiens agissaient par la violence et convertissaient par force, ils allaient à l’inverse de toute la Bible, et particulièrement des Evangiles. Ils faisaient le contraire des commandements de Jésus, alors que lorsque les musulmans conquièrent par la guerre des peuples qu’ils contraignent à l’Islam sous peine de mort, ils obéissent à l’ordre de Mahomet.
Anne-Marie Delcambre – L’Islam des interdits – 2003
Au risque de choquer, il faut avoir le courage de dire que l’intégrisme n’est pas la maladie de l’Islam. Il est l’intégralité de l’Islam. Il en est la lecture littérale, globale et totale de ses textes fondateurs. L’Islam des intégristes, des islamistes, c’est tout simplement l’Islam juridique qui colle à la norme.
Le Haut Conseil à l’Intégration HCI rappelle unanimement qu’en République, la critique de la religion, comme toutes les convictions, est libre, qu’elle est constitutionnellement garantie et qu’elle fait partie de la liberté d’opinion et d’expression. Elle ne saurait être assimilée au racisme et à la xénophobie, que les membres du haut conseil à l’intégration réprouvent et combattent activement. La pratique de la religion étant libre, l’islamophobie, c’est à dire la peur ou la détestation de la religion islamique, ne relève pas du racisme. (Rapport annuel de 2005 du haut conseil à l’intégration)
Michel Onfray – Traité d’athéologie – 2006
L’islam est structurellement archaïque : point par point, il contredit tout ce que la philosophie des Lumières a obtenu depuis le XVIIIe siècle en Europe et qui suppose la condamnation de la superstition, le refus de l’intolérance, l’abolition de la censure, le rejet de la tyrannie, l’opposition à l’absolutisme politique, la fin de toute religion d’Etat, la proscription de la pensée magique, l’élargissement de toute liberté de pensée et d’expression, la promulgation de l’égalité des droits, la considération que toute loi relève de l’immanence contractuelle, la volonté d’un bonheur social ici et maintenant, l’aspiration à l’universalité du règne de la raison. Autant de refus clairement signifiés à longueur de sourate…
le romancier et dramaturge algérien Mohamed Kacimi affirme :
« [le noeud de la crise du monde musulman] se situe essentiellement autour de la femme et de la sexualité. Avec l’obsession de «l’honneur», du regard des autres sur «nos» femmes. Dans le langage des religieux, la femme est qualifiée de «Aoura», c’est-à-dire de «honte». Pour dire cette obsession, il faut souligner que la plupart des titres islamistes que l’on vend dans les rues du Caire ou de Rabat portent essentiellement là-dessus, on y trouve comment punir sa femme, comment maîtriser la créature de Satan, comment contrôler ses instincts, etc. Je suis interloqué d’entendre évoquer «la volupté du monde arabe», les Mille et Nuits, à chaque fois qu’il y a une crise ; de voir ces quelques penseurs qui nous ressortent les «délices» d’une civilisation qui a produit les harems, et le ḥammâm, et «l’Orient». Ce n’est pas parce que quelques figures ont traversé quinze siècles d’obscurantisme, à cause de quelques moments privilégiés à Bagdad, Damas ou Cordoue, qu’on peut occulter ou, pis, magnifier toute cette histoire de lente décadence qui mène l’homme, aujourd’hui, à ce culte de la mort et à ce déni de l’amour. Tout comme il fonctionne sur une foi aveugle dans les textes, l’islamisme peut-être également perçu comme l’émanation et l’expression d’une profonde misère sexuelle collective. La femme réelle est voilée, occultée, interdite, déclarée par la plupart des pays comme mineure pour mieux exalter les «vierges du Paradis». Comme si tout ce qui est vivant faisait de l’ombre à Allah !» (Libération, 07/10/2006).
