Les charmes du Novlangue et du politiquement correct
Quelques cas de manipulations du sens des mots dans l’histoire
On se souvient de la mode moquée par Molière avec ses « précieuses ridicules », mode consistant à remplacer certains mots par des expressions abracadabrantesques, mais dont la finalité restait humoristique.
Peu après, certains acquirent, aux yeux de leurs compères, des points de « vertu » en utilisant le « fleuve républicain » (la Loire) pour y organiser des « déportations verticales » et des « baignades nationales » (noyades de Nantes) et d’autres en se vantant dans leurs rapports à l’assemblée nationale d’avoir « par soucis d’humanité » fait « passer par-dessus la haie » bon nombre de « brigands » (citoyens) du « département vengé » (la Vendée). Beaucoup d’autres mirent en œuvre, eux aussi, une « solution finale » contre les hindous de l’hindu kush, les arméniens, les « saboteurs de l’économie agricole » (les koulaks), les « cosmopolites » (les juifs), les cambodgiens, les « contre révolutionnaires », sans oublier l’esclavage, qu’il soit occidental et transatlantique ou oriental et transafricain, … L’esprit humain fut, pour son malheur, de plus en plus organisé, planificateur et industriel dans l’horreur.
La période contemporaine
Il y eut, plus récemment, ces directives pour remplacer certains mots jugés dévalorisants, ainsi on ne dit plus balayeur mais technicien de surface, aveugle mais personne non voyante, etc … il y eut bien, dans certains milieux, des dérives, ainsi pour piscine les hauts fonctionnaires de l’educ naze ont dit « milieu aquatique profond standardisé», pour course à pied « épreuve de création de vitesse sur piste » , pour crayon « outil scripteur » , pour canoé-kayak « activité de déplacement d’un support flottant sur un fluide », etc … Mais cela resta simplement sérieusement ridicule. Dans ce qui suit, on en vient clairement à une manipulation des esprits :
Dans le roman de George Orwell, « 1984 », le personnage en charge du dictionnaire Novlangue, explique le but de ce Novlangue : « Ne voyez-vous pas que le véritable but du Novlangue est de restreindre les limites de la pensée ? A la fin nous rendrons littéralement impossible le crime par la pensée car il n’y aura plus de mots pour l’exprimer. »
Le politiquement correct tend à exclure du champ du vivre ensemble ceux qui ne le respectent pas et appartiendraient donc à l’axe du mal. Ces mauvais sujets sont alors jugés à l’aune de valeurs qui prétendent au statut de vérité d’état, universelles, et dont la contestation serait illicite.
Mais il ne faut pas confondre le novlangue avec la langue de bois, qui permet de meubler, de parler pour ne rien dire tout en donnant l’impression de maintenir la fonction du langage qui met en évidence le bon fonctionnement du code de communication. Le langage est ainsi utilisé comme un leurre; il importe avant tout de faire diversion pour faire oublier l’absence de contenu idéologique et de reporter l’attention du récepteur sur le locuteur lui-même, sa personnalité, sa sincérité, sa volonté d’agir, sa proximité avec l’électeur. A l’inverse de la langue de bois, le novlangue porte une idéologie.
Le dictionnaire du site Polémia distingue cinq types de mots :
• les mots trompeurs, qui ont changé de sens et qui signifient souvent le contraire de ce qu’ils exprimaient auparavant ; ces mots trompeurs servent à euphémiser le réel, qu’on ne veut pas voir, ils doivent être régulièrement remplacés car, trop utilisés, ils s’usent vite et ne trompent plus personne et il faut les remplacer par d’autres plus porteurs d’empathie et d’émotion, plus susceptibles d’empêcher la réflexion.
• les mots subliminaux, qui sont utilisés pour produire certains effets reflexes de répulsion ou d’approbation chez le récepteur ;
• les mots marqueurs, qui expriment les valeurs de l’idéologie dominante ; on crée de nouveaux mots pour créer une réalité alternative, ainsi le genre, et ses innombrables déclinaisons, remplace le sexe, l’idéologie remplace la biologie
• les mots tabous, que l’idéologie dominante s’efforce de supprimer ;
• les mots sidérants, qui visent à disqualifier les adversaires du Système.
« Les mots véhiculent des valeurs et en changeant le sens des mots on réussira à changer la réalité des choses », « La novlangue a donc pour but d’empêcher de penser les choses telles qu’elle sont. Il s’agit d’une désinformation qui a pour finalité de jouer sur les perceptions du sujet qui utilise ces mots » (Michel Geoffroy). On aboutit ainsi à la confusion des esprits, amenant finalement à l’inversion des valeurs : le beau est laid et le mal est bien. (voir https://www.dreuz.info/2020/07/27/nous-vivons-dans-un-monde-a-lenvers-ou-la-morale-est-immorale/) Dans un tel chaos psychique, tout est possible aux manipulateurs de tous poils. Des peuples sans âme, sans identité, sans traditions accepteront plus facilement un gouvernement mondial, ou un califat. Cochez la case de votre choix !
Nos adversaires ont déclarés tabous certains mots, mais il faut préférer l’original à la copie, car à employer leurs mots, on finit par voir le monde comme eux et à penser comme eux.
St Augustin (au 4ème siècle…) disait : « Malheur à ceux qui appellent le mal : « bien », et le bien : « mal » ! Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres… Qui changent l’amertume en douceur, et la douceur en amertume ! »
« A force de tout voir, on finit par tout supporter.
A force de tout supporter, on finit par tout tolérer.
A force de tout tolérer, on finit par tout accepter.
A force de tout accepter, on finit par tout approuver ! »
La commission européenne diffuse maintenant (décembre 2021) ces règles de communication : Guidelines for Inclusive Communication (fdesouche.com)
Le planning familial a établit son propre dictionnaire des mots LGBTQ autorisés et des mots tabous (Lexique trans.pdf (planning-familial.org) de même le conseil régional d’ile de France (Fist-fucking, cisgenre, écriture inclusive… : le conseil régional d’Ile-de-France diffuse un guide « pour une santé inclusive » à destination du personnel médical – Fdesouche)
Le petit dictionnaire qui suit n’est ni celui d’Orwell ni celui de Polémia (dont plusieurs définitions sont reprises ici pour compléter les nôtres)
Voir le « Dictionnaire de novlangue » de Jean Yves Le Gallou et Michel Geoffroy (polémia) et « L’imposture du vivre ensemble de A à Z » de Paul François Paoli.
Accommodement raisonnable : mot trompeur – Par clientélisme électoral l’état français aménage ses propres lois pour accommoder les traditions islamiques et démontrer « une ouverture à tous, un droit à tous de vivre à l’intérieur des frontières de la République française avec ses coutumes, ses traditions, ses vêtements. » (Michel Rocard) Ainsi, avec la bénédiction des progressistes supportant la mondialisation et sous la pression des diasporas qui refusent l’intégration et cherchent à reproduire ici les conditions de vie du « bon modèle » de là bas, la charia s’insinue peu à peu dans notre arsenal juridique et donc dans nos mœurs. Mais la charia est un bloc insécable et immuable et chaque accommodement est déraisonnable car c’est juste une marche, si vous concédez une marche, ils (ou la génération suivante) demanderont la marche suivante. Le voile par exemple, ce n’est pas un morceau de tissus, ce n’est pas un choix libre, c’est un morceau de charria qui arrive chez vous et qui vous signifie : je suis plus pure que toi qui est impudique, et j’arrive avec un système qui va remplacer toute la manière dont fonctionne votre société. C’est un élément qui fait partie d’un processus global d’islamisation.
Et qui a ainsi lancé l’alerte en 1989 : « Si vous acceptez de donner à l’islam des signes extérieurs de reconnaissance de la qualité de terre d’islam à l’Europe, à ce moment là vous serez contraint de donner l’une après l’autre des concessions, à des exigences de plus en plus fortes, pour imposer non seulement les mœurs, les coutumes, le costume mais encore et surtout le droit civil, la façon de penser, or nous nous avons droit, français, à nos droits, nos mœurs ; si les gens viennent chez nous quelles que soient leur motivation, ils sont tous astreints, comme moi je le fais quand je vais à l’étranger, à respecter nos lois nos mœurs et nos coutumes » Jean Marie Le Pen.
Amalgame : Souvent utilisé sous une forme négative : « ne faites pas l’amalgame » pour dédouaner une idéologie des actes qu’elle préconise. L’idéologie est définie par ses textes fondateurs, alors qu’effectivement les adeptes ne connaissent pas forcement tous les préceptes et ne veulent pas forcement les appliquer tous. (voir C’est pas ca l’islam)
Épreuve de criminologie, 2021
Énoncé du problème:
Une affaire criminelle impliquant ces quatre personnes a eu lieu.
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- Abdoullakh Anzorov
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- Abdelhakim Sefrioui
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- Samuel Paty
- Brahim Chnina
Question 1 : pouvez-vous deviner qui est la victime? (indice : n’utilisez pas le théorème du padamalgam)
Question 2 : pouvez-vous deviner dans quel pays ce crime a eu lieu?
Padamalgam – sa version PS (la version expérimentale beta) a été mise au point après la sortie du rapport terra nova sur le nouveau gisement de voix électorales lié à l’immigration, compte tenu de l’assèchement du vote populaire autochtone. Ensuite, on nous a resassé : » l’immigration est une chance pour la France » puis « l’islam, religion d’amour, de tolérance et de paix (RATP) « , puis « joyeux ramadam » et pour finir, « accueillons toute la misère du monde » avec les « migrants » devenus bien vite des « réfugiés ». Dans le même temps, les vacances de Noël devenaient les vacances d’hiver, la saint Jean la fête des Jean et la fête du cochon de saint Cucufas, trop exclusive, la foire de Cucufas.
Arabie saoudite – Qatar : pays bienfaiteurs de la démocratie occidentale, puisqu’il financent une grande partie des campagnes électorales de nombreux partis au pouvoir.
Attentat terroriste : mot trompeur, c’est bien une attaque des propagateurs de charia, visant à punir tel ou tel manquement, mais cela ne donne lieu qu’à une cérémonie de « déradicalisation » collective démultipliée par les médias et les leaders d’opinion avec moult bougies et ballons. L’essentiel est de s’injecter ensemble une dose de repentance, de bonne foi (« ne pas stigmatiser ») et de haine de soi (« l’ennemi c’est l’extrême-droite »)
Archaïsme – identité figée . Mot péjoratif utilisé par le monde du bien pour qualifier tout ce qui concerne l’identité nationale.
Beur – beurette. Mot traduisant la réalité de la non-intégration des immigrés d’origine maghrébine qui se désignent d’abord par leur ethnie et non par leur nationalité. D’ailleurs, comment prétendre à être intégré à une communauté dont on ne reconnait pas le sens. Pour eux l’Etat de droit n’existe pas et cela explique leur volonté d’y rester étrangers.
Bien commun : suppose un socle de valeurs partagées, est-il encore pensable dans un monde où coexistent différentes conceptions du Bien ?
Blanchir – noircir : mot tabou d’après l’ex ministre George Pau-Langevin : « Sur l’affaire De Rugy, toute la presse se répand en disant que suite aux enquêtes effectuées il serait “blanchi” ce qui signifie qu’il était noirci par les accusations ! Quand ce vocabulaire attachant toujours un sens négatif à la couleur noire sera-t-il périmé ? » Allons-nous, alors, interdire aussi, vote blanc, examen blanc, mariage blanc, drapeau blanc, blanc-seing, se faire des cheveux blancs, blanc bonnet/bonnet blanc, et c’est quand qu’on interdit les armes blanches qui agressent les cous, les noirs dessins et les black blocs ? (voir le mot racisme anti blanc) (voir https://www.dreuz.info/2020/07/07/loreal-lave-plus-blanc-en-attendant-la-quinzaine-du-blanc/?unapproved=890419&moderation-hash=4e74e23736dae6f19af1cc03d9f90850&et_monarch_popup=true)
A la frontière du zoo, de l’hopital psychiatrique et des camps de rééducation staliniens, maoïstes, vietminh, polpotistes, … (non exhaustif – les nazis et les islamistes suivant généralement d’autres procédés), on pourrait croire ces extraits vidéos de 2017 de l’université publique evergreen joués par des comédiens, mais non, cela a été authentifiée et confirmé wikipedia) (voir https://youtu.be/u54cAvqLRpA ) et en 2019 le même scénario se déroule à Lyon II et sciences po (voir https://www.atlantico.fr/decryptage/3579636/voici-comment-lyon-ii-est-devenu-le-laboratoire-de-la-haine-decoloniale-benoit-rayski et https://www.leprogres.fr/rhone-69-edition-lyon-metropole/2019/08/09/a-l-universite-lyon-2-les-militants-de-la-race-et-du-genre-gagnent-du-terrain?preview=true ) voyant cela, on comprend mieux comment fonctionnent les modérateurs des réseaux sociaux formés à cette « école » de pensée unique. Après la mort de Georges Floyd, ce délire se généralise (Voir notre page la boite de Pandore)
Bouger – faire bouger les lignes – bousculer les tabous : Terme par lequel l’élite dirigeante valorise tout ce qui peut ébranler la société traditionnelle et ses normes.
Les californiens
L’étude de cas du jour : Un flic a été descendu, les suspects sont :
Réponse A : toujours les mêmes, des californiens
Réponse B : des français nés en France
Heureusement Darmanin nous apprend que c’est bien la réponse B « Ils sont français, nés en France», vous voyez bien que cela n’a rien à voir avec l’immigration !
Mais, il y a un mais : Un grand moment de solitude chez les crétins de LCI qui, commentant les propos de l’avocat, parlant du premier type en garde à vue, niant toute participation, car au moment des faits, il était en famille pour … le ramadan. Bingo ! et dans l’oreillette on entend : “putain Coco, tu as craché le morceau, on t’avait dit d’éviter tout indice. Font chier ces stagiaires !”. et donc : c’est aussi la réponse A.
Partir se mettre au vert au bled par l’autoroute du sud, après avoir fait le Ramadan ,c’est effectivement très fronçais Le coran est très clair là-dessus : pendant ramadan, tu bois pas, tu manges pas, tu baises pas, mais visiblement tu peux dealer et/ou assassiner un flic.
Cancel culture – woke culture : mot marqueur
Quelques décennies à peine après l’« interdiction d’interdire » et le « jouir sans entrave » de mai 68, qui a marqué le surgissement du « moi », le doute et l’esprit critique ont été remplacés par le politiquement correct et la pensée unique, le simple questionnement est « de droite ». Il n’y a plus aucune place pour les entre-deux, les zones grises où s’effectuent les rencontres et s’invente la liberté, les débats argumentés : la cancel culture confine la pensée, qui doit être unique. La « woke culture » est devenue un fléau qui musèle toute liberté d’expression. Il n’y a plus de débat, plus de libre arbitre, plus de tolérance, plus d’esprit critique. C’est le temps du lynchage social et économique. Au nom d’une victime idéalisée décoloniale, racialiste, féministe, homosexualiste, transhumaniste, indigéniste, écologiste, mondialiste, immigrationiste, … on veut voir l’exception comme la norme et on invente des hashtags vengeurs : metoo, balancetonporc, … on déchire en public les livres de François Hollande, on pétitionne pour demander le départ d’un journaliste, on refuse de débattre avec lui, on bloque une université pour empêcher une intellectuelle de débattre, on vote des loi liberticides (fake news, censure internet, …), on démolit des statues, on retire des tableaux, on débaptise des rues, on fait pression sur les entreprises, on bannit des livres, des films, on ferme des comptes (twiter, viewtube, paypal, …) on rend invisible (goggle) on réécrit l’histoire en jugeant le passé avec les lois et l’idéologie d’aujourd’hui. C’est la révolution culturelle ! Pas de liberté pour les contre révolutionnaires.
Une personne ou une organisation dite « canceled » le sera pour toujours. Les excuses n’ont aucune crédibilité face aux militants, le pardon est renié pour cause d’illégitimité.
Le totalitarisme qui se met en place n’a pas avoir besoin de la violence physique, les technologies et la propagande la remplace : culture woke, pass vaccinal, crédit social à la chinoise, moraline, le tout mène à l’exclusion de la vie sociale …
Censure : Le plus insupportable pour un régime basé sur le mensonge, c’est la vérité car elle ne peut être contredite. Il n’y a que la solution de la faire taire, d’où la censure sous toutes ses formes, et la dérive vers une dictature. « La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader, un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude » (Aldous Huxley -1958). Voir ce qu’en dit Michel Onfray. Quel est l’algorithme utilisé pour présenter les réponses à vos recherches sur internet ? y a-t-il une liste des pages et des sites exclus des réponses ou placés en fin de résultat ? C’est si simple à réaliser ! l’Etat, via la délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH), décide d’une censure contre une structure ou une personne et les entreprises courroies de transmission de la propagande du « système » (voir ce mot) (facebook, twiter, instagram, YouTube, paypal,… ) l’exécutent (si elles ne l’avaient pas censurée d’elles-mêmes par convergence de vue et anticipation), et les victimes, dont les comptes sont fermés, sont privées de toute garantie judiciaire et de tout recours. Mais, deux poids deux mesures, changez donc le mot « blanc » par « noir » dans ces 2 clips pendez les blancs et je baise la France qui eux sont toujours accessibles et trouvent même des défenseurs ayant antennes ouvertes, et de même le 29 décembre 2017 Hafsa Askar, vice présidente unef lille, a pu déclarer « on devrait gazer tous les blancs, cette sous race » sans que le parquet s’en émeuve.
– comment on classe ca chef : discours de haine ou appel au meurtre ?
– ben non, d’abord il est racisé, et puis il respecte la procédure : il faut d’abord prévenir le mécréant, l’inviter à se soumettre et s’il refuse là on a le droit de le combattre par la force
– ok zucky, t’es super tolérant comme mec toi.
Ben Caro, t’as un coup de blues ? : « La jeunesse, inspirée par les campus américains comme par les réseaux sociaux, n’ambitionne plus que de censurer tout ce qui l’offense, là où celle de Mai 1968 rêvait d’un monde où il serait « interdit d’interdire » (Caroline Fourest 2020)
Qui a dit (en septembre 2019) : « La liberté et la démocratie doivent être constamment protégées en dehors de nos frontières et dans notre propre pays. Nous devons toujours rester vigilants à l’égard de ceux qui veulent la conformité et le contrôle. Même dans les pays libres nous observons des signes alarmants et de nouveaux défis pour la liberté. Un petit nombre de médias sociaux ont acquis un pouvoir immense sur ce que nous avons le droit de voir et ce que nous avons le droit de dire. Une nouvelle classe politique s’est installée, elle est ouvertement dédaigneuse et défiante à l’égard des volontés du peuple. Une bureaucratie sans visage opère en secret et affaiblit le pouvoir démocratique. Des médias et institutions académiques lancent des assauts sans merci sur notre histoire, nos traditions et nos valeurs. […] Une société libre ne peut permettre aux géants des réseaux sociaux de faire taire le peuple. La parole d’un peuple libre ne peut jamais, jamais, être mise sous silence, contrainte ou censurée par son voisin de palier » (Donald Trump), et puis, au nom du « bien », les gafas censurent Trump et ses partisans, menacent leurs potentiels employeurs, censurent et verrouillent leurs concurrents en menaçant leurs éventuels associés et fournisseurs (pourvoyeurs), en un mot ils officialisent qu’ils ont pris le pouvoir aux marionnettes politiques (qui d’ailleurs le leur tendaient par les lois avia et cie) et mettent en scène la mort sociale de ces opposants pour faire un exemple et soumettre tous ceux qui oseraient résister à ce coup d’état mondial.
Chez les éditeurs, des « Lecteurs de sensibilité » s’assurent que l’opinion exprimée correspond à la vision des minorités, sans appropriation culturelle, ni reproduction de stéréotype.
Dans ce contexte, il est vital de comprendre où s’arrête la liberté d’expression et où commence le délit d’opinion :
parler de l’immigration illégale : pas bien
parler de l’islamisation : pas bien
parler de la délinquance dans les quartiers : pas bien
parler du racisme anti blanc : pas bien
parler d’un homme vu comme noir de noir, black (anglais), negru (roumain), negro (espagnol) : pas bien
parler de l’esclavage arabo africain : pas bien
parler des chromosomes XX pour les femmes et XY pour les hommes : pas bien
parler du père et de la mère d’un enfant : pas bien
parler de la gestion du covid, de l’hydroxychloroquine, du vaccin OGM : pas bien
parler des fraudes électorales aux US : pas bien
parler de la violence légitime des forces de l’ordre : pas bien
Parler de frontière, de nation, de souveraineté : pas bien
parler de la culture française : pas bien
parler de Clovis, Jeanne d’Arc, … : pas bien
penser que toutes les vies comptent : pas bien
bon ben je vais vous parler de la cueillette des olives en basse Provence au moyen âge
ah on me dit qu’il y a des olives noires, donc : pas bien,
oui mais pas toutes !
Facebook interdit désormais les publications anti-vaccins (phonandroid.com)
Si vous voulez continuer à penser mal, et à le partager : Pour ne plus être viré de Facebook, utilisez le HiéroFaf ! – Riposte LaïqueRiposte Laïque (ripostelaique.com)
Centre culturel : mot trompeur masquant à présent une école coranique, un tribunal islamique et une salle de prière, le tout financé par la mairie, le département et/ou la région.
Attention, « Ceci n’est pas une pipe » écrivait Magritte, en dessinant une pipe.
Vous avez aimé « Notre dame n’est pas une cathédrale » (Castaner) A l’occasion de la reconstruction, cette phrase est à graver au burin sur une pierre angulaire de l’édifice, comme « allah ouakbar » l’a été sur une gargouille de la cathédrale st Jean à Lyon.
Vous aimerez encore mieux « Ce monument historique national est un lieu de culture. Nous n’y voyons pas un lieu de culte ». (Jean-Philippe Hubsch, grand maître du Grand Orient de France, GODF, visiblement plus intelligent et sournois que le ministre des cultes)
Chances pour la France : Expression, qui trouve son origine dans les discours de gauche pour justifier l’immigration, sous entendant que l’installation d’immigrés sera bénéfique au pays, sans considération aucune pour les conséquences sociales, sécuritaires, culturelles et économiques. Estimant « ne jamais pouvoir arriver à rien avec le peuple autochtone », qui pense et vote mal, il s’agit de créer et protéger par clientélisme une nouvelle base électorale en remplacement de la mythique classe ouvrière qui a déserté. Mais l’IA va bientôt permettre de supprimer nombre de métiers non qualifiés, justement la majorité de ceux qu’on peut donner aux migrants. Ah, on me dit à l’oreillette qu’ils lisent Victor Hugo dans le texte (si c’est Yan Moix qui le dit, je le crois volontiers), qu’ils sont super diplômés (quels sont vos sources, vos statistiques, …), qu’ils sont accros aux technologies informatiques (rue du plateau à Abidjan c’est vrai qu’ils maitrisent le mail) mais tout ca c’est un peu court pour déposer des brevets novateurs. Et Yves Mamou dans Figarovox écrit fort justement que « L’idée que les migrants sont et seront de plus en plus nécessaires pour payer les retraites des populations européennes qui ne font plus d’enfants et vivent trop longtemps, est un mensonge qui a la peau dure. L’époque est finie où l’industrie avait besoin de toujours plus de main-d’œuvre déqualifiée pour les chaînes de montage, les ateliers textiles et les usines de jouets. Il faut aller se promener dans les usines automobiles pour constater le grand silence généré par la robotisation à outrance de la fabrication des voitures. L’immigration ne sert plus aujourd’hui qu’à maintenir des salaires bas en France et en Europe dans un certain nombre de secteurs clés pour la bourgeoisie urbaine : la restauration, le bâtiment et les travaux publics, les services à la personne, le nettoyage, la sécurité, la santé et les soins aux personnes âgées. Ce sont des métiers faiblement rémunérés et qui génèrent peu de cotisations sociales. De plus, dans certains secteurs comme la restauration, le travail clandestin est très fréquent ».
Charria zone : Territoire perdu par la république où le droit national ne s’applique plus et qui est désormais contrôlée par la police des mœurs. Certains aspects du droit français ont déjà été amendés par le biais de conventions avec les états étrangers, pour accommoder la charria : mariage devant l’imam sans passer devant le maire, arrêt du conseil d’état reconnaissant le statut de polygame et imposant aux caisses de la secu et de la CAF de reconnaitre ces enfants, divorce simplifié, … Il faut lire absolument « histoire de l’islamisation française – 1979- 2019 », chaque page en est une perle décrivant un renoncement ou une trahison d’un collabo du système.
Club des cinq : qu’est ce que ca vient faire là me direz-vous, ce ne sont pas les cinq piliers de l’islam, mais saviez vous que la nouvelle édition de 2011 a été considérablement remaniée : distinguer le passe simple, l’imparfait et le présent c est trop subtile et ce n’est plus à la portée de nos nouvelles têtes « blondes » donc exit le passé simple, tout au présent et hop hop hop, « on » remplace le « nous » et hop hop hop, et pendant qu’on y est virez moi toutes ces longues descriptions de villes, de maisons de paysages et hop hop hop, ils ne vont plus à la messe le dimanche mais au marché, qui est ouvert ce jour là, et, tiens moi aussi je vais me déclarer prophète, dans l’édition de 2030 ils iront à la mosquée, cracheront leur salive par terre pour ne pas l’avaler pendant le ramadan, et hop hop hop on cachera aussi dans leurs maisons ces filles que je ne saurai voir dehors à cette heure en compagnie de jeunes mâles qui ne se contrôlent pas.
Communautarisme – identité : Néologisme destiné à traduire le fait que les populations d’origine immigrée conservent leurs particularités et leurs préférences culturelles ou ethniques, à contre-courant de l’idéologie mondialiste « antiraciste » qui prétend ne voir que des individus égaux et interchangeables. Le communautarisme est donc périodiquement décrié par l’élite dirigeante tout en étant reconnu et choyé par clientélisme électoral pragmatique du fait de la démographie. Identité s’applique aux autochtones. Communautarisme s’applique aux immigrés, qui deviennent autochtones..
(voir le mot « mondialisation »)
Complotisme : mot sidérant – utilisé pour disqualifier toute critique : il y a une vérité, elle est officielle, et il est interdit de la contester sous peine d’être accusé de complotisme. (voir les mots fachiste et censure).
Par exemple le film hold up est décrié par la bien pensance qui voudrait même le censurer, car il regroupe plusieurs « affirmations complotistes ». Il y a 5 parties qui s’enchainent dans une sorte de crescendo :
1 ceux qui nous gouvernent sont des charlots et gèrent le covid en faisant peur à la population
2 ils sont corrompus par big pharma
3 le covid est une fabrication humaine, connu depuis 2015– les chiffres sont gonflés pour alimenter la peur, le but est de faire accepter une limitation des libertés et un contrôle strict de la population.
4 l’intelligence artificielle va fabriquer l’homme nouveau (avec peut être implantation de puces dans le cerveau) pour augmenter sa puissance et/ou contrôler les masses inutiles
5 la conclusion c’est que l’institut berggruen veut faire le grand reset de l’humanité (grâce à une guerre ou une pandémie comme le suggère Attali) en éliminant les populations inutiles de la planète, substituables par des robots, et en installant une police mondiale, un stockage mondial des données personnelles, une fiscalité mondiale, la mise en place d’une identité numérique qui, à moyen terme, fusionnerait les différentes données bancaires, fiscales, sociales, de santé, professionnelles, permis de conduire, etc., de chaque personne et en donnerait accès aux différents services gouvernementaux, le tout formant les bases d’un véritable contrôle général des individus par un gouvernement mondial abolissant toutes les frontières.. (voir La dramatisation du covid-19 poursuit d’abord un but politique – Le Salon Beige)
Autre exemple, chez Disney, ils ont embauché des fleches : Karey Burke, cadre dirigeante : « en tant que mère d’un enfant transgenre et d’un enfant pansexuel » je veux « qu’il y ait beaucoup, beaucoup, beaucoup de personnages LGBTQIA dans nos histoires » et veut qu’un minimum de 50% des personnages soient LGBTQIA et appartiennent à des minorités raciales. La productrice Latoya Raveneau dit que son équipe met en place « un ordre du jour gay pas-du-tout secret » et « rajoute régulièrement du queer » dans ses programmes pour enfants Allen March, cadre, explique que son équipe est investie pour « montrer des histoires queers » et l’entreprise a créé un indicateur interne pour s’assurer qu’il y a assez de « personnages non-binaires », de « personnages trans » et de « personnages bisexuels » dans ses films. La responsable de la diversité et de l’inclusion, Vivian Ware dit que l’entreprise a éliminé tous les mots de “mesdames”, “messieurs”, “garçons”, “filles” dans ses parcs d’attraction pour créer ce “moment magique” où les enfants ne s’identifient plus à leurs sexes.
Le hasard fait donc bien les choses, puisque le plan de ressources humaines a abouti à ce quota d’employés déconstruits, dégenrés (je n’ai pas dit dégénérés, mais je l’ai sans doute pensé) quota qu’il n’aurait ni prévu ni voulu ? Ce n’est pas un complot bien mené, c’est tout simplement que ceux qui, à tous les postes de responsabilités politiques, médiatique, culturelle, … appartiennent au camp du bien savent mieux que nous ce que nous devons être et ce que nous devons penser et dire, et ils s’accordent et prennent sans se concerter les moyens de nous le faire entrer dans le crane dès le plus jeune âge. Et c’est comme ça qu’on fabrique l’homme nouveau, c’est beau comme le consensus, comme le conformisme, comme le politiquement correct, comme la cancel culture et le wokisme.
Connu des services de police, défavorablement connu, Réputation sulfureuse, très défavorablement connu, casier judiciaire chargé : Expressions indiquant qu’un individu a déjà plusieurs condamnations à son actif. Qualifiant en général les expressions « jeune », « de type méditerranéens » etc.
Construction européenne – Europe : Mot trompeur ; c’est la mise en œuvre de l’idéologie libre-échangiste et universaliste par les institutions européennes au sein de l’espace indéterminé appelé Union européenne contre la volonté de peuples autochtones, espace sans frontières et déterminé uniquement par l’adhésion de ses membres aux « valeurs » du marché et des « droits de l’homme » et destiné à s’étendre toujours plus, géographiquement (Ukraine, Turquie, …) et en prérogative (santé, défense, …) en anéantissant les états nations. Les parlements nationaux n’étant que les chambres d’enregistrement de la décision centrale.
Convergence des luttes (et des haines)
C’est le fait que :
-Les féministes n’aiment pas les hommes blancs.
-Les antiracistes n’aiment pas les blancs des pays anciennement colonialistes
-Les anticapitalistes n’aiment pas les riches (blancs)
-Les islamistes n’aiment pas les croisés (les chrétiens). (surtout les blancs mais pas que)
-Les homos n’aiment pas les hétéros. (surtout les blancs).
En gros ils ont un ennemi commun, l’homme blanc hétéro cis genre occidental aisé, autrement dit…le type ordinaire qui n’a rien fait de mal.
Couteau – lame : Outil inventé à l’âge de pierre et utilisé pour trancher quelque chose anciennement : viande, bois, herbes etc, aujourd’hui : gorge. Le couteau agit généralement seul, sans qu’il semble avoir ni propriétaire ni porteur. mais ce mot est de plus en plus souvent lu dans les rubriques faits divers où les victimes portent « des signes de violence à l’arme blanche » « dans une zone névralgique » dit l’un, sur leur cou dit l’autre. Pour varier, les journalistes emploient le mot « lame », ca fait plus connaisseur. Il est grand temps de faire un livre blanc sur les coups de couteaux (livre noir serait plus inclusif Mme schiappa) et de les réexpédier (les couteaux) en containeurs entiers. Ministres, journalistes et décodeurs, veuillez noter que c’est conforme aux recommandations du coran (8:12) Mais la formule magique, « Allah akbar », utilisée lors de l’abattage rituel, par égorgement, a-t-elle été employée ? Les français veulent savoir, je pose la question. Vous ne répondez pas à la question, je repose la question.
(voir « racket », « connu des services de police », « déséquilibré » etc)
Crime : Mot tabou ; sa nature et sa gravité varient, en application de la législation dite « antiraciste », en fonction de l’identité de l’auteur et de celle de la victime ; ainsi un « crime raciste » est nécessairement commis par un Français de souche ; un immigré ou un Français d’origine immigrée ne provoque que des « drames » ou ne commet que des « violences » . Il n’est pas responsable et on finira même par accuser les victimes de justifier par leurs actions les forfaits de leurs agresseurs, et donc on conclurera que les vrais coupables sont innocents et que les victimes sont les agresseurs.
(Voir « Déséquilibré » et « violences »)
Déconstruction : Rien n’est réel, l’histoire, la mémoire, et la culture, tout doit disparaitre pour faire émerger le monde nouveau, et les moyens d’y parvenir sont la dérision, la déconstruction et la démolition. Selon les déconstructeurs les classifications, essentialisantes, contraignent les individus dans des cases, pour mieux les contrôler. Ils pensent par exemple que l’histoire a été inventée pour permettre aux dominants d’imposer leur domination sur les dominés, ils veulent donc en inventer une autre qui va plaire à toutes les minorités.
(Voir cancel culture)
De souche – autochtone : mot tabou utilisé uniquement par eux-mêmes pour se définir et provoquant immédiatement les réactions effarouchées de leurs contradicteurs. Autochtone, plus savant, a l’avantage de laisser le mondialiste surpris et silencieux, le temps qu’il retrouve dans ses fiches mentales le sens exact du mot, à distinguer d’allogène, et la réponse du camp du bien : il n’y a pas de « de souche », il n’y a que des immigrés, ce qui est faux : avant la révolution industrielle, et les déracinements qu’elle a provoqué, on se mariait dans le même village, à la rigueur dans un village voisin, et donc les généalogies remontaient couramment à plusieurs niveaux dans la même région. . La révolution industrielle a agrandi le cercle à plusieurs pays de même culture, et l’immigration massive actuelle l’a encore élargi au monde entier. La mémoire assure la connaissance de nos 4 grands parents, et les avoir tous français, ou européens, parait un bon critère de souchitude française, ou européenne. Et ce n’est pas dévalorisant d’être de souche mondiale, de souche humaine !
Certains abrutis voient des singes sur les stades de foot et dans les ministères (Anne Sophie Leclerc), ou des chameaux sur les plateaux télé (Yassine Bellatar, Dominique Sopo) Certes comme source il y a bien eu l’album « Asterix et Cléopatre », mais c’était une fake news, et il est bien visible que les ancètres de ces bipèdes ne sont pas des gaulois. Il s’agit bien de français de branche. Malheureusement on constate que dans les diasporas, la république fabrique aussi des français de papier, et même des français francophobes.
Démocratie : mot trompeur – régime politique permettant au chef du parti majoritaire de refuser que le peuple, via ses représentants, se prononce par un vote sur un sujet particulièrement dangereux pour les libertés : par exemple le « traçage » des citoyens, à la chinoise. L’ineffable Gilles Le Gendre s’est surpassé : « Je ne vois pas comment un vote apporterait quelque chose de supplémentaire par rapport à un débat. » (voir union nationale)
Déradicalisation : Mot trompeur destiné à justifier les subventions données à des centres de déradicalisation confiés à des incapables et des menteurs.
Un djihadiste de retour en Europe :
– est encore plus radical après son séjour en prison
– vit aux crochets des contribuables
– veut vivre « en terre d’islam »
– veut propager la radicalisation islamique et éradiquer le reste.
Et vous voudriez en faire venir d’autres comme lui…?
Mettez vous ca bien dans la tête : les djihadistes ne sont ni des loups solitaires ni des malades à soigner mais des ennemis combattants pour une idéologie bien structurée mais mortifère.
Dérapage : Mot sidérant : caractérise des propos qui vont à l’encontre de l’idéologie dominante. Le rôle des journalistes invitant un opposant à l’idéologie dominante à comparaitre devant un panel de « chroniqueurs » politiquement corrects est de déformer ses propos en les reformulant et de lui reposer inlassablement les mêmes questions en employant des mots tabous pour le pousser goulument à les utiliser dans sa réponse et donc à « déraper », pour lui coller alors l’étiquette infamante : islamophobe, xénophobe, extrême droite, raciste, nazi. Les différents juges nationaux et européens ayant enfin le rôle de museler le fautif.
Dérégulation : Mot désormais connoté positivement au sein de l’Union européenne et destiné à traduire le fait que le domaine du marché ne cesse de s’étendre aux dépens de la souveraineté politique des nations.
Déséquilibré – sans histoire : mot trompeur, remplace l’expression « loup solitaire », depuis qu’on a pu constater qu’ils agissaient en bande et en famille. Ne s’emploie généralement que si il n’y a que des blessés ou un seul mort. Il y a des variantes : dans un état de confusion mentale, ou tenant des propos incohérent. Employé pour masquer les motivations de l’auteur du délit et lui assurer un traitement compréhensif par la « justice ». Dans cet esprit on parle d’une voiture folle, ou d’un camion fou. En octobre 2019, la dépêche a même titré : « à Castres les voitures ont-elles été piégées volontairement ? » Ben non, couillon de journapute, c’était surement à l’insu de leur plein gré, pour blesser les pompiers dans des guets-apens en meute organisée. Souvent aussi la victime a reçu des « coups de couteau » ou a été « Lardée de coups de couteau » : cette remise à la mode mal à propos du vieux mot « lardé » n’a qu’un but : éviter de parler de celui qui tient le couteau, ou conduit le camion. La famille et les voisins confirment invariablement que le « jeune » était « sans histoire », gentil, faisant traverser les grands-mères, tout ceci pour suggérer que son comportement serait tout à fait exceptionnel dans sa communauté et donc excusable. On peut aussi jouer de l’excuse du « pour un mauvais regard » qui a l’avantage de transformer la victime en agresseur, ou encore du « mal vivre le confinement », ca rend inquiet, et on peut alors être « victime d’un phénomène de décompensation psychotique à cause du confinement ».