Jean Paul II – entretiens – février 2010
Quiconque lit le coran, en connaissant déjà bien l’ancien et le nouveau testament, percevra clairement le processus de réduction dont la Révélation divine y est l’objet. Il est impossible de ne pas être frappé par l’incompréhension qui s’y manifeste de ce que Dieu a dit de lui-même, d’abord dans l’Ancien Testament par les prophètes, ensuite de façon définitive dans le nouveau testament par son Fils. Toute cette richesse de l’auto-révélation de Dieu, qui constitue le patrimoine de l’Ancien et du nouveau testament, a été, en fait, laissée de côté dans l’Islam Le Dieu du Coran est […] un Dieu qui reste étranger au monde. Un Dieu qui est seulement Majesté et jamais Emmanuel, « Dieu-avec-nous ». L’Islam n’est pas une religion de rédemption. […] C’est pourquoi non seulement la théologie mais encore l’anthropologie de l’Islam sont très éloignées de celles du Christianisme.
Imran Firasat, un réfugié pakistanais résidant en Espagne, soumet au Premier ministre, au Congrès des députés, au ministre des Affaires étrangères et au ministre de l’Intérieur un document dans le lequel il présente les 10 points suivants au soutien de sa pétition demandant l’interdiction du coran du 12 avril 2012 :
- Le coran n’est pas un livre sacré religieux mais un livre violent, débordant de haine et de discriminations.
- Le coran est un livre horrible qui incite une communauté appelée « les musulmans » à s’engager dans le djihad, à tuer des innocents et à détruire la paix dans le monde.
- Le coran est responsable de tous les actes terroristes commis ces dernières années dans lesquels des milliers de personnes ont perdu la vie.
- Le coran est un livre infâme qui oblige les croyants à conquérir le monde entier et à imposer un pouvoir absolu coûte que coûte.
- Le coran est un livre qui, en toute légalité, permet et encourage la violence et la haine, ce qui le rend incompatible avec le monde moderne, Espagne comprise.
- Le coran est un livre qui établit des discriminations directes entre les personnes.
- Le coran est un livre qui n’autorise ni liberté d’expression ni liberté de religion.
- Le coran est un livre qui impose des souffrances et tortures aux femmes par ses prescriptions misogynes et injustes.
- Le coran est un livre qui enseigne les divisions plutôt que l’unité : les croyants ne sont pas autorisés à créer des liens d’amitié avec les non musulmans, car le coran les considère comme des infidèles.
- Le coran est une menace considérable pour la liberté de la société espagnole. C’est un livre qui prêche clairement le djihad, le meurtre, la haine, la discrimination et la vengeance. Pour ces raisons il ne peut en aucune façon être compatible avec le système espagnol. Ce livre est totalement contraire aux lois et à la Constitution de l’Espagne et il incite à la haine et à la violence dans notre pays.
Alain Wagner 2012
Qu’est-ce que le racisme ? Quand vous séparez l’humanité en groupes, jusque là ce n’est pas du racisme. Mais quand vous introduisez une hiérarchie entre ces groupes, et que vous dites : « Ces humains sont meilleurs que ceux-là et ceux-ci sont inférieurs et impurs » alors vous êtes raciste. Vous n’êtes pas un raciste « génétique », vous êtes un raciste religieux. Et la Charia introduit le racisme religieux en Europe, c’est inacceptable.
Et vous devriez tous vous sentir concernés ici parce que pour la Charia, vous êtes la part inférieure de l’humanité. Vous êtes les Kaffirs, les incroyants, les mécréants, vous n’êtes même pas des êtres humains. Et c’est un problème!
Et la Charia c’est aussi la xénophobie religieuse. Car vous apprenez à haïr les gens parce qu’ils ne croient pas comme vous. Nous sommes des sociétés démocratiques, nous ne haïssons pas les gens à cause de leurs pensées, nous agissons, et devons agir, à cause de ce qu’ils font.
Manuel Valls février 2013, le parisien
Nous faisons face à un ennemi extérieur au Mali, nous faisons aussi face à un ennemi intérieur qui est le fruit d’un processus de radicalisation. Il part de la petite délinquance, passe par le trafic de drogue, parfois par la prison, jusqu’à la conversion à un islamisme radical et à la haine de l’Occident. Il y a en France aujourd’hui plusieurs dizaines de Merah potentiels… Tous ne passent pas à l’acte, mais il faut se prémunir.