Vu le nombre de « déséquilibrés » qui viennent jusque dans nos bras égorger nos filles nos fils et nos compagnes, il faudrait se poser la question de savoir si la France a vocation à devenir une terre d’asile psychiatrique et d’où vient ce déséquilibre ? et pourquoi ces déséquilibres se produisent-ils majoritairement le vendredi ? peut être une excitation due à la préparation du shabbat, ou un extase mystique lié au choix des intentions de prière pour la messe ? Il faudrait aussi se poser la question de savoir qu’est ce qu’Allah a mis dans son coran pour déséquilibrer à ce point tant de ces croyants. Certes, avoir 3 identités, 3 dates de naissance, crier « allah ouakbar », « tous les chrétiens doivent mourir », poignarder au cou un « caucasien », et se faire apostropher « mon frère » par un passant, qu’on épargne, pour les journalistes (Serge July et Olivier Duhamel), c’est un « non événement, qui fabrique du populisme d’extrême droite». Mais, en 2015 l’état islamique a donné comme consigne : « Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munition, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle, ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le ». Et donc, on a vu des attaques au couteau, à la Kalachnikov, à la voiture, au camion, au marteau, à l’acide, … Quelle diversité, quelle inventivité ! Il aurait été vraiment dommage de se priver de toutes ces chances pour la France…
(voir terroriste)
Dialogue : Mot trompeur signifiant en général l’acceptation des arguments d’autrui (ex : « dialogue interreligieux ») et non la confrontation des points de vue.
Discrimination positive – favoriser la diversité : Mot trompeur ; il s’agit en fait d’une discrimination à l’encontre des Français d’origine européenne.
Droits de l’homme – état de droit : mot marqueur – on les invoque pour faire taire un méchant contradicteur supposé ne pas vouloir les respecter. C’est un élément clé de la soumission de la volonté nationale à la sanction des juges mondialisés (Europe et ONU). Les juges ont usurpé la place du peuple législateur, ce sont eux qui font et défont les lois. La démocratie est morte, la mondialisation l’a tué..
Droits culturels : mot marqueur – c’est le droit d’affirmer et d’épanouir son identité et sa diversité, le droit d’exprimer à sa façon son humanité pour vivre ensemble et « faire territoire d’humanité », car « il n’y a pas de culture française » (Emmanuel Macron), il y a des cultures en France.
Echauffourées – affrontements : mot trompeur – Se dit des violences commises en groupe, par des « jeunes des quartiers » à l’encontre des forces de police, autrement dit d’émeutes.
(Voir crime)
Ecologie : mot marqueur – Dieu, ce symbole absolu de la domination, a fait don de la nature, animaux et plantes, à l’homme pour qu’il la soumette, s’en nourrisse et en use à sa discrétion or féministes, indigénistes, décoloniaux, LGBTQX et écologistes communient dans le grand récit de l’intersectionnalité : tous victimes de l’occident, dont l’histoire est écrite par l’homme blanc hétérosexuel, chrétien ou juif, lequel n’aurait d’autre passion que la domination, d’autre ressort d’action que la prédation et l’asservissement de tout ce qui n’est pas lui, La nature donc, les animaux et les végétaux, les femmes, les minorités, les noirs, les musulmans, … seraient tous et chacun victimes de cet homme occidental par l’esclavage, le colonialisme, le racisme, l’épuisement des ressources naturelles, toutes choses qui traduisent l’esprit de cette civilisation occidentale, son essence « systémiquement » mauvaise. Il n’y a pas d’autre solution que d’abattre ce vieux monde, et de le réinventer de fond en comble. Vous pensiez qu’être écologiste, c’est avoir le souci de conserver, préserver et transmettre ce qui nous a été confié, détrompez-vous : être écologiste, c’est être en guerre contre toutes les formes de domination : l’inégalité, l’injustice et la prédation. Les combats féministes et écologiques sont liés, c’est le refus de la prédation. La prédation dans notre rapport à l’autre en tant qu’humain, et tout particulièrement aux femmes et aux personnes racisées, mais aussi la prédation à l’égard de la terre, de la nature, des ressources. (Bérénice Levet)
« La crise climatique ne concerne pas seulement l’environnement. C’est une crise des droits humains, de la justice et de la volonté politique. Les systèmes d’oppression coloniaux, racistes et patriarcaux l’ont créée et alimentée. Nous devons les démanteler » (Greta Thunberg).
« Nous prenons, nous utilisons et nos jetons les corps des femmes, nous prenons, nous utilisons et nos jetons les corps des plus précaires, nous prenons, nous utilisons et nos jetons les corps des racisés. nous ne voulons plus de ce système » (Sandrine Rousseau)
« Il s’agit donc de bâtir une société féministe afin de déconstruire l’imaginaire patriarcal sur lequel repose les dominations » (Yannick Jadot)(Sandrine Rousseau)
Ecriture et langue inclusive : mot marqueur – La langue est le dernier bastion derrière lequel se cache le passé, il faut une nouvelle langue pour un monde nouveau, les maires écologistes, après avoir adopté l’écriture inclusive comme langue administrative, nomment des adjoints à la résilience et d’autres à la tranquillité (sécurité) ils rendent des « Femmage » (hommage) et organisent des « journées du matrimoine ». Les animaux nuisibles ne le sont pas, ils ne vivent pas sous le joug humain mais ne sont ni sauvages, ni domestiques, ils sont « liminaires » (conseillère municipale de Strasbourg). Il y a aussi des « rongeurs commensaux », il nous faut apprendre à organiser la cohabitation avec eux, le vivre ensemble, bref l’inclusion. Les prêtres de cette nouvelle religion veulent nous faire dire « awoman » en place de amen.
Elite : Classe minoritaire composée de gens qui, du fait de leur naissance, de leurs mérites, de leur culture et de leur capacité se reconnaissent comme les plus aptes à se partager des parcelles de pouvoir et à donner le ton à la société (voir système). L’idéologie des Lumières reprend l’hérésie de la gnose, mise en œuvre par la franc-maçonnerie, qui considère que seule une certaine élite éclairée est capable de diriger une populace ignare. On retrouve cette idée dans l’actualité, avec ces penseurs de plateaux TV qui imposent leur vision de la société à une classe d’ignorants, malgré les centaines de milliers de manifestants…
Engagé – branché – cablé : Individu de gauche (artiste, journaliste, écrivain, people, musicien… du monde de la culture ou du tout Paris), se conformant à l’idéologie universaliste et marchande et grand utilisateur des nouvelles technologies, vivant confortablement de subventions payées par l’état, expliquant ce qu’il faut penser et qui vitupère contre le « fascisme ». En général les artistes sont domiciliés fiscalement à l’étranger.
Fachiste – facho, facsiste – nazi, – néo nazi : Mot sidérant – cherchant à rassembler autoritairement tous les citoyens en un bloc unique sans opposition ni pensée déviante. Le mot est maintenant employé par toute personne de gauche sans argument face à un contradicteur. Il n’y a pas d’opposition idéologique, politique, au camp du bien, Il ne peut y avoir que des maladies psychiatriques, des obsessions complotistes générant des fake news et des déséquilibrés. Si on s’oppose au bien, ca ne peut être que parcequ’on est malade. Staline disait en parlant de ses opposants : « traitez les de fascistes, pendant qu’ils passent du temps à se justifier, ils ne font pas autre chose ».
(voir aussi islamophobe et populiste)
Fachosphère : sites internet réputés propager des « fake news ». Il ne peut y avoir de diversité dans l’information, la seule source fiable est celle de la pensée dominante.
Faits
La méthode scientifique : Voici les faits, quelles conclusions pouvons nous en tirer
La méthode conspirationniste : Voici la conclusion, quels faits pouvons nous trouver pour la rendre crédible
La méthode journalistique : voici les faits, comment pouvons nous les transformer pour les rendre conformes à la pensée de nos employeurs
La méthode gauchiste et fasciste : Voici notre rève, quels faits pouvons nous inventer pour l’imposer dans les esprits
Fait religieux en entreprise : périphrase trompeuse du langage codé des sociologues et des journalistes pour masquer l’explosion des revendications islamiques au travail
Fake news : informations diffusées par des opposants et jugées fausses par des « décodeurs » autoproclamés détenteurs de la vérité et du bien. Exemples de Fake news : « le gouvernement répartit les clandestins sur tout le territoire jusque dans les villes et villages », « dans les prisons la majorité des détenus sont musulmans ». Après un temps plus ou moins long, les fake news sont reprises par les « médias mainstream » (voir ce mot) qui ne peuvent cacher la vérité plus longtemps et expliquent alors en détail le pourquoi et le comment de ce que les lanceurs d’alerte et autre sonneurs de tocsin avaient averti bien avant, et sous leurs huées.
Francocide : mot tabou – meurtre d’un français non membre d’une minorités visible ethnique, sexuelle, religieuse, … n’appartenant donc pas aux catégories historiquement « discriminées » par la civilisation occidentale. Il est indécent et indigne d’en parler, ce serait une infâme récupération rappelant les heures les plus sombres de notre histoire, … Ce ne peut être considéré que comme un fait-divers et en aucun cas comme un fait sociologique. Seuls les médias de grand chemin ont le droit de donner leur interprétation : il ne s’agit pas de condamner un crime et d’empêcher qu’il ne se reproduise ad nauséam, il s’agit de transformer les lanceurs d’alerte, empêcheurs de collaborer en rond à la destruction de la nation, en abominables charognards, et de les faire taire, et pour cela ils veulent limiter la réflexion du vulgum pecus à la simple expression d’une émotion, réelle, mais stérile, balayer le tout sous le tapis dans une sorte de déni suicidaire de la réalité, en se réservant le monopole de l’interprétation légitime, et le plus étonnant, c’est que ça marche. C’est le grand miracle de la propagande et de la fabrication du consentement.
Publier la photo du petit Aylan pour justifier l’immigration massive, diffuser les vidéos d’Adama Traoré, de Théo, de Georges Floyd pour dénoncer le « racisme systemique » et les « violences policières », ce n’était pas de la récupération, de l’indécence ? de même tous les mensonges débités avec assurance : le massacre de Katin soi-disant perpétré par les allemands, la fiole de produit de destruction massive de Sadam Hussein et les couveuses de Koweit city, pour justifier la guerre en Irak, les charniers de Timisoara, pour justifier la condamnation de Ceausescu, le trafic d’organes prétendu perpétré par les serbes, pour justifier le bombardement de la Serbie, la destruction de nord stream soi-disant par les russes, pour vendre le gaz de schiste américain aux allemands, …
Frontière – nation – patrie : Mot tabou. mur dressé entre les peuples, principal obstacle à la prospérité et à l’entente entre les peuples. Les bonnes frontières doivent être « ouvertes », il faut donc préconiser « un monde sans frontières ». Les frontières, c’est bien connu, c’est comme les masques et la chloroquine, ça ne sert à rien. La nation est une construction réputée arbitraire, à la source de tous les maux de l’Europe et constituant un obstacle à l’efficacité totale du marché. Fracturer les nations en communautés transnationales permet d’instaurer un monde nouveau où les humains se sentent déliés de toute appartenance politique, culturelle, confessionnelle. Ils sont l’Autre, le différent, ils sont “Paris”, “Barcelone”, “les terrasses”, “les Ramblas”… Ils ne sont ni un peuple, ni un pays, mais un morceau de rien dans la grande salade de fruits du progressisme mondialisé.
(voir le mot « mondialisation »)
Garnement – sauvageon (Chevènement 1999, Cazeneuve 2016, Philippe 2019) : « Jeune » (voir ce mot) défavorablement connu des service de police (voir ce mot) pour de nombreuses agressions à l’arme blanche, matraque et autre objet contondant ou tranchant. Se déplace généralement en bande. Mineur, il ne risque rien d’autre qu’un stage de poney car nul ne commet le mal, à supposer qu’il existe, qu’accidentellement. Le 4 novembre 2019, le diagnostique d’Edouard Philippe n’a toujours pas évolué : « Nous déplorons évidemment ces actes imbéciles et violents (…) Je crois qu’en vérité il s’agit d’une petite bande d’imbéciles et d’irresponsables qui pensent que tout casser est une façon de faire avancer les choses ». Qui sont les imbéciles et les irresponsables ?
Gauche (prononcer la gôche) : qui se croit plus intelligent que les autres, donneur de leçons, « ayant vécu », moraliste à ses heures et à l’indignation à géométrie variable. Toujours du côté des « opprimés » dont il tire les subsides et ses revenus (chanteurs, artistes, people, acteurs, hommes politique etc), ses idées sont au gré des modes et surtout, il ne prend aucun risque. Résistant à ses heures (aucun en 1939, beaucoup de collabos en 1940 et pour les plus courageux à partir de juin et aout 44…), il a un profond mépris pour le « peuple », surtout si ce dernier ne pense pas « bien ». Si à 20 ans tu n’es pas de gauche, c’est que tu n’as pas de cœur, si à 40 ans tu l’es encore c’est que t’as pas de cervelle
Gauchiste – engagé – zadiste – antifa – black bloc – woke : Type de fasciste, refusant le dialogue argumenté et utilisant la violence comme stratégie militante pour intimider ses contradicteurs et harceler ses soutiens, et se consacrant à lutter contre le capitalisme et pour l’égalité, mais dont l’action violente concrète consiste principalement à saper ce qui résiste encore à la domination du marché et c’est donc un leurre, un compagnon de route du capitalisme mondialiste et sans frontièriste.
Le droitiste, trop radin, ne donne pas de poisson à l’affamé, mais il lui apprend à pêcher.
Le gauchiste lui donne un poisson mais prend un selfi pour le poster sur facebook ou instagram et faire de l’agitprop.
Le gauchiste est binaire, son axiome est : « Soit vous êtes d’accord avec nous, soit vous êtes des fascistes » et on vous fera taire par tous les moyens.
Le gauchiste et le fauve
Typiquement, un lion face à un buffle africain mâle adulte ou un bison confronté à un loup canadien en solo repousse son agresseur. Ces scènes ont été filmées. Et bien, malgré le fait que l’ongulé soit capable de terrasser à plusieurs reprises son adversaire, parfois groggy par de multiples coups de cornes ou par une tonne de chair qui lui a roulé dessus, le fauve finit toujours par l’emporter car même lorsqu’il est à terre et doit récupérer de l’épreuve avant de pouvoir se relever, sa victime semble attendre patiemment la suite des événements, totalement passive, avec un air de dire : “c’est bon t’as eu ton compte ou il t’en faut encore ?” Et bien sûr, tôt ou tard, le carnassier parvient à trouver une ouverture ; et lui ne s’arrêtera plus tant qu’il n’aura pas achevé sa proie, qui aurait pu si facilement garder sa vie si elle avait seulement eu l’instinct de danser la rumba sur les côtes ou la trachée de son bourreau, ou d’y piquer une tête, quand elle en avait l’occasion. Mais non, ce n’est pas dans ses gènes de tuer. Et ça lui est fatal. Il y a une forte analogie entre le fauve et le gauchiste.
Genré : adjectif marqueur – On voit se créer des « Cours de récréation dégenrées » mettant fin à l’invisibilisation des filles. De même il faut « Potagiser la cour », car même les instants récréatifs sont mis en liberté surveillée par les tartuffes qui nous rééduquent. On vote des « Budgets genrés », c’est-à-dire au service des femmes, réservant les subventions à ceux qui respectent les « parités » ainsi dans les musées, certaines œuvres ont le mauvais genre (car signée d’un homme), dans les théâtres, les cinémas, il faut compter les auteurs, les acteurs et les spectateurs et tout réduire et assigner au sexe et à la race, et respecter les quotas.
Grand remplacement – immigration de masse – invasion migratoire : mot tabou, employer société multiculturelle, métissage, créolisation, transition démographique. On discute beaucoup sur le grand remplacement, existe-t-il, va-t-on l’arrêter, va-t-on empêcher la théorie du grand remplacement de progresser ? ou va-t-on dénoncer l’existence d’un complot dont les membres mettraient en œuvre ce grand remplacement (faut suivre, mais avouez que c’est pas facile d’expliquer aux braves citoyens qu’on ne doit pas voir ce qu’on voit, que c’est raciste). Et pendant que les politiques se chamaillent sur le sens de ces 2 mots popularisés par Renand Camus, on ne parle pas de la réalité des difficultés causées par ce processus démographique majeur, entrainant un changement de civilisation, une islamisation, un ensauvagement qui soudain explose de partout, et un jour on se réveille et il y a le feu au lac, et on ne peut plus le cacher, d’où la déclaration hallucinante de Macron aux préfets le 15 septembre 2022 : « Les espaces ruraux sont en train de perdre de la population, nous avons une formidable opportunité, c’est que les années qui viennent seront des années de transition démographique. Si nous savons offrir de l’hébergement de l’urgence et de l’intégration dans ces régions à des femmes et des hommes qui arrivent sur notre sol les conditions de leur accueil seront bien meilleures que si nous les mettons dans des zones qui sont déjà densément peuplées avec une concentration de problèmes économiques et sociaux massifs » et, « en même temps », son ministre de l’intérieur précise pourtant que : « les étrangers représentent 7 % de la population française et commettent 19 % des actes de délinquance il serait idiot de ne pas dire qu’il y a une part importante de la délinquance qui vient de personnes immigrées. 48 % des gens interpellés pour des actes de délinquance à Paris, 55 % à Marseille et 39 % à Lyon sont des étrangers ».
C’est la rumeur du 9 3 qui prend du galon et devient vérité : les méchants lanceurs d’alerte avaient donc raison contre les comploteurs qui avouent aujourd’hui leur plan diabolique, diabolique par les conséquences chiffrées qu’ils reconnaissent eux-mêmes concernant l’ensauvagement.
Haine :
haïr les musulmans, c’est un délit, car c’est du racisme. Très Bien
Critiquer une idéologie, c’est un droit de l’homme, bien
Critiquer l’idéologie islamique, c’est un droit, heu … faut que je demande à Tareq Oubrou, hani ramadan et Laetitia Avia pour voir l’état du consensus
Combattre l’islamisme et le djihadisme, c’est un devoir de salut public. heu ….
question subsidiaire : haïr les gens d’extrême droite, c’est quoi ? c’est un délit ? heu ….
Les bisounours vous l’expliqueront, la haine, c’est comme le cholestérol, il y a le bon cholestérol et le mauvais cholestérol
Héro : Les téléfilms mettent dorénavant en scène des hommes « racisés » ou des femmes « la femme médecin », la « femme juge » ou la « « femme flic » l’« inspecteur noir », … et le méchant est en général un blanc (si possible russe ou serbe) ou à la rigueur un chinois, un militaire (spécialement s’il est européen) ou un prêtre (s’il est catholique) ; le blanc est violent, raciste, homophobe et souvent borné ; le méchant est aussi incarné par le terroriste originaire du Moyen-Orient. Dans la publicité, c’est le même cinéma systématique, recommandé par le conseil de l’Europe, pour banaliser l’homosexualité et le métissage.
Homme de type méditerranéen : vieille expression qui désigne un maghrébin mais qu’il faut maintenant éviter et remplacer par « né à ». Cette expression varie en fonction des pays. En Angleterre, on parle d’« Asiatique » ou de « paki », aux USA d’« Alien ».
Humanitaire : « désastre humanitaire » : médiatisation des malheurs de certaines populations africaines ou d’Asie ; « action humanitaire » : médiatisation de la tentative d’imposer les valeurs occidentales à des populations plus ou moins rétives.
Idiot utile : Amil Imani en donne cette définition : « Les idiots utiles sont naïfs, débiles, ignorants des faits, utopistes, [biberonnés aux bons sentiments]; ils sont des rêveurs niant le principe de réalité ou carrément trompeurs. … L’idiot utile peut être un millionnaire, une star de cinéma, un universitaire renommé, un politicien, ou issu de n’importe quel autre segment social. Sans aucun doute, la variante la plus nocive est celle du «politiquement correct». Ils sont passés maîtres dans l’art de l’euphémisme, de l’ambiguïté, du sophisme, du double-langage et de la duperie en tous genres. […]
L’idiot utile peut même s’engager dans la désinformation volontaire et le mensonge lorsque cela lui convient. Des termes tels que «islam politique» ou «islam radical», par exemple, sont des contributions de l’idiot utile. Ces termes n’existent même pas dans le jargon de l’islam, car ils sont tout simplement redondants. L’islam, par nature et selon sa charte – le coran – est un mouvement politique radical. C’est l’idiot utile qui aseptise l’islam et trompe les gens en prétendant que «l’islam réel» constituant la plus grande partie de cette religion serait essentiellement modérée et apolitique.
Hélas, la plupart des gens acceptent ces euphémismes aberrants pour décrire l’islam car ce credo les rassure. C’est moins terrifiant de croire que seulement une petite partie de l’islam aurait été détournée et transformée en radicalisme politique et que l’ensemble serait, par ailleurs, modéré et apolitique ».
Incivilité(s) – tension – agression gratuite : Terme trompeur employé par la presse pour banaliser certains délits. On utilise aussi le mot Tension qui a l’avantage de faire supposer des tords partagés. Ce terme englobe de très nombreux faits allant de la destruction de biens publics, les vols à l’étalage, les incendies volontaires de bâtiments publics et de voitures, la dégradation des transports publics, aux guet-apens tendus aux policiers, pompiers, médecins, … et autres agressions et assassinat de ceux qui ne respectent pas la charria zone : homosexuels, jeunes filles en jupe, commerçants vendant du porc ou du vin, chauffeur de bus osant exiger le ticket et un masque, maire se permettant de demander d’arrêter un rodéo, jeune fille osant reprocher l’écrasement d’un chien, voisin s’imaginant pouvoir demander de cesser un vacarme, chauffeur de bus demandant la présentation d’un ticket et le port du masque Ce ne sont pas des crimes gratuits, le coran le proclame : la oumma est la meilleure des communauté, c’est elle qui ordonne le convenable et interdit le blâmable (3 :110). et la oumma sait se faire respecter et venger l’honneur d’un frère humilié. J’espère que maintenant vous avez compris les kouffars : vous ne devez pas donner d’ordres aux croyants ou leur faire des remarques, et surtout pas une femme, et vous devez baisser le regard, soyez soumis et cela ira mieux pour vous, sinon voila ce qui vous arrivera.
Le plus ou moins haut niveau de censure de l’information concernant les auteurs des « incivilités » se mesure à l’aide d’un diversomètre qui permet de combler les trous noirs laissés par les journalistes. Il en existe une version numérique, mais la version analogique, plus rustique, est plus résistante. Cet outil indispensable vient en complément de votre dictionnaire Novlangue/HLPSDNH 2.0
Information : Terme trompeur véhiculé par la classe médiatique pour faire croire à son rôle de défense des libertés alors que sa fonction réelle est d’empêcher tout débat contradictoire et argumenté et de relayer uniquement la pensée unique sans hésiter à tronquer, tordre, masquer, interrompre, … Il n’y a plus de débats, car ce qu’on appelle débats n’oppose, sur le mode du simulacre, que des gens qui pensent peu ou prou la même chose et qui ne connaissent rien aux sujets dont ils parlent. Et les reportages bidonnés ne manquent pas, les photos truquées ou mal légendées non plus, de même que les vidéos et citations montées et tronquées et les présentations de statistiques faussées, le deux poids deux mesures, le titrage trompeur, la réécriture de l’histoire, … Cette propagande, c’est palyhood à l’échelle planétaire. Les plus grands créateurs de fake news sont les journalistes et les politiciens. (voir fake news et système)
Intégration – inclusion – multiculturalisme – pluriel – communautés – vivre ensemble : La notion de peuple français est « archaïque », il n’y a que des citoyens, l’assimilation est jugée suprématiste et l’intégration a remplacé l’assimilation, puis l’inclusion a remplacé l’intégration, puis le multiculturalisme a remplacé l’inclusion. Lors de la décolonisation on a choisi, d’un commun accord, de ne plus vivre ensemble et avec l’immigration massive, on remet paradoxalement cela sur le tapis ! Le vivre ensemble est un mot trompeur désignant la politique destinée à favoriser l’installation de communautés immigrées en France dans le respect contradictoire de leur « identité » propre et de celui des « valeurs » de la République, après l’échec des politiques d’assimilation, jugées maintenant suprémacistes. Dans le discours dominant l’intégration n’est jamais suffisante et il faut toujours appeler les autochtones – jamais les immigrés – à plus d’efforts pour assurer le « vivre ensemble » côte à côte puis face à face. Les états unis, le Canada, l’Australie se sont créés par l’immigration sur un terreau vierge de toute culture, sans civilisation d’accueil (les quelques autochtones ont été balayés) et donc ils n’ont pas de problème d’intégration mais un risque de suprémacisme, et tout naturellement, ils pensent multiculturalisme et ne voient pas la nécessité de la discrétion des signes distinctifs culturels: « Le multiculturalisme est une idéologie fondée sur l’inversion du devoir d’intégration du migrant dans sa société d’accueil, c’est elle qui doit déconstruire, son imaginaire, ses références, ses institutions, son histoire, sa culture, ses mœurs, qui doit réformer ses mentalités, ses attitudes pour accommoder les exigences de la diversité, dans la logique des accommodements raisonnables (voir ce mot). Dans cette perspective la société d’accueil n’est plus qu’une communauté parmi d’autres dans une société plurielle. Elle ne peut plus exister publiquement que pour que l’on puisse contester ses privilèges ». (Bock coté)
C’est pas ça l’islam : expression renvoyée en mode Pavlov à ceux qui critiquent l’idéologie islamique et font des amalgames (voir ce mot) nauséabonds, moisis, dignes des heures les plus sombres de notre histoire.
Mais à la fin, quand ça vit dans l’eau, que ça nage, que ça a des écailles, des nageoires, des branchies, il y a des chances que cela soit un poisson et de même quand ça fait la prière, que ça se réfère au coran, que ça considère Mahomet comme un bon modèle, que ça ne mange pas de porc ni ne boive du vin, que ça espère l’instauration de la charria, il y a des chances que ce soit un musulman.
Islam de France : mot trompeur – Il y a des éléphants en France, dans les zoos et les cirques, mais l’éléphant DE France n’existe pas. Il y a des musulmans en France, mais l’islam DE France, c’est comme l’éléphant DE France : ça n’existe pas !
Une charte a été préparé par le CFCM, contenant quelques passages obligés, dictés par Micron 1er, qui rève de refaire le coup de Napoléon avec le consistoire juif. On pourrait se réjouir d’y trouver une incitation à l’adaptation au « contexte de la société française », mais en sous entendu on comprend qu’on appliquera la takia tant qu’on n’est pas en situation de pouvoir, et de changer ce fameux contexte français (la constitution). La charte mentionne les constats suivants :
– la non criminalisation de l’apostasie (on se souvient que c’est sur ce point précis que la charte de Chevènement avait capoté)
– l’égalité homme/femme
– l’égale dignité de tous les hommes, même les juifs et les mécréants,
– l’obligation de se conformer à la loi de la république qui prévaut sur les convictions religieuse (et ils ne disent pas « sur la loi islamique »)
– le refus de considérer un racisme de la république
– le rejet des superstitions et les pratiques archaïques, notamment celles qui prétendent relever de la « médecine » dite « prophétique » (sont visés là, nous dit on les certificats de virginité, …)
– la séparation de l’ordre du religieux de l’ordre public et rejet de viser un traitement différencié pour les musulmans. Cela concerne donc la distinction à faire entre islam et islam politique (islamisme), distinction qu’aucune autorité musulmane ailleurs, dans le monde musulman, ne fait, et donc :
– l’abandon des principes cités p 8 ( al-wala wa-l bara (l’alliance et le désaveu), takfir wa-l hijra (anathème et exil), dar al-harb wa dar al-islam (territoire de la guerre et territoire de l’islam), etc.)
– le rejet du wahabisme, du salafisme, de tabligh, de la doctrine des frères musulmans, …
– le rejet des influences étrangères
Ils ont juste oublié de parler de la critique autorisée de l’islam, rien sur le blasphème, rien sur le djihad, rien sur les soi disant « martyres ».
Ouille ! on croirait un sketch (voir notre page sur la réforme de l’islam) Mais, en relisant bien on remarque qu’ils utilisent la technique de Tarik Ramadan parlant du moratoire sur la lapidation : ils constatent que la constitution française est comme ci, que les lois sont comme ca, et que « dans le contexte français » cela « les oblige à …». Mais ils ne portent pas de jugement de valeur en bien ou en mal, en fait ils ne proclament pas adhérer aux « valeurs républicaines » mais simplement au constat fait dans cette charte, et leur mission n’est que « en lien » avec ces valeurs, et donc, pour ne pas inférioriser la loi ou la religion islamique, au lieu de loi, ils parlent d’obligation des citoyens ou de leurs conviction, de règles communes, … (voir https://youtu.be/_gWVxV_oNdk)
Ca décoiffe quand même, on attend maintenant que les candidats à la décapitation s’avancent pour signer ça. Malheureusement on ne voit pas quelle confiance accorder à un éventuel musulman en France qui pourrait signer cette charte sans renier des versets entiers du coran (en particulier les versets médinois, abrogeant les versets mecquois), et alors ce serait tout qui s’écroulerait dans sa tète puisque le coran est préexistant à tout, écrit par dieu lui-même, qu’on ne peut en modifier une virgule (et c’est pour cela qu’il faudrait le lire en arabe) et qu’on ne peut en n’appliquer qu’une partie sans être accusé d’être un hypocrite, condamné par le coran.
Ceux qui ne veulent pas signer la charte ont publié un communiqué où ils récusent tous ces points, parfois avec raison et souvent avec takia (par exemple en soulignant les nombreux points déjà réglés par la constitution, et donc superflus). Ils y affirment :
La généralisation de comportements inacceptables perpétrés par des individus isolés à la totalité de la communauté musulmane entament sérieusement le crédit de cette charte.
L’usage de propos abstraits jette le doute sur les musulmans et ouvre la voie à des interprétations différentes. Ainsi l’expression « islam de France » est inacceptable car le coran et la sunna sont universels, l’expression « dans nos lieux de culte comme au sein de nos familles » sous-entend que les musulmans sont intolérants vis-à-vis des autres croyances et transmettent à leurs fidèles et aux enfants une éducation répulsive et de communautarisme néfaste, les expressions « islam politique », « prosélytisme excessif oppressant », « valeurs républicaines », « certaines pratiques culturelles prétendument musulmanes », « jugements théologiques dictés par des théologiens ou des États étrangers », « pratiques archaïques, notamment celles qui prétendent relever de la “médecine” dite “prophétique” » sont floues, non définies, absentes de la constitution.
Le caractère engageant de la Constitution Française est une réalité qui doit être acceptée par tous, dès le début, sans avoir recours à une quelconque déclaration ou engagement.
Concernant la liberté : le droit à quitter une religion (apostasie) est déjà couvert par la constitution. le travail de transmission (Tabligh) est une liberté religieuse consistant à expliquer l’Islam (équivalent à la mission dans le Christianisme « l’annonce de l’Evangile »). L’un des principes fondamentaux de l’islam, « amr bi al-ma’rouf, nahy an al-mounkar » (l’ordonnance du bien et l’interdiction du mal) n’est que l’expression de l’opinion des musulmans.
Concernant l’égalité : les différences ne sont pas des « pratiques culturelles prétendument musulmanes » qui devraient être empêchées.
Concernant la fraternité : La religion musulmane considère l’homosexualité comme un péché. C’est une question sur laquelle l’individu sera jugé dans l’au-delà. Les imams sont chargés de répondre aux questions sur l’homosexualité conformément aux sources scripturaires de l’islam, en particulier le Coran et la Sunna, sans pour autant appeler à la haine ou à la violence. La mention de misogynie signifie l’acceptation d’un parti pris stéréotypé visant toutes les organisations musulmanes.
Concernant la violence : Convaincus qu’il n’y a pas de contrainte en religion, nous considérons le rejet de la violence, qui est la forme la plus intense de coercition, comme une exigence de notre foi. Les notions propres à l’histoire et à la pensée musulmane comme étant des « concepts belliqueux ( « wala et bara » (alliance et désaveu), « takfir et hijra », (anathème et exil), « dar al-harb et dar al-islam » (terres de guerre et terres d’islam) sont d’ordre jurisprudentiel et ne peuvent être traités qu’avec les savants musulmans spécialistes en la matière. Ces concepts n’ont rien de « belliqueux » par essence.
Concernant les influences étrangères : Il est contreproductif de rejeter toutes les contributions venant d’autres pays sans faire de distinction entre ce qui peut être bénéfique et acceptable au contexte français et ce qui ne l’est pas. Tous les musulmans vivant en France ne sont pas forcément des citoyens français. Il n’est pas légal de vouloir rompre tous les liens entre les musulmans étrangers résidant en France et leurs pays d’origine.
Concernant « la superstition et les pratiques archaïques » : cela sous-entend que des pratiques comme la saignée (hajemat) ou le jeûne (siyam) accomplis par les musulmans nuiraient à la santé, de même serait interdit la circoncision des garçons.
L’affirmation d’existence ou non d’un prétendu racisme d’Etat ne sont pas du ressort du CNI
Enfin, le fait que 2 organisations puissent entamer une enquête d’infraction à la charte et en déterminer le contenu est antidémocratique, contraire au principe de ne pas être juge et partie. (voir le communiqué complet Islam de France : les raisons de la non-signature de la charte par CCMTF, Milli Gorus et Foi & Pratique exposées (saphirnews.com)
Islamiste et djihadiste – islam ou islamisme : pour ceux qui n’ont jamais lu le coran, le mot islamiste désigne celui qui dévoie une idéologie de tolérance qu’il ne connait manifestement pas et dont il ne faut pas faire l’amalgame (voir ce mot) avec ceux qui sont reconnus comme les vrais adeptes fidèles, et pour ceux qui ont lu les textes fondateurs, l’islam c’est l’islamisme en attente, et l’islamisme c’est l’islam en action. « La très grande majorité de ceux que nous qualifions d’islamistes ne reconnaît pas ce terme. Ceux qui sont issus ou proches des Frères musulmans ont compris depuis longtemps qu’il était dangereux de revendiquer leur appartenance à ce mouvement. Les salafistes, eux, expliquent qu’ils ne défendent qu’une vision religieuse et jamais une doctrine politique. Les deux groupes se rejoignent par ailleurs pour clamer que l’islamisme n’existe pas, qu’il n’y a que l’islam – entendre leur interprétation de l’islam – et que ceux qui font la distinction sont de mauvais musulmans, des ignorants ou de dangereux islamophobes ». (rapport el karoui)
Deux questions donc aux lecteurs politiquement corrects n’ayant pas lu le coran :
- Qu’il s’agisse de marginaux déboussolés, de psychopathes, de personnes instruites… quel que soit le parcours des djihadistes, la question à laquelle il convient de répondre est : pourquoi ces personnes empruntent-elles l’Islam pour aboutir à tuer des enfants d’une école juive, le public d’une salle de concert, un prêtre, des fidèles à une messe, etc. Qu’est-ce qui dans l’Islam autorise de tels meurtres ?
- Les musulmans « modérés » affirment certes que le terrorisme islamiste n’a aucun rapport avec l’Islam. Mais ils ne sont pas les seuls à se réclamer de cette religion. Les fondamentalistes, salafistes, … en un mot ceux qui soutiennent l’application de la charia, se comptent par millions dans le monde, et affirment le contraire, à savoir que l’Islam appelle au djihad, pour soumettre les infidèles… et ils proclament que « L’islam est la seule vraie religion, nous appelons tous les humains à nous rejoindre. Ceux qui refusent nous agressent par leur rejet, et le djihad est la seule réponse possible à cette agression. »
Qu’est-ce qui permet aux détenteurs de l’autorité d’arbitrer entre ces deux affirmations opposées?
Islamophobe : mot sidérant que les propagateurs de charia adressent, pour le faire taire en le menaçant de la justice, à celui qui analyse librement l’islam. On utilise aussi pour cela « raciste » . Mais l’islam n’est pas une race, c’est une idéologie et l’islamophobie n’est pas un délit (pas encore) c’est même plutôt une peur raisonnée et justifiée par la lecture des textes fondateurs et par les actes du prophète et des adeptes islamistes qui cherchent à l’imiter en tous points. On a le droit de critiquer une idéologie ou une religion quelle qu’elle soit, même par le blasphème qui va jusqu’à tourner en dérision le sacré, et donc on a le droit d’être judaismophobe, islamophobe, catholicismophobe, athéismophobe, mais on n’a pas le droit d’attaquer les gens pour ce qu’ils sont, et on ne peut donc pas être judéophobe (antisémite), musulmanophobe, christianophobe, cathophobe, athéophobe, homophobe, …
Question subsidiaire : Plus de 263 personnes ont perdu la vie dans au moins quatorze attentats commis au nom d’Allah en France entre mars 2012 et novembre 2019. Combien y a-t-il eu de morts par des assassins islamophobes anti musulmans en France dans la même période ? 0, et ce sont bien ces orphelins là qui ont eu leur « vie détruite » et qui « font des cauchemars » pas ces gentilles « mamans voilées » mais aussi vraies militantes provocatrices, soutenues par l’ensemble des médias, nous rejouant, avec le sourire, la pièce indécente de la victimisation au lendemain d’un nieme attentat islamique.