Il faut que l’islam de France s’organise avec des imams français formés dans nos universités, qui parlent français, qui prêchent en français. Il faut aussi avoir une discussion sur le financement des lieux de culte : j’admets de moins en moins que ce soient des pays tiers, parfois amis, parfois non, qui financent les lieux de culte.
Ayaan Hirsi Ali
« Si on définit l’islam comme la religion fondée par le Prophète et expliquée par le Coran, et plus tard par les hadiths, alors il n y a qu’un seul islam, qui dicte un cadre moral. Cela dit, il y a des musulmans, ici ou là, qui ne veulent pas respecter la totalité des préceptes – les alévis turcs, certains musulmans de France boivent du vin – mais il y a toujours le risque de les voir confrontés à la pression des fanatiques qui les interrogent sur leur observance. Or, ces derniers ne peuvent que gagner, car le Coran est très clair sur les commandements. C’est pourquoi il faut adopter une perspective historique et reconnaître que l’humanité s’est développée et a beaucoup appris depuis le VIIe siècle. C’est à cette condition qu’il y aura un nouveau moment. »
Ibn Warraq
« L’Occident ne doit pas jouer avec la démocratie et doit renoncer à des politiques qui compromettent ses principes pour des gains à court terme aussi bien chez lui qu’à l’étranger. L’essor du fascisme et du racisme en Occident est la preuve que tout le monde n’est pas amoureux de la démocratie. Par conséquent, la bataille finale ne sera pas nécessairement entre l’islam et l’Occident mais entre ceux qui attachent du prix à la liberté et ceux qui n’en attachent aucun ».
Taslima Nasreen
c’est parce que le texte existe qu’ils peuvent s’en servir. Si ce texte n’était pas considéré comme provenant d’Allah, intangible pour tous les temps passés et à venir, alors le Coran ne serait pas important. En réalité, les fondamentalistes peuvent justifier leurs crimes du seul fait que ce texte est considéré comme saint ».
Tahir Aslam Gora, écrivain pakistanais exilé au Canada, dans « Pourquoi les terroristes sont-ils musulmans ? »
« Examinons donc la réelle cause première du terrorisme islamique : l’islam actuel. Les leaders mondiaux, afin de maintenir une certaine harmonie du culte, déclarent que l’islam est une religion de paix. Alors qu’il existe en réalité plusieurs failles fondamentales dans les enseignements dispensés par le Coran : inégalité des sexes, intolérance envers les non musulmans et libertés personnelles limitées (y compris la liberté d’expression et la créativité artistique). S’il est vrai que l’organisation du terrorisme islamique relève d’un petit pourcentage d’extrémistes, ce terrorisme ne semble pas pour autant fortement condamné par la majorité des autres musulmans. […] Les théoriciens progressistes soutiennent que l’islam a été « détourné » et clament que les musulmans ordinaires n’encouragent pas le terrorisme. Si cette déclaration est véridique, comment alors justifier qu’Oussama Ben Laden soit un héros dans la plupart des contrées islamiques ? […] Cette dévotion ne résulte ni de l’illettrisme ni de la pauvreté. Mais plutôt de la manière dont l’islam est enseigné »
Education d’un musulman – http://ex-musulmans.over-blog.com/article-interview-d-un-ancien-musulman-ayant-apostasie-100157842.html
Muhammed Younus Shaikh, pakistanais condamné à mort pour blasphème – L’Islam et les femmes – http://ex-musulmans.over-blog.com/article-dr-younus-shaikh-l-islam-et-les-femmes-100739901.html
Amel Shumoun Nona (archevêque de Mossoul)
Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche. S’il vous plaît, il faut que vous compreniez. Vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur ici. Vous devez reconsidérer la réalité, car vous accueillez un nombre croissant de musulmans. Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut prendre des décisions courageuses et dures, y compris en allant à l’encontre de vos principes. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux, mais ce n’est pas une chose certaine. L’Islam ne dit pas que tous les êtres humains sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas cela rapidement, vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison.