Jeune (bande de…) : Mot trompeur employé par la presse pour désigner des casseurs, agresseurs ou toute personnes des « quartiers populaires » qui créé des désordres et/ou incivilités (voir ce mot). On peut utiliser aussi le mot Hooligan, qui a l’avantage de laisser supposer que les agresseurs sont autochtones. Le mot « jeunes » est apparu dans le début des années 80, le « Padamalgam » (voir ce mot) en était encore dans sa phase expérimentale.
Laïcité : Mot marqueur mais trompeur selon qu’on affirme que la république ne reconnait aucun culte (et n’en combat qu’un), ou selon qu’on dit qu’elle les reconnait tous (Hollande). Principe qui permet donc à l’état et aux communautés locales de financer la construction de mosquées ou de centre culturels islamistes, bientôt des tribunaux islamiques, lorsque les quartiers seront reconnus en sécession (comme en Angleterre). La laïcité est elle une protection de la religion par l’état, comme dans les pays anglo saxons, ou est elle la protection de l’état contre l’influence de la religion, l’état demandant donc la discrétion aux fidèles, comme en France ? D’ailleurs dans son Évangile, le Christ demande de se comporter aux yeux du monde avec discrétion « pour que ton jeûne soit connu, non des hommes, mais de ton Père qui est là dans le secret ; et ton Père, qui voit dans le secret te le rendra » (Mt 6, 16-18) et « Les premiers seront les derniers ». (Mt 20 :16) . Mais aujourd’hui les minorités cultivent leur statut de victime pour s’incruster visiblement dans l’espace public
Lobbying : mot trompeur – il s’agit de Trafic d’influence et de corruption active. L’utilisation du mot anglais permet d’adoucir la réelle portée de l’activité. https://blogs.mediapart.fr/philippe-abeille/blog/160710/lobbying-la-democratie-et-les-entreprises-sous-influence
Média mainstream : Journal de gauche, abondamment subventionné par l’état prônant, près de 100 ans après Lénine la lutte des classes à travers le féminisme, l’immigration de masse, l’inculture économique et industrielle, l’écologisme à outrance, l’antispécisme, l’antiracisme, la théorie du genre, la promotion de la pédophilie, etc). Cette ligne éditoriale « engagée » (voir ce mot) s’applique, entre quelques reportages sur des sujets sans intérêts, à nous rappeler tous les 6 mois environ l’avènement du IIIème Reich ou la vie de la famille Le Pen, l’ascension de Poutine, Orban, …. La récurrence est fonction des échéances électorales.
Et Céline Pigalle, directrice de la rédaction BFM explique benoitement la ligne des médias en temps de crise « Il ne faut pas trop troubler les gens. pas trop aller à rebours de la parole officielle car ça serait fragiliser un consensus social. […] Les citoyens sont des êtres de foi et ont plus envie de se tourner vers des choses satisfaisantes à l’œil et à l’oreille et de se rendre à des constatations fermes »
Métissage, créolisation – mot marqueur
En 2016 dire que le gouvernement voulait disperser les clandestins de Calais dans toutes les villes et villages de France, c’était de l’abominable complotisme. Aujourd’hui c’est bien en cours puisqu’on en est à organiser un quota minimum de migrants sur toutes les communes et donc à généraliser ce métissage de sorte que le racisme anti-blanc trouve ainsi sa plus belle réalisation : la disparition de l’objet de sa haine.
En 2020 wikipédia parle encore de « La rumeur du 9-3 (2011), parfois appelée rumeur de Niort, est une série d’allégations prétendant que des maires de certaines villes françaises de province feraient venir des personnes originaires de la Seine-Saint-Denis, le « 9-3 », dans leur ville, contre de l’argent. Ces rumeurs, notamment à Niort, prétendent d’après le texte de la plainte du maire de Niort « que des personnes de couleur noire, originaires de Seine-Saint-Denis ou d’ailleurs mais, en tout cas, « d’origine non niortaise », sont réputées faire courir à la population un risque d’augmentation de la délinquance ».
En décembre 2020, Marlène Schiappa et Gérald Darmanin annoncent que la Bretagne, entre autres, va doubler ses capacités d’accueil de migrants : « Pour atteindre l’objectif de traitement des demandes d’asile en six mois, le gouvernement a considérablement renforcé les moyens de l’Office français de protection des réfugiés et des apatrides comme de la Cour nationale du droit d’asile. Tous les leviers sont mobilisés pour accélérer la sortie des réfugiés et des protégés notamment en mobilisant davantage de logements. Les collectivités locales doivent également prendre leur part dans cet effort et seront mobilisées à cette fin.»
Souriez! Vous êtes grand remplacés. Le complotiste plan Kalergi serait il finalement une réalité ? ( Le plan Kalergi : génocide des peuples européens – AgoraVox le média citoyen)
Migrant –- clandestin, sans papiers, migrants, réfugiés, exilés, mineurs non accompagnés, nouveaux arrivants, primo-arrivants, néo nationaux, autochtones : ces nombreux mots trompeurs se remplacent successivement au fur et à mesure justement du grand remplacement causé par la migration de masse. Le « sans abri » d’autrefois intéresse aujourd’hui beaucoup moins que le migrant, se disant persécuté et quittant son pays pour s’installer en occident en toute irrégularité et sans autorisation. Débouté du droit d’Asile (d’Allemagne, d’Italie, de Suisse etc) il n’est pas expulsé et, futur « chance pour la France », on a jugé utile, en Allemagne et en Suède (au moins), de lui donner d’abord des cours de drague sans viol, puis coaché par diverses ONG mondialistes, il refuse de s’intégrer, exige des conditions décentes d’habitation, de nourriture et de culte au frais du pays d’accueil et par sa communauté, négocie des accommodements pour conserver son mode de vie d’origine.
Sur LCI, ils font une heure de débat sur la délinquance des mineurs sans dire le mot immigration. Au ni oui, ni non , ils doivent être imbattables
On est habitué aux migrants quasi exclusivement des hommes, et puis lors de la guerre en Ukraine, les réfugiés qui se pressent dans les pays voisins sont exclusivement des femmes et des enfants. Comme quoi les premiers ne fuient pas la guerre, et comptent bien s’installer durablement en faisant venir leurs femmes par la suite, et les seconds comptent bien revenir rapidement dans leur pays.
.(voir « Quartier populaire », « nik », « mixité sociale », « accommodement », « mondialisation »)
Mineur non accompagné, MNA : mot trompeur, ils se déclarent mineurs pour éviter les poursuites, comme d’autres se déclarent femme pour entrer dans les vestiaires des filles. Anne Hidalgo explique que les tests osseux sont humiliants, et qu’à Paris, elle détermine si un migrant est mineur « à partir d’une discussion, d’un dialogue avec la personne pour évaluer son âge à partir de ses références » ben voyons ! Par soucis d’humanité, il faut rapatrier tous les mineurs isolés dans leur famille.
Minorités : Terme trompeur s’employant de préférence au pluriel et désignant les groupes qui cherchent à imposer leurs préférences à la majorité ; « minorités visibles » : personnes de couleur ou issues de l’immigration africaine. L’utilisation du mot « minorité » vise à faire oublier que dans certains territoires perdus de la république ces « minorités » sont en fait majoritaires, du fait de la fuite des autochtones et de la démographie.
Mixité sociale (pour plus de…) : Terme employé par les médias et les nouveaux habitants des quartiers populaires qui souhaitent le retour d’une partie des anciens habitants dans ces quartiers populaires (voir ce mot) afin de rehausser le niveau scolaire. La classe dirigeante prône la mixité sociale, mais habite les beaux quartiers et place ses enfants dans des écoles privées.
Mondialisation : On distingue trois niveaux d’évolution de la société, du plus simple au plus abouti, dans le sens du progrès : la famille et la tribu, la nation, la société mondialisée (voir mondialisation et immigration)
De nationalité française ou, mieux, né à : terme suivi de « Lyon », « Paris », « Lille », « Marseille », … que l’on retrouve dans les rubriques faits divers de la presse afin de qualifier un résident étranger s’étant rendu coupable de crimes ou délits (voir « Connu des services de police »).
Natif informant – notion que les études post-coloniales ont forgée pour désigner les personnes de couleur qui, surcompensant un complexe d’infériorité à l’égard des Blancs, imitent ces derniers pour leur plaire et être reconnues par eux. Pour faire moins pédant on les traitera au choix pour les uns d’ « Arabe de service » de « harki », ou de « goumier » et pour les autres de « nègre de maison » ou « bounty », car « noir à l’extérieur et blanc à l’intérieur ».
Nègre – noir – black : mot tabou
Il faut être « vu comme noir » comme Aimé Césaire ou Léopold Senghor pour avoir le droit d’utiliser le mot « nègre », (voir https://twitter.com/i/status/1202991374456492034) le gâteau nommé « Tête de nègre » jugé raciste a été renommé « merveilleux ». Se teindre le visage en noir (Blackface) est maintenant impossible au pretexte d’ « appropriation culturelle », et de même se faire des tresses africaines est impossible pour un caucasien (nouveau nom du « blanc ») (voir ce thème instrumentalisé sur la chaine qatari AJ+ par les indigènes de la république : https://twitter.com/i/status/1231217077677101058). Banania a retiré son bonhomme souriant et son slogan « y a bon », c’est triste. On a réécrit la fin de Carmen, et c’est maintenant don José qui meurt. Vous me dite que je mélange tout, Carmen n’était pas noire, bingo, vous l’avez dit le mot tabou, au jeu du « ni blanc ni noir », vous avez perdu. Et d’ailleurs « tintin au congo se vend très bien … au Congo (Zaire) !
Qualifier quelqu’un « vu comme noir » de « noir » est jugé raciste car ce serait prétendre le réduire à sa couleur de peau, alors que ce n’est évidemment qu’une de ses qualités physiques. L’expression « vu comme noir » relève du même délire de déni de réalité que « vu comme homme » (voir théorie du genre »). Tout cela est évidement absurde, « noir c’est noir, il me reste l’espoir ».
Niqab, burqa, tchador, burqini, hijab, foulard islamique : Mots d’origine arabe, passés dans le langage courant. Prétendus marqueurs de l’émancipation des femmes, en réalité drapeau porté par les femmes pour marquer un recul de la république et une conquête de territoire. Comme la femme est réputée être la tentatrice, il convient qu’elle se voile pour ne pas pousser les hommes, qui ne se maitrisent pas, à la fornication. Contrairement à ce qu’on essaye de nous faire croire, c’est bien une prescription religieuse du coran (33:59, 24 :31).Mais, les collabos et les faux culs sont là, et après le serre-tête d’Aurélien Taché, le foulard de la mère d’Alain Juppé, la mantille de Christophe Castaner, le voile de mère Teresa de Nathalie Loiseau, voici le voile de la mariée d’Éric Coquerel… Qui dit mieux ?
Et bien justement : on vit maintenant avec un masque sur la figure, on se déshumanise : plus de sourire à recevoir ni à donner. Même le clin d’œil, sans la grimace accompagnatrice, est imperceptible, on parle à des robots, c’est triste à mourir. Et il y a des pays comme ça, où la moitié de la population est invisible dans l’espace public, et les hommes, en manque, y deviennent sans doute déséquilibrés, en tout cas ils s’enfuient de là-bas et, premier paradoxe, ils viennent chez nous, qu’ils considèrent pourtant comme impurs, décadents, … et, deuxième paradoxe, ils veulent reproduire ici leur biotope d’origine. Ou alors, ce n’est pas une fuite, mais une invasion djihadiste ?
Nik… (ta mère, la France, la police…) : Onomatopées ponctuées de crachats (pour ne pas avaler sa salive pendant le jeûne du ramadam), de balancements du corps et de signes fait avec les doigts, faisant partie du champs lexical des populations des quartiers populaires pendant une conversation.
Novlangue – politiquement correct – écriture inclusive :
Les règles du politiquement correct ont été édictées officiellement par le conseil de l’Europe (Dans un document interne la Commissaire européenne à l’égalité interdit d’employer les mots « Noël », « colonisation de Mars » Fdesouche)
Le document, qui devait recevoir un prix de l’union européenne, a été soi-disant « retiré pour être mieux travaillé », comme celui qui faisait la promotion du hijab, mais il est toujours sur le site de l’europe et a déjà force de norme unificatrice pour les activistes du wokistan.
Pas de noms genrés (travailleur, policier) ni de pronom masculin
Pas de réunion sans représentation multiple des minorités visibles
Ne pas invisibiliser les « dominés », Pas de mesdames messieurs, mais chers collègues, chers participants
Pas de « Mme Mr », mais Ms et pas toujours dans le même ordre
Picklist de genre : homme, femme, other,prefer not to say
Pas de « citoyen », car excluant pour les migrants
Pas de « personne handicapée » , on a un handicap, on est une personne avec un handicap
Officialisation du logo handicapé
On ne soufre pas d’une maladie, on a la maladie
Choisir des images actives et pas passive pour les femmes
Pas d’événement monogenré dans les participants et les organisateurs d’un événement
Réagir auprès des organisateurs en cas d’événement déviant
Pas de pronom genré, réécrire au pluriel : pas de un gus exprime son accord mais les gus expriment leur accord
Pas de « les xxx » car ce n’est pas un groupe homogène défini uniquement par xxx
Pas de tournure avec « homme » ou « manpower » mais humanité et ressources humaines
Pas de « femme » ni « épouse » ni « père » mais partenaire et parent
Pas faire référence à équipe xy mais équipe masculine et équipe féminine
Pour représenter la famille, utiliser des images avec des genres identiques et des divers
Officialisation de la Norme du drapeau LGBTQ
Pas de « gay » ni « lesbien » mais personne transgenre
Pas d’homosexuel
Pas de catégorie vague « africain » ni «asiatiqu » mais personne du japon, de gambie
Pas de référence chrétienne, Pas de prénoms Marie et Jean mais Malika et Julio
Pas de colonisation de mars mais envoi de personne sur Mars
(Le texte complet : Guidelines for Inclusive Communication (fdesouche.com))
Pas de croix ni de symboles chrétiens dans ce torchon, quant à l’appellation de la fête de Noël, aller hop, à la poubelle. La seule représentation religieuse tolérée dans ce torche-cul déconstructeur est celle d’un musulman qui lit le coran dans une mosquée.
Le document est soi-disant retiré, mais une conférence « clear writing for Europe 2021» (Clear writing and Inclusive Language (fdesouche.com) reprend et précise certains de ces points à propos du language inclusif :
Proscrire les pronoms genrés : « son » devient un ou leur (en passant au pluriel) on peut aussi l’omettre, « si il » devient qui, …
Ils y donnent cet exemple extrême :
Li corbe.au.lle et li Renard.e
Maitre.sse Corbe.au.lle sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maitre.sse Renard.e par l’odeur alléché.e
Ellui tint à peu près ce langage :
Et bonjour, Monsieur/Madame di Corbe.au.lle
Que vous êtes joli.e ! que vous me semblez be.au.lle !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes li Phenix des hôte.sse.s de ces bois.
À ces mots li Corbe.au.lle ne se sent pas de joie :
Et pour montrer sa belle voix,
lel ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Li Renard.e s’en saisit, et dit : Maon bon.ne Monsieur/Madame.
Apprenez que tout.e flatteu.r.se
Vit aux dépens de cellui qui l’écoute.
Cette leçon vaut bien un fromage sans doute.
Ben voyons !
ONG : respectées par l’élite dirigeante car elles agissent en violant les frontières et concurrencent les nations, toutes choses à détruire. Ce sont les milices du progressisme mondialisé. (voir progressisme et mondialisation et immigration)
OQTF – obligation de quitter le territoire : mot trompeur, car il est interdit d’interdire ou d’obliger, et comme les frontières n’existent pas, les organisations gauchistes feront tout pour empêcher que cela soit exécuté
Palmarès :Terme régulièrement lu dans la presse, rubrique faits divers. Liste complète des condamnations d’un individu et inscrite à son casier judiciaire. En règle générale, le palmarès s’étoffe à mesure que la justice relâche les lauréats en question.
Palyhood – Rue arabe : Population urbaine disponible pour accourir là où les services de police appropriés lui remettent les slogans du jour (Israël ou Etats-Unis). Par miracle, la BBC et CNN sont toujours sur place là où les manifestations spontanées vont avoir lieu (sans oublier les banderoles en anglais). En cas de douleur palestinienne à mettre en scène, se procurer de faux blessés si on n’en a pas de vrais sous la main, synchroniser le lancement de l’équipe de porteurs de blessés avec le surgissement d’une camionnette revêtue des insignes du Croissant rouge, et arriver à l’hôpital dans un vrai show son et lumière. La technique s’exporte en occident sous la forme de marches blanches ou d’émeutes nocturnes.
Parabole de la grenouille : c’est l’histoire d’une grenouille qu’on jette dans l’eau bouillante, elle donne un grand coup de patte et elle se sauve. Maintenant si on la place dans un fétou d’eau froide, elle s’y trouve bien. Puis on chauffe peu à peu la marmite, elle finit peut être par trouver qu’on exagère un peu, mais elle ne s’affole pas, elle s’habitue. et puis on chauffe encore, et elle commence à s’agiter et à se fatiguer. Et puis l’eau boue, et trop fatiguée elle ne peut plus donner le coup de patte salvateur, et elle est cuite.
C’est comme cela que la charia s’installe dans un pays mécréant : par petits accommodements déraisonnables successifs, votés et mis en place par les mécréants eux-mêmes, idiots utiles et collabos :: le voile, les horaires séparés pour les hommes et les femmes dans les piscines, les stades, … l’abattage sans étourdissement généralisé, les menus de substitution, le financement public des mosquées, l’appel public à la prière, l’interdiction de la critique de la religion, l’incitation aux non croyants de ne pas manger ou boire en public pendant le ramadan, la suppression des symboles chrétiens (crèches, croix, cloches), les listes 100% halal pour les élections, l’établissement de tribunaux islamiques, …
En France, l’eau est déjà pas mal chaude, il y a de nombreux accommodements bien établis.