Nasir ben – http://www.youtube.com/watch?v=1mnaRtwWCDI&feature=player_embedded
Pour les musulmans, tuer au nom de l’islam est un grand honneur, et mourir pour l’islam est un honneur plus grand encore, ce qui revient à dire que le fait qu’il y ait des êtres humains et des vies humaines en jeu a été occulté dès l’enfance. On apprend aux enfants dès le plus jeune âge que la plus grande demande faite à un musulman est de tout donner pour Allah et que cela ait un sens, que cela soit humain ou inhumain, personne ne pose la question.
Les juifs, je les haïssais sans me poser de questions, je n’avais pas besoin qu’on me l’enseigne. Pourquoi ? Et bien, avant que d’arriver en Allemagne, je suis allé à l’école coranique, puis à l’école dans le pays arabe d’où je viens. Dès le début, on n’entendait partout qu’une seule chose dans ce pays : les juifs sont mauvais, ce sont les ennemis de dieu, ils ne sont pas humains, dieu les a damnés, certains furent changés en singes comme le dit le coran. Autant dire que cette image des juifs fut imprimée en moi dès le début : l’image d’un ennemi. Et je les haïssais, je les méprisais.
Je voulais les tuer, ces juifs, mais aussi les chrétiens et tous ceux qui ne sont pas musulmans. Pour un musulman, tous les non musulmans sont des incroyants. Je les méprisais tous également, peut-être pas avec la même intensité dans la haine ou dans le désir que j’avais de les tuer, mais les chrétiens n’avaient aucune valeur à mes yeux, ils n’étaient que des incroyants. Les bouddhistes et les athées étaient sans valeur, ils n’étaient tous que des créatures qui ne pourraient être utiles que s’ils se convertissaient à l’islam.
Le monde doit être islamisé, c’est ce qu’enseignaient les intellectuels et religieux islamiques et c’est ce qui est propagé par les leaders du monde islamique. Le monde des infidèles porte le nom de « domaine de la guerre » Là où l’islam est religion officielle, c’est le « domaine de l’islam » et donc le « domaine de la paix » Cela signifie que cette injonction « le monde doit être islamisé » a toujours existé et que ceux qui aiment l’islam, et bien sur j’en faisais partie car j’étais un bon musulman, n’ont de cesse que cela ne devienne réalité, c’est-à-dire l’islamisation de l’Allemagne et de toute l’Europe afin d’obéir aux exigences de Mohamed.
Si l’on pose un œil critique sur l’histoire, sur la vie de Mohamed, sur les enseignements islamiques, si l’on se penche sur ces faits, qui sont des faits certains, du point de vue chrétien et aussi du point de vue scientifique musulman, si l’on se confronte à ces faits, il est alors étrange de persister à croire que l’islam est une religion pacifique. J’y vois purement et simplement une tactique que les officiels musulmans utilisent lorsqu’ils veulent obscurcir ces vérités, lorsqu’ils veulent endormir les chrétiens pour que ceux-ci soient assoupis pendant que l’Europe s’islamise, qu’ils dorment pendant qu’on leur montre de fausses et perfides représentations et qu’on voile la vérité. C’est une partie de la stratégie employée pour islamiser l’Europe.
Le coran, c’est la révélation de la parole de dieu à travers Mohamed, c’est la parole ultime pour tous les peuples et pour tous les temps. Le coran ne peut être changé et n’est donc pas réformable. L’adoucissement des brutales lois théologiques et théories musulmanes etc … dans le but de les faire se conformer à une société libre et démocratique sera critiquée et attaqué par les musulmans.
Si vous êtes en colère contre les fondamentalistes musulmans, c’est injuste. Pourquoi ? Parce que ces fondamentalistes représentent exactement l’islam dans tous ses aspects. Je sais qu’ils jeûnent, qu’ils prient, qu’ils obéissent aux lois religieuses et je sais qu’ils sont prêts à tuer ou ont déjà tué afin d’obéir aux lois islamiques. Il ne faut pas oublier et il ne faut pas non plus nier le fait que l’on n’a pas affaire à des fanatiques ou à des islamistes mais bien à des gens qui suivent leur foi de musulman de A à Z, qui veulent satisfaire à tous ses préceptes sans exception.
Je remarque que la sourate 9, verset 41 dit au musulman « Lancez-vous au combat, et luttez avec vos biens et vos personnes dans le chemin d’Allah ». Les musulmans ont l’ordre de faire la guerre sainte de diverses façons. et ça ne consiste pas toujours uniquement en des bombardements, la guerre, l’épée et les armes à feu, mais aussi en tactiques et ruses. Si les moyens pacifiques sont effectifs alors ils doivent être utilisés en premier, particulièrement si l’on n’a pas l’avantage de la supériorité militaire. Si l’on ne peut entrer par la porte de devant, on doit choisir la porte de derrière pour établir l’islam dans la société.
C’est une chose que l’on apprend dès l’enfance : il fut le prophète, l’envoyé de dieu, son élu et toutes ses actions furent justes, quoiqu’on puisse en penser ou ressentir, ce qu’a dit ou fait le prophète était juste. En d’autres termes quand les femmes étaient violées, quand un territoire ou une cité était conquise, cela était sain, car ces femmes n’étaient de toute façon que des incroyantes. Le prophète l’avait fait et en avait maintes fois donné l’ordre.
Si vous commencez à remettre en question de manière critique la religion ou Mohamed, vous vous sentez immédiatement coupable. Pourquoi ? Parce qu’on apprend dès le plus jeune âge que critiquer ne serait-ce qu’un peu l’islam est un défaut du comportement et non pas une critique qui se justifie. Demander : « Pourquoi Mohamed a-t-il agi ainsi ? » est un des péchés les plus graves. « Pourquoi est-ce dans le coran ? » Poser une telle question est déjà l’une des fautes les plus graves. Et c’est à ce niveau que fonctionne un bon lavage de cerveau. Dans ce système, on n’a pas le droit de poser des questions. Si j’y vois des défauts ca équivaut à un péché. Je n’ai plus qu’à ouvrir grand l’oreille et de dire : OK, quels ordres me donne-t-on, que dois-je faire ? Et lorsque l’on me donne l’ordre de tuer, je réponds : « Présent ! » et je tue.
Et puis, il y a cet édit qui menace de peine de mort celui qui abandonne l’islam pour une autre religion. Ceci est un fait indéniable. J’ai une épée suspendue au-dessus de ma tête. Ce n’est pas une situation agréable. Et ensuite on se trouve séparé de sa famille, on est ostracisé par la société musulmane dont on faisait partie, on perd une part de son cœur et de sa vie, et que ces menaces viennent de mes cercles, et non pas d’un endroit imaginaire, quelque part en Europe, ou plus loin encore, mais de mes cercles d’amis les plus proches, de ma famille … ca c’est vraiment dur à accepter.
Je sais de sources sûres que les frères musulmans avaient déjà dans les années soixante commencé à développer des stratégies visant à islamiser l’Europe, et je constate que beaucoup de ce qui avait été décidé dans les années soixante est mis en place aujourd’hui, le nombre des naissances n’en est qu’un exemple.
Dans mon livre, je dis la chose suivante : « Tout musulman est un terroriste en puissance » L’éditeur me dit alors qu’il était impossible de garder cette phrase en l’état car on ne pouvait le dire de cette manière. Je lui répondis que je pouvais justifier mes dires. Si un musulman prend sa foi au sérieux, quand un musulman relit les paroles de Mohamed et ce qui est écrit dans le coran, alors, s’il est un musulman exemplaire, alors le lendemain il sera d’abord et en premier lieu un soldat de dieu, simplement parce que cela est partie intégrante de sa foi.
Je peux affirmer pour en avoir été témoin qu’entre ce qui est dit publiquement, ce qui est dit aux chrétiens et ce qui se dit entre portes closes, dans les familles, dans la communauté musulmane, et dans les mosquées, il y a la même différence qu’entre le jour et la nuit. Parfois, je reste stupéfait de la naïveté de l’occident et de la naïveté des chrétiens qui sont si aveugles et se laissent si facilement séduire. Je suis abasourdi quand des faits avérés et tellement évidents pour les musulmans sont purement et simplement niés. Donner des somnifères à l’occident, afin qu’ils restent assoupis pendant que leurs terres s’islamisent, voilà le but.