Parabole du loup et des brebis : On a proposé récemment aux éleveurs des calmants pour les brebis pour répondre au problème des attaques de loups dans les parcs nationaux : la proposition a été formulée très officiellement en mars 2020, dans une réunion de travail en présence du préfet référent sur la politique du loup. Elle vient du parc national du Mercantour. Il s’agit de pulvériser deux fois par mois les brergeries avec un calmant phéromone. Car il est vrai que si les brebis étaient moins racistes envers les loups, ça se passerait mieux… Ce repli sur soi est un frein à l’intégration des loups, alors il ne faut pas s’étonner si certains loups se radicalisent. On appellera cela : « des loups solitaires ». le loup est une espèce pacifique et respectueuse des autres. – Pas d’amalgame, il y a aussi des loups biens. C’est même la majorité d’entre eux. – Mais regardez-les ! Ces pauvres loups sont avant tout victimes du spécisme – La plupart des victimes de loups enragés sont des loups pacifiques. – Les loups fuient la guerre provoquée par les ours. Nous leur devons protection.
Ce procédé de la drogue du violeur est bien connu et a déjà été testé :
– Mais oui monsieur le juge, j’ai donné du GHB à la demoiselle pour éviter qu’elle ne soit stressée et pour qu’elle soit plus résiliente. C’était pour son bien !
– Vous êtes très prévenant. Bon, vous êtes acquitté…
Et pour les électeurs, ça existe aussi : vivrensemble 500mg, Padamalgam 1000, etc… et on a des bons résultats avec les medias, sauf que la pulvérisation n’a pas lieu 2 fois par mois, mais tous les jours, 24h/24 h.
Parent 1 et parent 2 : mot marqueur, remplaçant père et mère, dans une première étape il s’agit ici de signifier idéologiquement l’égalité de l’homme et de la femme, au mépris de la réalité biologique et chromosomique. Curieusement, ils n’ont rien prévu pour remplacer papa et maman. (voir théorie du genre)
La famille est initialement le lieu de reproduction, d’épanouissement et de transmission des valeurs, le lieu d’exercice des responsabilités éducatives et affectives créées par la parenté biologique définissant la filiation. La famille serait, nous dit-on maintenant, un lieu de reproduction des inégalités alors qu’il faut s’émanciper des déterminismes (le fin du fin du totalitarisme est d’arracher les enfants à leur famille pour les élever dans des « lebensborn »). Grace à la PMA (voir ce mot) et la GPA la filiation serait définie, en dernière étape, par le projet parental et la construction sociale, le désir d’enfant devenant le droit à l’enfant pour tous.tes. Tout ce qui concerne le corps étant alors passé sous le tapis, y compris et surtout le père, exclu non pas par un accident de la vie, accident qu’on pourrait chercher à réparer, mais par la volonté délibérée de faire sans lui, au mépris du droit de l’enfant à connaitre l’histoire de sa mère et de son père.
Passer à l’acte : C’est ce qui différencie le modéré du pas modéré. Après une période plus ou moins longue de reflexion et de reconnaissance, les amoureux passent à l’acte sans modération.
Patrimoine – journée du patrimoine – mot tabou car faisant référence au père, il faut parler d’héritage, « heritage day », « Un nouveau nom pour une nouvelle dynamique, plus inclusive et élargie”. Et puis de toute façon le patrimoine c’est le passé, ça pue des pieds. Il faut abolir l’héritage au nom de l’égalité et du progrès.
Pédagogie : Mot trompeur – l’élite dominante considère qu’il faut en faire quand elle rencontre une opposition ou une résistance qu’elle ne soupçonnait pas.
(voire accompagnement)
Pédophilie : mot sidérant. Pratique sexuelle interdite par la loi consistant à avoir des relations sexuelles avec un enfant. Cette interdiction légale ne s’applique pas aux membres du camp du bien. Dans les années 70/80, « Des crétins dans le vent allaient jusqu’à vanter la permissivité en ce domaine, sans que cela ne suscite beaucoup de protestations. Je pense à ces écrivains qui exaltaient dans les colonnes de Libération ce qu’ils appelaient « l’aventure pédophile » (Sorj Chalandon – libé – 2001) Voici un extrait de l’article de Libé « Pédophilie: où est la gêne? » publié en 1997 mais toujours accessible sur leur site internet : « Les bébés, c’est ce qu’il y a de plus mignon et de plus adorable, mais aussi ce qu’il y a de plus terrifiant, car ils éveillent en nous on pourrait dire excitent en nous des émotions, des désirs et des fantasmes très intenses. Nous avons envie de les croquer, embrasser, dévorer, câliner, sucer, malaxer, pénétrer, triturer. Ce n’est pas pour autant que nous sommes tous des pédophiles. »
En janvier 1977, trois hommes comparaissent devant la cour d’assises de Versailles pour «attentats à la pudeur sans violence sur mineurs de moins de 15 ans» une pétition sort pour les défendre, signée par tous les noms du progressisme : Aragon, Bernard Kouchner, André Glucksmann, François Chatelet, Jack Lang, …
Daniel Cohn Bendit par exemple s’en est vanté dans son livre « le grand bazar » et de même Frédéric Mitterrand dans son livre « la mauvaise vie »)
Libération a-t-il soutenu la pédophilie en 1974 ? – Libération (liberation.fr)
Ils ont, en apparence, abandonné la pédophilie, mais ils se rattrapent, si on en juge par cet extrait de la tribune « Déclarer la grève des utérus » publiée dans Libé en 2014 : « Par l’abstinence et par l’homosexualité, mais aussi par la masturbation, la sodomie, le fétichisme, la coprophagie, la zoophilie… et l’avortement. Ne laissons pas pénétrer dans nos vagins une seule goutte de sperme national catholique. »
Perpétuité : Mot trompeur – condamnation pénale permettant d’être libéré pour bonne conduite au bout d’un peu plus de temps que les autres.
PMA – GPA : mot trompeur. L’homme rêve de dépasser son maître, le créateur. Ayant séparé la sexualité de la procréation (avortement, pilule) on veut même séparer la gestation de la parentalité (gestation pour autrui, éprouvette, …) on peut alors organiser l’amélioration de la reproduction de la race par sélection et manipulation génétique.
Ainsi on banalise une conception par un tiers donneur anonyme, immédiatement relégué aux oubliettes, plusieurs embryons fécondés puis congelés, une présélection sur des critères de type eugénique, l’effacement de la lignée paternelle. À peine né, l’État relaie le mensonge, établissant à l’état civil que, désormais, deux femmes sont ses mères ou deux hommes sont ses pères (voir parent 1).
Poitiers – exemple de réécriture de l’histoire
Feignant d’oublier qu’en 714, Narbonne est prise et sert de base de départ vers Nimes, Toulouse, Sens, Bordeaux, Mediapart affirme que « l’envahisseur n’est pas tant Abd al-Rahman, qui ne compte certainement pas s’installer en Aquitaine, que Charles Martel, qui ambitionne depuis longtemps déjà de conquérir le sud-ouest de la Gaule.. […] Par conséquent, célébrer Charles Martel, c’est célébrer la victoire politique d’un « dictateur ». […] Loin d’être venu sauver un Occident chrétien contre un Orient musulman menaçant, Charles Martel est surtout venu concrétiser ses projets de conquête. Le héros de la propagande fasciste est un putschiste ambitieux venu envahir l’Aquitaine » Charles Martel n’est que la «fabrique d’une icône islamophobe » Et Jean-Luc Mélenchon ajoute sur rance culture : « Dans le cas de Charles Martel, permettez-moi de vous dire, cher Denis Tillinac, que je ne vois pas pourquoi on devrait dire « gloire à Charles Martel », parce que si on avait pu s’épargner les siècles d’obscurantisme que nous a valu la main-mise de l’Eglise sur l’Occident chrétien, si on avait pu, nous, gagner l’apport des civilisations arabes, arabo-andalouses qui eux [sic] avaient comme luxe de collectionner les livres, tandis que les nôtres avaient comme luxe de les gratter pour écrire dessus les absurdités que l’on connaît » (on connait le sort réservé aux bibliothèques par ces tolérants conquérants et aujourd’hui on connait des palimpsestes du coran !) Hitler ne disait pas autre chose : « Si Charles Martel avait été battu, le monde aurait changé de face. Puisque le monde était condamné à l’influence judaïque (et son sous-produit, le christianisme, est une chose tellement insipide !) il aurait mieux valu que l’islam triomphe. Cette religion récompense l’héroïsme, promet au guerrier les joies du septième ciel… Animé d’un esprit semblable, les Germains auraient conquis le monde. Ils en ont été empêché par le christianisme. »
Mais c’est bien l’Imam de Poitiers, Boubaker el Hadj Amor en 2015 dans un interview pour une télévision arabe, qui contredit ces délires et se rapproche le mieux de la vérité historique : « Ce site est situé sur la principale route empruntée par l’armée islamique. Elle a été pavée par les romains, c’est pour cela qu’on l’a appelée le centre islamique du pavé des martyrs. Dans l’histoire de France on insiste sur cette victoire car c’est la seule victoire à l’époque des chrétiens sur les musulmans, la victoire de Charles Martel. On retient qu’à l’époque la conquête s’est faite par le sabre. Aujourd’hui nous voulons faire de notre centre de Poitiers une nouvelle étape de la conquête musulmane, mais d’une autre façon si dieu le veut nous espérons faire de ce lieu un centre de dialogue afin de faire rayonner l’islam, faire connaître la pensée islamique et assurer notre devoir de prédication. Il n’y a pas une semaine sans qu’un ou deux jeunes, fille ou garçon, découvre ici l’islam et se convertisse » (https://vk.com/video537996194_456239093) Dans une autre vidéo, il regrette cette vidéo, qui n’était pas destinée aux koufars mais aux donateurs du golfe. En effet, il y reconnait l’attaque d’une armée, et pas une simple petite razzia, et il dévoile le nom de la mosquée « pavé des martyrs », ce qui n’est pas très peace and love (https://vk.com/video537996194_456239095) comment on dit déjà …. takya .
Polémique – controversé – problématique – provocation : Mot subliminal exclusivement employé pour présenter un personnage connu qui a fait une déclaration ou pris une initiative susceptible d’aller à l’encontre de l’idéologie dominante. On dit alors qu’il « suscite la polémique » ou « une levée de boucliers » ; lorsque cette personne appartient à la droite de conviction on dit « tollé »
Populisme : refus de faire confiance aux institutions, aux médias et aux personnel politique censé nous représenter. « Ces populistes, nationalistes stupides… ils sont amoureux de leur propre pays». «Ils n’aiment pas les gens qui viennent de loin, j’aime les gens qui viennent de loin… nous devons agir en solidarité avec ceux qui sont dans une situation pire que la nôtre.» (Jean-Claude Junker président de la commission européenne, alcoolique notoire)
Préférences sexuelles – orientation sexuelle : Terme trompeur ayant pour finalité de banaliser les dérives de la théorie du genre. (voir théorie du genre)
Prisons
Jean-Pierre Chevenement, ex ministre de l’intérieur, n’a pas été condamné pour avoir dit : « Il suffit, comme j’ai eu l’occasion de le faire, de consulter les listings de la Direction centrale de la sécurité publique du ministère de l’intérieur, pour constater que plus de 50% des infractions constatées étaient imputables à des jeunes dont le patronyme est de consonance africaine ou maghrébine. »
Le Nouvel obs n’a pas été interdit pour avoir publié : « Même si les statistiques du Canonge restent à prendre avec des pincettes, il indique qu’Arabes et Noirs sont « surreprésentés » (comprendre : plus nombreux en proportion que dans la population totale). A la lecture de ce fichier (de la police), L’Express montrait ainsi en 2006 qu’à Paris :
- 37% des 103 000 référencés étaient blancs
- 29% étaient nord-africains
- 19% étaient noirs
Dominique sopo, président de sos racisme, n’a pas été condamné pour avoir écrit dans son livre « sos antiracisme » : « L’exemple du traitement de la surdélinquance des étrangers et des jeunes issus de l’immigration est ici éclairant. Longtemps nié en France, ce phénomène n’en était et n’en demeure pas moins réel. Nier une évidence, c’est s’interdire d’en offrir une analyse »
https://www.dreuz.info/2015/11/27/70-des-personnes-incarcerees-en-france-sont-musulmans-probleme-ils-ne-representent-pas-70-de-la-population/
Alors que ces déclarations nauséabondes ne leur ont pas été reprochées, Eric Zemmour, lui, avait été condamné pour avoir dit : « Les Français issus de l’immigration sont plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes… C’est un fait. » et cela montre que le juge n’a aucune notion de la logique des propositions, ni des déterminants quantitatifs, ni des statistiques.
« selon que vous êtes puissants ou misérables Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir ». Oula, il associe le bien aux blancs et le mal aux noirs, il était raciste la Fontaine ! (voir le mot « blanchir »)
CQFD
Wikipedia écrit qu’en 2020 il y a 82% de français ou binationaux et 23% d’étrangers en prison alors qu’ils ne représentent que 7% de la population (Population carcérale en France — Wikipédia (wikipedia.org)) on sait aussi que 27% demanderaient un menu spécial ramadan (le monde dit en 2008 qu’il y a 60% à 70% de musulmans alors qu’il sont 12% dans la population)
Et l’anthropologue Didier Fassin, dénonçant une discrimination, précise en 2016 : 77% des personnes détenues appartiennent à des minorités ethniques, se répartissant en 35% d’hommes noirs, 32% d’hommes arabes et 5% de roms. Pour ce qui est des deux premiers groupes 84% étaient français.
Progressisme, humanisme, modernisation, mondialisation : mot marqueur ayant changé de sens ; il n’a plus de rapport avec la culture des « humanités » mais désigne l’idéologie des droits de l’homme et l’action conduite par le gouvernement pour faire évoluer la société et les institutions françaises conformément au modèle marchand anglo-saxon, en général en allant à l’encontre de la volonté des citoyens. (voir système) et en s’appuyant sur le postulat que tous les droits nouveaux sont des progrès. Celui qui met cela en doute est un « réactionnaire ». Aujourd’hui le progressisme privilégie le consensus sur l’autorité, la paix sur la guerre, la tolérance sur l’application de la loi.
Provocation : c’est un élément clé de la tactique gauchiste et qui est reprise par les islamistes. C’est la première phase d’un cycle qui a prouvé son efficacité : « provocation/répression/victimisation ». combiné au mensonge (takiya) cela fait des ravages. Comme lors de la phase de provocation, on est l’agresseur, il convient de bien montrer que l’on est la victime, du cycle précédent où l’on était certes provocateur, mais finalement victime.
Quartier populaire – défavorisé : mot trompeur – a remplacé l’expression « banlieue sensible ». Anciennement quartiers habités par des populations autochtones à bas salaire. En 2019, quartiers essentiellement occupés par des diasporas immigrées et où fonctionne un système économique alternatif (trafic de drogue, vols, racket…) et un système politique qui voit la communauté refuser l’intégration et imposer par clientélisme à l’élu local des accommodements visant à répliquer les conditions de vie du pays d’origine ou plutôt celles d’un « bon modèle » ancestral. Ce sont aujourd’hui les quartiers du prophètariat, quartiers bénéficiant en général d’aides et de prestations publiques préférentielles dans le cadre de la « politique de la ville » qui y alloue régulièrement des nouveaux fonds qui semblent justement sans fond. Ce sont dans ces quartiers que les nouveaux habitants demandent plus de « mixité sociale » (voir ce mot) alors que les anciens habitants ont fuit.
Quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan : mot trompeur masquant un mot tabou – on trouve cette précieuse périphrase dans la note d’instruction envoyée par le patron de la police du Calvados à ses hommes, pour leur dire de ne pas y mettre les pieds. Je me demande bien quelle peut être cette « population qui suit le ramadan » ! Si vous avez la réponse, merci d’écrire, on fera suivre.
Race : mot tabou. Il n’y a qu’une espèce humaine, les races humaines n’existent pas et prétendre le contraire expose à des poursuites judiciaires ; à la place on peut employer le mot « ethnie », comme « conflit interethnique » ou « communauté », comme « revendication communautariste », mais si possible toujours au pluriel.
La notion de race, ayant servi à établir la pureté, l’essentialisation et la hiérarchie entre les différents groupes humains, d’où des abominations, reste hautement délicat à utiliser, d’autant que le metissage se généralise par le fait des migrations de masse. Le mot même de race est donc interdit, mais rien ne sert de se voiler la face, on peut faire les mêmes abominations avec l’ethnie, différentes « épurations ethniques » le prouvent. Cela étant, les statisticiens de l’ADN, comme les gendarmes dressant des portraits robots, les journalistes les diffusant, et le vulgum pécus ouvrant les yeux reconnaissent habituellement les grands groupes suivants : les caucasiens, les africains sub-sahéliens, les asiatiques de l’est, les asiatiques du sud-est, les amérindiens, les aborigènes d’Australie, les pacific islanders, les esquimaux et enfin les nord-africains et moyen-orientaux.
Les races n’existent pas, mais on peut cependant professer la « théorie critique de la race » qui consiste à accuser les occidentaux d’avoir légalisé et institutionnalisé la « suprématie blanche » contre divers « dominés »
Espèce humaine
Scientifiquement, on dit qu’une espèce regroupe toutes les populations interfécondes et dont la descendance peut elle-même se reproduire. Tous les humains étant interféconds, il n’y a qu’une espèce humaine. Au sein d’une espèce, on définit les races (animales), les clusters génétiques, les sous-espèces, ou les ethnies comme étant un ensemble d’individus s’étant développé isolément et ayant en commun un certain nombre de caractères morphologiques et physiologiques qu’ils perpétuent lorsqu’ils se reproduisent entre eux (différences osseuses, pulmonaires, hormonales, cérébrales, dentaires, sexuelles, sanguines, durée gestationnelle, couleur de peau,… Il y a donc des allèles (version du gène paternel et version du gène maternel) communs dans ces groupes humains et produisant chez l’enfant le même caractère (couleur des yeux est un gène, bleu est un allèle de ce gène). Tous les humains ont les mêmes gènes, mais pas les mêmes allèles. Les humains ont d’ailleurs presque les mêmes gènes (à plus de 95%) que beaucoup d’autres mammifères.
L’espèce humaine s’est développée pendant plusieurs milliers d’années en partant d’Afrique pour coloniser (oh le vilain mot) l’ensemble du globe, mais ces différents groupes ne se sont pas développés parfaitement isolément : les généticiens trouvent les traces de ces contacts, et c’est la raison invoquée pour refuser la notion de races humaines. D’ailleurs les migrations de masse vont à terme produire l’évolution par métissage du groupe humain attaché géographiquement aux lieux cibles de ces migrations : le type caucasien, le seul qui doit se repentir éternellement de méfaits de ses ancêtres.