Le cœur du message ne change pas à la traduction, il n’acquiert pas de nouveau sens comme par magie. Quand le coran dit : « Tuez-les », vous pouvez traduire par « Tuez-les », ou « Prenez-leur la vie », comme ca vous chante, mais l’essence du message est ceci : « L’incroyant qui ne se convertit pas à l’islam sera lapidé, enterré, et son sang disparaît. Le second aspect est que le coran est à l’impératif, et ses injonctions faciles à comprendre pour le plus simple des hommes : « Va et tue l’incroyant ! » Il n’y a pas besoin de philosopher. On grandit dans cette idéologie.
Et quand une femme occidentale demande à une musulmane : « Comment pouvez-vous vivre ainsi ? » la musulmane hausse les épaules et répond : « Que voulez-vous dire ? » Une femme peut seulement se révolter quand elle se dit « Mince, je suis opprimée et on ne me traite pas bien » Mais aussi longtemps qu’elle imbibe ces idées au sein de sa mère, telles que « Tu es ainsi parce que c’est la volonté d’Allah, ne me pose pas de questions », alors la question est finie avant même d’avoir commencé.
Je supplie nos hommes politiques et notre société : de grâce, ouvrez les yeux, la tolérance est une vertu bonne et importante, l’amour du prochain est une valeur chrétienne, mais la tolérance aux dépends de la vérité est d’une insondable stupidité, et le prix à payer en sera très lourd. (Nasir Ben)
Alexandre del Valle (auteur de «La Stratégie de l’intimidation») avril 2018
Que vous inspire l’attentat islamiste de Trèbes ?
L’attentat du 23 mars m’inspire deux réflexions. Tout d’abord, comme je l’explique dans mon livre, la chute de Daech ne veut pas dire que la menace islamo-terroriste va s’estomper. L’ex-porte-parole de l’État islamique, Abou Mohamed al-Adnani, l’a lui-même parfaitement expliqué : « Ceux qui croient que la perte de territoires en Syrie ou en Irak signifie notre défaite n’ont pas compris que tant que la charia et le Coran progressent dans les cœurs des musulmans, nous serons vainqueurs. » Plus Daech suscite des attentats, plus l’adhésion à l’idéologie islamiste progresse. La seconde observation est que nous avons assisté, avec l’attentat de Trèbes et le sacrifice de l’héroïque Arnaud Beltrame, à un “choc des martyrs” : ceux qui perdent leur vie pour la mort face à ceux qui meurent pour sauver des vies. Il s’agit là d’un échec imprévu pour Daech, qui veut faire croire que seuls les cavaliers d’Allah sont capables d’offrir leur vie…
Vous évoquez la paranoïa : quelles sont les déclinaisons de la stratégie d’intimidation islamique qui fait l’objet de votre ouvrage ?
Pour mettre en œuvre un plan d’islamisation mondiale de type suprématiste et irrédentiste, la première méthode, très efficace, est l’intimidation physique : par des assassinats ciblés, des actes terroristes, des attroupements ou des menaces de mort. La plus grande erreur de l’Occident consiste à croire que l’islamisme est un nihilisme : tuer au nom de l’islam est une stratégie élaborée par des cerveaux, souvent issus de milieux bourgeois comme Carlos ou Ben Laden, très conscients de leurs objectifs et il est erroné de réduire la stratégie très efficace du terrorisme à ses petits soldats aux profils marginaux. En réalité, l’action de terreur physique des “coupeurs de têtes” djihadistes est bien plus ample et efficace qu’on le pense : en effet, lorsque les “coupeurs de langues” ou “islamistes institutionnels” veulent faire taire ceux qui interpellent les sources coraniques et chariatiques du djihadisme, leurs requêtes sont d’autant plus prises au sérieux par les mécréants que ceux-ci ont une épée de Damoclès terroriste au-dessus de la tête… La violence djihadiste introduit ainsi un effet de dissuasion et de persuasion extrêmement efficace. Comme le disait cyniquement Al Capone : « On peut obtenir beaucoup plus avec un mot gentil et un revolver qu’avec un mot gentil tout seul. » Ces fameux coupeurs de langues instrumentalisent, en effet, l’antiracisme et entretiennent au sein de la communauté musulmane un sentiment victimaire. Ils déclarent, par exemple, souffrir d’un racisme antimusulman d’État ! Cette double dissuasion explique le paradoxe selon lequel plus on tue au nom d’Allah, plus on combat l’islamophobie et plus on parle de l’islam en bien. D’ailleurs, depuis l’attentat de Charlie Hebdo, quels sont les caricaturistes qui osent se frotter à l’islam ? Quels sont les candidats qui traduisent les œuvres de Salman Rushdie ?