Pour terminer ce petit résumé de génétique, le gène c’est comme le nom d’une caractéristique et l’allèle c’est son instanciation (sa valeur) chez un individu donné. L’allèle, selon le gène, peut être dominant, codominant ou recessif, ce qui détermine la transmission de la caractéristique d’un des deux parents ou des deux à l’enfant. Entre alors en jeu la sélection naturelle qui fait que ceux qui ont les allèles comme ceci plutôt que comme cela s’en sortent mieux dans l’environnement et prolifèrent, et le groupe humain evolue dans ce sens sur le long terme. Il faut parler aussi de l’aquis par imitation des parents et du groupe. Pour expliquer certains changements, il faut enfin tenir compte des mutations de gènes (d’allèles) , causées par l’exposition à telle ou telle nourriture, la pollution, les radiations, l’âge, …, ce qui fait apparaitre de nouvelles caractéristiques, absentes chez tous les individus du peuple original.
Théorie critique de la race (Critical Race Theory – CRT) – mot marqueur : élément clé du wokisme, c’est une approche enseignant que l’histoire américaine et sa conquête des droits civiques ont utilisé le racisme systémique, ce qui a impliqué les institutions juridiques américaines et qui justifie maintenant que les racisés imposent aux blancs une humiliation réparatrice pour leur faire reconnaitre leur privilège de blanc.
Racisé – non genré : qualificatif de séminaires racistes réservés aux non blancs ou aux non mâles blancs.
Racisme –
La différence est une richesse, c’est pourquoi il faut conserver ses propres différences, ses spécificités, son identité, mais si vous constater cette différence, vous êtes raciste. Qui maitrise la définition du mot racisme peut étendre cette définition et maitriser les esprits.
Une petite blague comme on pouvait encore en faire il y a quelques années, dans le bon vieux temps où les Français avaient le sens de l’humour et l’amour de la liberté de pensée et d’expression :
Un enfant d’immigrés musulmans en France demande à sa mère en burqa :
– Maman, c’est quoi la différence entre la solidarité et le racisme ?
– Eh bien mon fils, la solidarité c’est quand les contribuables français travaillent dur chaque jour pour que nous puissions obtenir tous nos avantages. Tu sais, comme le logement gratuit, la nourriture gratuite, les soins gratuits, l’éducation gratuite, des terrains pour construire des mosquées et des centres communautaires etc…, tu comprends. C’est ça la solidarité !
– Mais Maman, les contribuables français doivent être en colère.
– Bien sûr qu’ils le sont…….. C’est ça le racisme !!!
Racisme anti blanc : mot tabou. Le parti des indigènes de la république, comme les islamistes, veut déconstruire les valeurs occidentales, et pour cela il articule plusieurs thèmes dits décoloniaux ou de tendance intersectionnelle : droit des LGBTQI+, écriture inclusive, patriarcat et blantriarcat, racisme structurel, réappropriation culturelle, islamophobie d’état, analogie entre la colonisation en Algérie et le traitement des musulmans français, colonisation en Palestine. Prétendant faire converger les luttes de tous ces nouveaux « damnés de la terre » remplaçant la classe ouvrière, le parti des indigènes de la république a théorisé l’idée que le racisme suppose un rapport de dominant/dominé, qui est définit par ailleurs sur plusieurs axes intersectionnels par des critères de genre, de race, de classe, de religion et d’âge, et que seul le dominé institutionnellement peut se reclamer du titre de victime de racisme et donc le racisme anti blanc n’existerait pas. Ainsi à les entendre, « sale noir » ce serait du racisme et « sale blanc » ce serait seulement un acte d’agression interpersonnelle car « Jamais les Blancs n’ont été visés en tant que groupe blanc par des politiques oppressives au profit de minorités non blanches et ce du seul fait de leur couleur. Jamais ils n’ont fait l’objet de théories raciales faisant d’eux des êtres inférieurs et se traduisant dans des pratiques institutionnelles. Certes des Blancs étrangers peuvent être exposés à la xénophobie, des Blancs ont été réduits à l’esclavage par le passé, des Blancs juifs ont vécu la tragédie du génocide et du racisme. Personne ne peut nier ces horreurs. Toutefois, elles n’ont jamais été justifiées du fait de leur couleur de peau blanche, les Juifs n’étant d’ailleurs pas considérés comme des Blancs dans l’idéologie nazie ». (Rokhaya Diallo – Regards : http://www.regards.fr/societe/article/pourquoi-le-racisme-anti-blancs-n-existe-pas) et elle précise même dans un tweet du 11-9-2019 : « ils/elles [les juifs] n’ont pas été exterminé.e.s en tant que groupe, ce n’est pas leur couleur de peau qui a motivé le génocide ». (voir le mot blanchir)Pourtant, à ce que j’en sais, le docteur Menguelé et ses complices ont bien mesuré des centaines de cranes sous tous les angles pour classifier et hiérarchiser des races soi disant inférieures, simiesques (tiens, on retrouve les singes et les porcs)
Sur France Inter en Aout 2019 Maboula Soumahoro balance cette formule d’un racisme exquis : « L’homme blanc ne peut pas, dans sa chair, dans son âme. incarner l’antiracisme. Non. Il ne peut pas être antiraciste. Jamais il n’aura raison contre une femme noire ou arabe. Il va bien falloir que la France le comprenne un jour. » Et le 14 nov 2019 elle ajoute, en répondant à Finkielkraut qui exprimait sa gratitude à la France pour tout ce qu’elle lui a donné : « Je n’ai aucune gratitude à exprimer à ce pays qui est le mien et que j’ai le droit de traiter comme je veux. (…) Votre monde se termine ! Vous pourrez paniquer tant que vous voudrez, c’est terminé! »
Racket : Activité professionnelle qui n’’a rien à voir avec le tennis, le ping pong, le squash ou la marche dans la neige. Le racket peut prendre plusieurs formes : chantage pour obtenir l’embauche des grands frères sur les chantiers, menaces diverses aux commerçants ne respectant pas les règles imposées par la police des mœurs, obtention d’aides sociales en tous genres payées par les koufars. C’est la version moderne de la razzia et de la djizia.
Réfugié : homme jeune et isolé qui fuit la guerre. Terme à employer de préférence au terme « migrant » (voir ce mot), c’est plus porteur. Paradoxalement le réfugié a vocation à revenir dans son pays alors que le migrant est destiné à s’installer durablement et à rester en prenant la nationalité d’accueil, mais cette subtilité sémantique a été perdue : par soucis d’humanité il serait bon de favoriser le grand rapatriement des réfugiés pour qu’ils puissent vivre et travailler dans leur pays. Une autre subtilité oubliée concerne la différence entre le colon et l’immigré : le colon emporte sa société dans ses bagages, avec l’intention bien arrêtée de l’implanter dans le territoire où il s’installe, alors que l’immigré se contente de rechercher une vie meilleure en quittant une société pour une autre, qu’il prend pour telle et à laquelle il cherche au minimum à s’adapter.
Réfugié palestinien : C’est l’empereur Hadrien qui, d’après le nom philistin, a renommé la Judée, le pays des juifs, en Palestine et Jérusalem en Aelia, et c’est bien en Palestine que sont nés les « enfants d’Israël » et c’est là que se trouve le tombeau de leurs patriarches, leur temple (malgré le négationnisme de l’UNESCO) et il n’y a pas eu d’entité politique reconnue du nom de Palestine avant 1974 (OLP admis comme observateur non membre à l’ONU), 1988 et 1993 (création de l’autorité palestinienne suite aux accords d’Oslo). Comme il n’y a pas de lettre « P » en arabe, il faudra trouver un autre nom pour la Palestine arabe éternelle lorsque Jérusalem sera judenfrei et siège du califat restauré.
La « nakba » (catastrophe) a eu lieu lors de la guerre de 1948/49 lorsque les états arabes ont incité les arabes à quitter temporairement la Palestine pour leur permettre de réaliser sans dommage collatéral l’épuration ethnique de cette zone, mais les armées arabes furent battues et ils sont restés maintenus depuis 70 ans par les pays Arabes dans des camps, maltraités, massacrés (17 septembre 1970) dépossédés de leurs droits fondamentaux. En raison du décret 1547 de la Ligue arabe de 1959, les Palestiniens ne sont pas autorisés à devenir citoyens d’un pays arabe, et leurs enfants ne reçoivent pas la nationalité du pays musulman où ils sont nés, en violation de l’article 7 de la Convention sur les droits de l’enfant des Nations Unies. Violations que l’ONU refuse de condamner. Contrairement aux autres réfugiés dans le monde, l’ONU a décidé que cette qualité se transmet à toute la descendance, ils sont donc de plus en plus nombreux et l’UNRWA touche de plus en plus de subsides internationaux. Les personnes ayant obtenu la citoyenneté jordanienne ou bénéficiant de la protection de leur pays d’accueil restent considérées comme « réfugiées » aux yeux de l’UNRWA.
Fin octobre 2015, par la décision 185 EX/15, l’UNESCO a classé le caveau des Patriarches et la tombe de Rachel comme sites musulmans et palestiniens, et exigé qu’Israël les retire de son patrimoine national. Puis elle a franchi un pas supplémentaire dans le négationnisme. Au mois d’avril 2016 le Conseil Exécutif, a dénié tout lien entre les juifs, le Mont du Temple et le mur Occidental. Cette résolution 199 EX/19 a été adoptée par 33 pays, dont la France.
Régularisation – mot trompeur – Acte par lequel le pouvoir politique rend légale une situation illégale et donne des droits à ceux dont il n’a pu empêcher l’entrée sur le territoire ou l’activité illégale, et dont il n’envisage pas le retour au pays. Cohn Bendit demande que « Comme on a régularisé tous les étrangers qui ont participé à la libération de la France, faisons la même chose pour les combattants de la France contre le virus ».
Repentance : mot sidérant. L’idéologie dominante se vautre dans la culpabilisation du passé national et le dénigrement de l’identité française et européenne aussi est-il naturel que les nouveaux arrivants ne veuillent pas s’y intégrer et finissent même par la haïr, poussés en cela par leur mentors « gauchistes » et leurs coachs des ONG « humanitaires ». (voir ces mots) L’antidote est disponible sur tous vos site web habituels de réinformation par exemple fier d’être européen. En un mot : nous n’avons pas à demander pardon pour des crimes que nous n’avons pas commis, à des gens qui ne les ont pas subis.
Réprobation, réprobation unanime, inacceptable : Mot sidérant – agitation verbale sans suite destinée à suggérer que celui qui tient des propos ou qui agit à contresens de l’idéologie dominante suscite la réprobation de la majorité du peuple français, alors qu’il ne suscite que celle de l’élite dirigeante.
(voir Polémique » )
Respect : Mot trompeur – les « jeunes » veulent qu’on leur témoigne du respect, c’est-à-dire qu’on baisse le regard, qu’on se soumette, sinon la communauté agissant en meute saura imposer ce « respect »
Rixe – fureur collective : Les médias utilisent ce mot pour camoufler un tabassage en règle d’un individu passant par là (Rom, vieillard, homme protégeant une jeune fille harcelée, …) par un groupe de « jeunes » pour un motif qui se révèle le plus souvent faux (regard de travers sur des enfants, fausse rumeur, …) Ainsi, on peut être déclaré mort par mauvaise rencontre, au mauvais endroit au mauvais moment, mort pour mauvais regard, mort par erreur, mort au hasard (le hasard est « déséquilibré »), mort pour une cigarette alors qu’à l’origine la cause de la l’agression est parce que « kouffard. »
Selon une étude : Expression usitée par les media « engagés » pour commenter un sondage en se basant sur leur propre opinion ou l’étude d’une commission théodule. En règle générale, la question posée est absurde et propose un faux choix binaire qui n’a pas de sens : Vous préférez être amputé d’un membre ou avoir un tatouage nazi. Mieux vaut il que les couples homos puissent adopter plutôt que de laisser des enfants à l’abandon et exploités par des filières pédophiles…, Faut il recueillir les migrants ou les laisser se noyer…
En général, ce genre de sondage est programmé avant les élections.
Sentiment d’insécurité : mot trompeur employé quand on veut minorer l’ampleur des délits ou des menaces pesant sur les personnes ou les biens et pour montrer que tout se passe dans une « ambiance bonne enfant », qu’il n’y a eu que 273 interpellations, 50 voitures brulées et 2 ou 3 morts. Exemple de fait de divers nourrissant ce sentiment d’insécurité : Suite à un geste d’énervement, il a donné deux coups de couteau en marge d’un rassemblement festif pour la projection d’un film coup de point émotionnel coorganisé par le PCF et la mosquée. On commence comme ça par un geste d’énervement et on finit par des incivilités ! Regardant les taux comparés d’incivilités sexuelles (les viols quoi) selon la nationalité d’origine, certains médisants disent même que l’accueil d’Afghans en France mènera inévitablement à une hausse du sentiment d’ensauvagement…
Signalement : système de délation largement encouragée par le pouvoir pour se débarrasser des opposants. Les minorités organisées signalent la « haine » et les gafas, des organismes privés étrangers, cloturent les comptes sans jugement ni recours, et ainsi finalement on ne peut plus parler d’immigration, d’islamisation, de covid, d’hydroxychloroquine, de vaccin, de fraude électorale américaine sans avoir son compte fermé. Le nouvel ordre mondial contrôle que tout ce qui est montré au bon peuple est conforme à sa pensée unique. C’est ainsi que se met en place le gouvernement mondial si cher à Attali.
Stéréotypes : L’élite dirigeante aime dénoncer les stéréotypes sexistes et ethniques que véhiculerait notre culture ; mais c’est pour imposer finalement ses propres stéréotypes par exemple dans le cinéma : valorisation de la femme dominante et libérée, valorisation de l’homme blanc homosexuel, dévalorisation du mariage, valorisation et publicité du métissage (voir ce qu’en dit Jean Messiha), , de l’homme de couleur tolérant et victime du méchant blanc raciste et borné, dévalorisation du prêtre pédophile, opposition entre le héros viril américain, et le méchant russe ou le méchant chinois, le gentil musulman et le méchant terroriste.
Stigmatiser : Mot sidérant – désigne le comportement consistant à condamner l’action d’une personne, appartenant à une communauté des minorités, ayant commis des délits.
(voir amalgame)
Survivre ensemble – mot tabou
Dans un manuel de survie en territoire hostile, j’ai trouvé cette checklist pour résister en France d’après :
– lunettes noires anti mauvais regard ✔
– chemise renforcée anti couteau fou ✔
– écharpe en kevlar anti allah akbar ✔
– masque anti covid + visière plastique anti vitriolage islamique ✔
– vêtements ignifugés ✔
– apprendre par cœur la fatiha, ca peut sauver la vie ✔
– » checker » mes privilèges de blanc de vivre dans ce cloaque ✔
Enfin, le plus important : exiger des lois pour repeindre les immeubles, élargir les trottoirs, les éclairer, construire des terrains de foot, implanter de force des commerces, répartir les clandestins jusque dans les moindres communes, agrandir les mosquées, donner des cours gratuits d’arabe pour mieux respecter la communauté, débaptiser les rues trop gauloises, abattre les statues des céfrancs, remplacer les livres d’histoire par des manuels de propagande, distribuer des protections periodiques aux jeunes filles et aux autres, forcer les blancs gens à re-emménager les quartiers, criminaliser les paroles et pensées déviantes sur internet et jusque dans les chiottes.
Synchrétisme islamo chrétien à l’horizon 2050
« Oyez oyez braves gens, dimanche à partir de 10h00 :
– Zlatan R. : pris sur le fait en train de voler des portefeuilles dans le métro : 25 coups de fouet devant l’église
– Azziz M : vols à l’étalage et vols à la roulote : amputation de la main droite par notre maitre bucheron
– Karim S : vente de produits stupéfiants : 150 coups de bâton
Dès la sortie de la messe, à midi, seront bénis par l’Abbé avant le supplice :
– Youssouf K : viol d’une lycéenne. Sera écorché vif. Ses cris iront comme louanges à Saint Michel et sa peau sera vendue aux enchères avant tannage par notre maitre tanneur (supplément à prévoir pour du nubuck)
– Mohamed M : 35ème arrestation dont 34 sous les gouvernements de Mitterand, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron. Sera brulé vif sur la place.
Les punitions seront suivies d’un repas festif : brochettes cuites sur les braises du châtiment de Mohamed, vin à volonté, fromage. 15€/personne, s’inscrire auprès de l’Office de Tourisme avant jeudi 18h00
Système : Mot tabou désignant la nouvelle répartition des pouvoirs intervenue au sein des sociétés occidentales depuis la chute de l’Union soviétique, entre les juges, les médias, les ONG, les faux experts et universitaires, et les grands capitaines d’industrie, les politiques mondialistes et immigrationnistes n’en étant que des marionnettes à l’insu de leur plein gré, sous le contrôle de ces lobbies qui ont leurs bureaux dans les bâtiments mêmes de pouvoir (ONU et Bruxelles) et qui y préparent les lois et amendements que les députés y proposent. L’objectif actuel de ce complexe industriel est de transformer en « homo consommaticus » les populations des pays pauvres, en en transférant certains dans les pays plus riches, pour y casser le marché du travail, alors que les populations de ces pays plus avancés sont moins dociles et manipulables et plus exigeants, pour les autres on transfère chez eux les unités de production. Ce nouveau citoyen, déraciné et aculturé est interchangeable car sans frontière, et apte à penser et surtout à consommer ce qu’on lui dira. Ce système se fout complétement des compétences des hommes de paille qu’il place aux apparences des pouvoirs. Ce qu’il prend en compte c’est leur servilité. Il met là un ivrogne, et ici un inculte. Demain il mettra une chèvre ou un androïde.
Takkia : Ce n’est pas le mot qui est trompeur, mais l’utilisateur du concept, ainsi Tareq Oubrou, l’immam qui parle à l’oreille des élites (voir ce mot) explique : «La sagesse exige de ne pas dire la vérité toujours et à tout le monde. Dieu lui-même n’a pas tout dit.» … «La vérité est comme un médicament, il y a une dose à ne pas dépasser. Une vérité peut tuer non seulement le corps, mais aussi l’âme.» … «Notre livre lui-même s’est imposé cette éthique : ne pas tout dire, de peur d’être mal compris ou de blesser. La sagesse le commande, même si je risque, déjà, d’en trop dire.» … «Nous évitons d’être trop précis, trop carrés et trop frontaux, plus que ne l’exige le problème.» No comment.
Tradition culturelle : Concept trompeur et banalisant utilisé par les médias, allant de l’incendie de voitures dans la nuit du 1er de l’an, à l’incendie d’un centre d’accueil lorsque les migrants le quittent, au crime d’honneur pour restaurer l’honneur perdu d’une famille par la faute de ses filles. Il n’y a rien de culturel la dedans, quant à parler de « tradition » c’est du foutage de gueule caractérisé. En fait les journalistes font par ce moyen un testing de jusqu’où ils peuvent dire n’importe quoi, ce qui mesure le niveau de lobotomisation des esprits auquel ils sont parvenus : s’il y a beaucoup de réactions des auditeurs, ils ont mal fait leur travail, s’il y en a peu c’est qu’ils ont bien fait et ils ont une prime. Je ne vois pas d’autre explication logique.