Je constate empiriquement dans mon livre que, depuis les années 1990, plus on tue au nom de l’islam, plus celui-ci bénéficie de la sorte d’une publicité autour d’une civilisation et d’une religion sans tache, sans aucune remise en question des textes sacrés, qui pourtant clairement justifient le djihad. On s’empare ainsi de la volonté de “lutte contre l’amalgame” pour empêcher toute interrogation en ce sens. L’islam en tant que texte et les musulmans en tant que civilisation n’auraient aucun travail d’autocritique à faire. Au final, les attentats terroristes, qui devraient être l’occasion d’interpeller sur le totalitarisme islamiste, permettent de faire taire tout blâme. Les djihadistes sont de ce fait des génies en communication. […]
On distingue cinq principaux pôles : les Frères musulmans, matrice de l’islamisme radical général ; la Ligue islamique mondiale, pilotée par l’Arabie saoudite, qui diffuse un islam wahhabite-salafiste ; la Turquie néo-ottomane, réislamisée par Erdogan ; l’islam indo-pakistanais, notamment l’association Tabligh ; et le Qatar. Ces pôles alimentent 80 % des instances de représentation de l’islam en Occident. S’ils ont l’air divisés, ils convergent toutefois dans l’Organisation de la coopération islamique (OCI), qui réunit 57 pays musulmans, et dans l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (Isesco), respectivement l’Onu et l’Unesco du monde musulman, qui se réfèrent notamment à une “Déclaration islamique universelle des droits de l’homme” opposée à celle des Occidentaux et qui pose le primat de la charia, laquelle doit à terme régner sur la planète. Ces organisations panislamiques uniques en leur genre et qui ont pour objectif avoué d’empêcher l’intégration des musulmans dans les sociétés non musulmanes (“désassimilation”) agissent de façon très efficace par l’argent et l’exercice de pressions au sein des instances internationales et onusiennes. Elles représentent donc une sorte de “superlobby suprématiste islamique mondial”, qui avance de façon subversive au moyen d’une stratégie victimaire visant notamment à pénaliser toute critique de l’islam sous couvert de lutte contre l’islamophobie. L’instrumentalisation de l’antiracisme, qui fait désormais de la critique d’une religion un nouveau racisme, notamment par le biais du Mrap, du CCIF ou des Indigènes de la République, comme on le voit en France, est ainsi la déclinaison d’un travail de sape d’ampleur planétaire qui a été méthodiquement planifié. […] »
Lucien Samir Oulahbib – riposte laique – novembre 2018
Il est quasiment impossible de « dialoguer » avec eux puisque toute énonciation critique est d’emblée une hérésie alors que le délit de blasphème n’existe pas en France, nous ne sommes pas (encore) au Pakistan, même si les élites dominantes restent toujours persuadées qu’il existe un gentil islam ayant apporté la civilisation à un Occident barbare mais qui a été hélas, détourné par des méchants islamistes ignorants de ces belles choses, alors que ces derniers sont mille fois plus érudits que les gentils en matière de culture islamique…
On trouvera quelques-unes de ces citations, et d’autres, jugeant l’islam positivement, en wikiquote
Suite : Les prêches
II n`y a que les poissons morts qui suivent le courant.
citation de moi.