Terroriste : mot trompeur passe partout pour éviter de qualifier précisément un djihadiste et laisser planer le doute sur ses motivations réelles.
(voir déséquilibré)
Testing : Mot trompeur – procédé par lequel les associations dites « antiracistes » s’efforcent de démontrer que des discriminations ont lieu et sont le fait des Français autochtones ; le testing est désormais reconnu au rang de preuve par la HALDE. Ce sont des provocations visant à détruire les dernières défenses de la société. Aucun testing n’est organisé dans les banlieues dites « sensibles ».
(voir provocation)
Théorie du genre : la « théorie du genre existe bien et participe à une idéologie qui a trouvé son application dans le mariage pour tous, la suppression de la notion de père et mère du code civil et des formulaires administratifs, les ABCD de l’égalité, les livres éducatifs de la ligne azur « pour se construire comme fille ou garçon » : « papa porte une robe », « toto a deux mamans », « Zazie a-t-elle un zizi », le film Tomboy, l’utilisation des toilettes femmes par les hommes, les femmes qui pissent debout, la distribution de protections périodiques dans les toilettes pour hommes, les sportifs transgenres se sentant femme qui concourent avec les femmes, la parité homme-femme, la PMA pour toutes, la GPA pour tous, l’écriture inclusive, la féminisation de tous les noms de métiers, la banalisation et la promotion du changement de sexe (eurovision, …) Le progrès, c’est passer de 2 genres (XX et XY) et 10 races à 100 genres et 1 seule race, et on va vers le Progrès à fond les ballons : Joe Biden, au 1er jour de son investiture, signe un décret permettant aux étudiants nés hommes mais qui se sentent femmes de concourir avec les femmes. De même que les byzantins discutaient du sexe des anges pendant que les armées arabes les attaquaient, nous nous torturons le ciboulot avec des âneries monstrueuses de genre (ne manquez pas de voir https://twitter.com/i/status/1176160831379247107 et https://youtu.be/YaSAY9TYOks) pendant que des islamistes perpétuent des attentats. Le planning familial a établit son propre dictionnaire des mots LGBTQ autorisés et des mots tabous (Lexique trans.pdf (planning-familial.org) évidemment mâle, femelle, masculin, féminin sont tabous.
« La problématique de la mixité dans l’espace public » et l’ « intégration du genre dans l’espace public » est étudié par toutes nos institutions (sénat, …) Voilà où en est notre pays : que des femmes circulent librement dans la rue est devenu un problème. C’est la douceur de vivre californienne
Transhumanisme – mot marqueur : La civilisation occidentale a remplacé dieu par la science, et, maitrisant un peu plus chaque jour toutes les lois de la nature, elle prétend maintenant prendre la place du créateur. Ainsi les transhumanistes cherchent à augmenter les capacités humaines, entre autre par manipulation génétiques et implantation de puces électroniques gavées d’intelligence artificielle, ils sont même convaincus de parvenir à supprimer le vieillissement et la mort. (voir le débat « fin du sacré, fin de la civilisation ? » de Michel Onfray et Patrick Buisson : https://youtu.be/AyOfrdYvlAo) C’est le thème du livre d’Aldous Huxley : « le meilleur des mondes ».
Trouple : nouveau mot, marqueur de la décadence de la civilisation occidentale – mot désignant, hors mariage, un ménage à trois.
Marlène Schiappa parlant de la polygamie : «Il y a toujours des gens pour me dire : « oh la la, vous voulez interdire l’infidélité, vous allez interdire les trouples, vous allez interdire les plans à trois » […] Je vais rassurer tout le monde, on ne va pas interdire les plans à trois, on ne va pas interdire l’infidélité, on ne va pas interdire les trouples, on ne va pas interdire le polyamour […] la France est un pays de libertinage. Mais quand on contracte un mariage on a un certain nombre de droits : famille, héritage, filiation » ( https://francais.rt.com/france/81738-on-ne-va-pas-interdire-plans-a-trois-schiappa-rassure-francais-libertinage)
Union nationale : mot trompeur – arlésienne gouvernementale toujours attendue, jamais arrivée. C’est beau, mais sans l’opposition, Faudrait quand même pas que le rassemblement national ou la France insoumise s’imaginent avoir le droit à être écoutés.(voir démocratie)
Valeurs : Mot marqueur qui cherche à faire croire qu’il serait illicite de contester l’idéologie qui s’en réclame.
« valeurs républicaines ». Il s’agit sans doute de la laïcité, de la liberté, de l’égalité, de la fraternité ? Ces valeurs invoquées à tout bout de champ, étaient au départ fortement liée au concept d’assimilation à l’État national, puis sont devenues synonymes, par glissements successifs, de « droits de l’individu » . Pour Rousseau il n’était pas question de valeurs mais de vertu. Ces valeurs sont relatives à une communauté et n’obligent à rien de précis alors que là où il y a vertu il y a impératif catégorique. Et il faut bien admettre qu’il y eut d’autres valeurs en France avant celles de la République. Un peuple peut changer de valeurs sans cesser d’être lui-même. Ce qui constitue le peuple français ce ne sont pas des valeurs, mais des mœurs, des traditions et une langue qui constituent une identité relevant à la fois de l’anthropologie de l’histoire et de la culture. Et si la question de l’islam se pose, c’est justement parce qu’il provoque une rupture dans les mœurs. Aujourd’hui, les « valeurs de la république », c’est la propagande massive sans contradiction pour les droits LGBT, le féminisme, l’immigration, le multiculturalisme, l’indigénisme racialiste, la cancel culture, l’écologie : c’est l’idéologie diversitaire des minorités déracinées et mondialisées visant à détruire l’identité des nations.
« valeurs universelles » : Des vertus peuvent prétendre à l’universel, par exemple le courage ou l’intégrité. Mais en quoi les droits de l’homme, la parité des sexes ou la laïcité seraient-elles des « valeurs universelles » ? elles ne sont fondamentales que pour les « occidentaux » Comment prouver la supériorité de ces valeurs laïques sur celles d’une tradition religieuse qui en conteste le fondement ?
Vérité et mensonge : Dans le domaine scientifique la vérité se prouve, dans le domaine théologique elle se révèle à travers la foi, mais quel est son sens dans le monde politique ? D’autant que l’éducation « nationale » a bien ancré l’idée que toute vérité est bonne à être mise en doute et les médias démontrent chaque jour qu’un mensonge bien présenté est plus efficace qu’une vérité mal dite. (voir les bananes bleues)
Depuis que s’impose le programme de rééducation multiculturaliste on nous apprend les niaiseries communautaristes comme quoi « l’islamisme n’a rien à voir avec l’islam » et comme quoi « l’islam est une religion d’amour, de tolérance et de paix ». On nous raconte aussi que « Charles Martel a écrasé dans l’œuf l’islam des lumières » (L’islam des lumières mais sans les fils électriques, ni l’interrupteur ni l’ampoule pour éclairer l’humanité). On nous répète ad nauseam que « ce sont les immigrés qui ont fait la France » et on se flagelle à propos des croisades, de l’esclavage, de la colonisation. On nous apprend enfin que « l’Islam fait partie de l’Europe depuis 2000 ans » (Frans Timmermans, vice président de l’UE), depuis 3000 ans disait le grand historien Jamel Debouze (la fourchette s’affine) et c’est tellement une religion européenne, qu’il faut faire venir et ceux qui prêchent et ceux qui écoutent. On nous expliquera bientôt que « la terre est plate » ah ils l’ont déjà dit ? Alors vous reprendrez bien un verre d’urine de chameau pour arroser ca.
Victime : De la petite vietnamienne brulée au napalm au petit Aylan noyé sur une plage turque en passant par Mohamed al dura, le petit palestinien mort dans les bras de son père, aux gamins qu’on amène en première ligne devant les caméras, syriens à la frontière grecque ou gazaouis devant tsahal, la ficelle est grosse mais marche à tous les coups. C’est une experte, mainte fois agressée par les nervis fascistes, qui en parle le mieux : « Nous vivons dans une société post-héroïque. Ce n’est plus le courage et la virilité (et c’est tant mieux) qui permet d’exister publiquement, mais le fait d’être victime. Chaque jour, un groupe, une minorité, un individu érigé en représentant d’une cause, exige, menace, et fait plier ». (Caroline Fourest 2020).
Violences : Néologisme trompeur ; s’écrit en général au pluriel et est souvent associé à un qualificatif (« violences urbaines », « violences conjugales ») ; sert à masquer l’identité des responsables de ces agissements en présentant les faits incriminés comme des sortes de fatalités sociologiques ; « violence routière » : terme inventé pour diluer les statistiques de l’insécurité en mélangeant contraventions, crimes et délits.
Violence légitime
Après le cours sur l’islamophobie par Henri Pena Ruiz, le cours sur le racisme anti blanc par Rockaya Diallo, aujourd’hui on a un cours sur la violence légitime, avec 3 options en plus du tronc commun « violences policières », dont les TD ont lieu le samedi :
– les décrocheurs de tableaux, absous par la reconnaissance de l’état de nécessité qui implique de trouver d’autres modes de revendication que le vote dans le cadre d’un devoir de vigilance critique.
– les incendiaires de hangars d’élevage et les agresseurs de boucherie, absous car lanceurs d’alerte, comme les antifas, les zadistes et les black blocs (qui eux n’ont jamais été poursuivis)
– la résistance au pouvoir réactionnaire, absous par principe, dans le bruit et la fureur, le tumulte et le fracas.
– révisez vos TD sur les faucheurs d’OGM, sur les saboteurs de ligne SNCF (Tarnac) et sur les bateaux d’ONG passeurs de migrants depuis la cote libyenne
Pensez à ramener votre mémoire sur les LBD et vos tracts sur la police en deux exemplaires pour la commission.
Comme elle a livré l’enseignement aux communistes après la guerre, la France a visiblement confié la justice aux gauchistes et la paille des cachots aux patriotes.
Laissons à Hapsatou Sy le mot de la fin, le 11 mai 2020, à l’occasion de l’agression d’Eric Zemmour, elle donne la justification théorique à la violence : « On ne peut pas reprocher à quelqu’un qui n’a pas les mêmes moyens intellectuels qu’un autre d’user d’autre chose … » besoin d’un décodeur indigeniste ? voila : « J’ai pas l’intelligence pour argumenter, donc je peux insulter, voler, violer, tabasser, … tuer », et continuons ce raisonnement qui s’avère réflexif, imparable : « je l’ai frappé car il était trop con pour comprendre ». Quant à elle son délire continue : comme il n’y a pas eu contact ni coup mais seulement injures, doit-on considérer la personne comme vraiment blessée ? la question se pose alors pour les propos de Mila envers l’islam (et non les musulmans) ou de Julien Odoul demandant au président de l’assemblée régionale (et pas à la femme voilée) de faire respecter l’interdiction des signes ostentatoires dans l’enceinte ? Amalgame et deux poids deux mesures sont les deux mamelles de l’activisme.
Visibilité : mot marqueur – Le temps de la culture des dominants cherchant à invisibiliser les minorités est révolue, il ne s’agit même plus de reconnaitre les identités diverses, maintenant elles exigent de la visibilité, elles exigent d’investir l’espace public, non pas par le mérite de leurs actions mais parceque c’est un dû. La vieille vertu de la discrétion, rendant possible la vie en commun, en amortissant le choc de l’altérité, fait place à l’impolitesse, au pousse toi de là que je m’y mette, et c’est un aspect du grand remplacement.
Vivre ensemble : mot marqueur – L’idée de communauté suppose que ceux qui en font partie éprouvent entre eux un lien ou une relation particulière. Pour qu’il y ait du « vivre ensemble », il faut des affinités et des représentations communes, des souvenirs à partager, des fidélités à entretenir et aussi un sentiment de ressemblance. Sinon on ne vit pas ensemble mais à côté voire face à face comme disait quelqu’un généralement bien renseigné. Pour se montrer tolérant, il est nécessaire de pouvoir croire sincèrement à un autrui qui applique le même principe d’égalité et de solidarité pour un partage convivial. Mais quand des communautés que rien ne lient ne cachent plus leur hostilité réciproque et règlent leurs comptes selon leurs coutumes ancestrales, que devient le «vivre ensemble» angélique présenté comme un modèle d’intégration républicaine auquel devraient surtout se plier les autochtones? Les victimes quotidiennes du sentiment d’ensauvagement évoqué par un ministre inapte (de son propre aveu) auraient sans doute aimé pouvoir choisir entre vivre ensemble, déménager ou mourir.
Heureusement on a appris récemment toute une série de mots nouveaux sympas et inclusifs : hijab, tchador, niqab, burqa, burqini, djihad, razzia, kouffar, djihadiste, moudjahid, salafiste, wahabiste, califat, oumma, charia, fatwa, dhimmi, …(voir Amélie Chelly, Dictionnaire des islamismes ) sans oublier la formule magique à proférer pendant l’égorgement : Allahu akbar : tout un festival d’amour, de tolérance, de paix et de vivre ensemble. Et c’est pourquoi Orban a déclaré le 30 10 2020 : « Les Hongrois ont vécu 150 ans avec les musulmans, ils les connaissent. C’est pourquoi, malgré les pressions de Bruxelles, la Hongrie ne veut plus permettre l’entrée de musulmans ou de migrants. (…) si un pays les laisse entrer, il doit apprendre à vivre avec eux et leur religion. C’est pourquoi, malgré les pressions de Bruxelles, la Hongrie ne veut plus permettre l’entrée de musulmans ou de migrants. (…) L’avenir des Africains est en Afrique. Nous les aidons à faire tout ce que nous pouvons pour les aider à vivre mieux dans leur pays, mais nous ne les soutenons pas à venir en Hongrie. »
Vladimir : prénom trompeur donné pendant un certain temps aux délinquants pour masquer leur identité réelle. Le procédé est maintenant éventé et on dit « né à » Lyon, Marseille, … signe que le grand remplacement est bien avancé et que ce n’est ni une théorie ni un complot mais un simple processus démographique, reconnu par l’ONU sous la dénomination de « migration de remplacement » (https://www.un.org/en/development/desa/population/publications/pdf/ageing/replacement-es-fr.pdf) et facilement vérifiable en consultant simplement les registres dans les maternités, les mairies, les écoles, et même des prisons (voir ce mot) et c’est bien une chance pour ceux qui haïssent la France. Et voila comment ce remplacement fonctionne : dans les territoires perdus de la république, c’est-à-dire dans les quartiers populaires qui s’ensauvagent, le français autochtone finit par se sentir étranger et menacé et est obligé de déménager en zone préservée, mais pas pour longtemps, car les activistes immigrationistes travaillent à sa perte : Ils vont chercher des migrants et les aident à quitter leurs pays, dont la démographie est galopante, et alors ces prétendues Chances Pour la France, coachés par ces activistes, déconstructeurs de la nation, exigent des changements de la loi pour obtenir des accommodements en faveur des coutumes de leurs pays d’origine, qu’ils entendent bien perpétuer ici, et finissent par nous traiter de sales blancs. Ces activistes gauchistes, dans l’opposition, viennent alors sur les plateaux télé expliquer qu’on les met dans des ghettos, que la police les surveille abusivement, ce qui, d’après eux, justifierait les « incivilités », c’est-à-dire les vols, tabassages, pillages, viols, assassinats, … dont quelqu’un de bonne foi ne peut aujourd’hui que constater avec effarement l’augmentation vertigineuse et la brutalité. Les gauchistes au pouvoir répartissent alors ces migrants dans d’autres villes, et le cercle vicieux recommence : certains disent que la France se « créolise » et d’autres qu’elle s’ « ensauvage ». Mais ce ne sont que des mots trompeurs utilisés pour masquer et les conséquences du basculement démographique lié au grand remplacement et l’inaction complice des politiques.
Wokisme – mot marqueur, voir cancel culture
Le but est, en portant haut « les valeurs du progrès », de ne déplaire à aucune minorité, de ménager son auditoire, de ne pas choquer, de ne pas heurter, de ne pas déranger, de ne pas se rendre impopulaire, en évitant d’être offensant pour quiconque. Ceux qui ne respectent pas ces règles sont exclus du monde social. « La tolérance atteindra un tel niveau qu’on interdira aux personnes intelligentes de penser pour ne pas offenser les imbéciles », prévenait Dostoïevski
«Certains, dans les pays occidentaux, sont sûrs que l’effacement agressif de pages entières de leur propre histoire, la discrimination inversée de la majorité dans l’intérêt des minorités ou la demande d’abandonner la compréhension habituelle de ce que sont des choses aussi fondamentales que la mère, le père, la famille ou même les différences entre les sexes, constituent, selon eux, les jalons du mouvement vers un renouveau social.
« Dans un certain nombre de pays occidentaux, le débat sur les droits des hommes et des femmes s’est transformé en une parfaite fantasmagorie. Ceux qui se risquent à dire que les hommes et les femmes existent toujours et que c’est un fait biologique sont presque ostracisés. “Parent numéro un” et “parent numéro deux”, “parent qui a donné naissance” au lieu de “maman”, l’interdiction d’utiliser l’expression “lait maternel” et son remplacement par “lait humain” – afin que les personnes incertaines de leur propre identité sexuelle ne soient pas contrariées. »
« Suggérer à un garçon qu’il peut facilement devenir une fille et inversement, ceci est déjà à la limite du crime contre l’humanité et tout ça au nom et sous la bannière du progrès. » (Vladimir Poutine, 21 octobre 2021)
Wokiste pressé et wokiste sournois
Le wokiste sournois est pour le progrès, l’ouverture aux autres, l’amitié entre les peuples, il défend les « valeurs de la république », dont la laïcité, qui serait contre ca ? et s’il y a des soucis, il va faire remonter les problèmes et agira, s’il y a lieu, comme si le rapport Obin d’il y a 30 ans et mult autres rapports et témoignages ne l’avaient pas déjà fait.
Le wokiste pressé s’affiche ouvertement : pour lui, la police tue, le voile et le burkini sont des instruments de libération de la femme et les frontières sont nauséabondes et doivent être ouvertes aux migrants qui fuient la guerre et le réchauffement climatique. Il est pour l’universalité, la fin des nations et l’éradication des particularismes car la différence le gène, elle risque de heurter. Il veut imposer aux blancs une humiliation réparatrice pour leur faire reconnaitre leur privilège de blanc et compenser le racisme institutionnel, source de génocide. Pour arriver à ses fins, il instrumentalise les minorités, devant qui il met genoux à terre, pour qu’elles se présentent en victime des hommes, des blancs, des hétéros, des islamophobes.
Pour résumer, le wokiste sournois déroule le tapis rouge et se positionne en marchepied du wokiste pressé.
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