Guerre de razzias

La guerre des razzias

Jérusalem ayant été prise non pas par Mohamed mais par ses successeurs immédiats, ceux ci adaptent les textes pour justifier la continuation de la conquête car :

La terre appartient à dieu. Il en fait hériter qui il veut parmi ses créatures, et le résultat appartient aux pieux (7 :128). Allah a donné le monde à la meilleure communauté, qui ordonne le convenable et interdit le blammable (3 :110). Il est donc légitime d’en chasser les mécréants qui l’occupent abusivement : Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité. (9 :29  ) Et combattez-les jusqu’à ce que la religion soit entièrement à Allah seul (2 :190)  Voila ce qui anime les croyants partant au djihad.

Samuel Huntington explique dans «  Le choc des civilisations » que « les frontières de l’Islam sont sanglantes » : « Partout où l’on regarde dans le périmètre de l’Islam, les musulmans ont des problèmes pour vivre en paix avec leurs voisins. La question se pose naturellement de savoir si ce schéma de conflit de la fin du XXe siècle entre groupes musulmans et non musulmans est également vrai pour les relations entre groupes d’autres civilisations. En fait, ce n’est pas le cas. Les musulmans représentent environ un cinquième de la population mondiale, mais dans les années 1990, ils ont été beaucoup plus impliqués dans la violence entre groupes que les habitants de toute autre civilisation. Les preuves sont accablantes ». Et en effet on constate que 85 % à 90 % des crises chaudes en cours sur la planète impliquent des musulmans aux prises soit avec eux-mêmes, soit avec des hindouistes, des bouddhistes, des confucianistes, des communistes, des juifs, des chrétiens…

L’historien antique Ibn Khaldoun explique que les sociétés sédentaires s’organisent, travaillent, s’enrichissent, instaurent l’impôt, se pacifient et font appel, ou payent un tribu, à des défenseurs nomadisant aux frontières, qui ne paient pas l’impôt, font des razzia et finissent par les envahir.

Ibn Hudayl de Grenade a expliqué la logique de ces luttes à partir des forteresses frontalières (ribat) : « Il est permis de mettre le feu aux terres de l’ennemi, à ses réserves de céréales, à ses bêtes de somme – si les musulmans ne peuvent en prendre possession – ainsi que de couper ses arbres, de raser ses villes, en un mot, de faire tout ce qui peut le ruiner et le décourager, à condition que l’imam juge ces mesures appropriées, propres à hâter l’islamisation de cet ennemi ou à l’affaiblir. En effet, tout cela contribue à faire triompher l’armée sur lui ou à le forcer à capituler ».

Les attaquants islamiques pillent et incendient les villages, détruisent les récoltes, coupent les arbres fruitiers, déportent les hommes et les femmes vendables comme esclaves et massacrent les autres… Une fois suffisamment affaibli, le pays est alors envahi ; et le nettoyage ethnique peut commencer. Cette guerre de razzia, de pillage systémique, a été la méthode universelle d’expansion de l’Islam. Ainsi Abû Bakr, le premier successeur de Mahomet, a-t-il ordonné à Abû Ubayda, le général chargé de conquérir le Nord de la Palestine, de ne pas attaquer les villes, faute de posséder les équipements de siège requis, mais de méthodiquement piller et détruire les campagnes. Toute la région sud de la Palestine fut dévastée, les paysans chrétiens et juifs massacrés, les villes isolées par des bandes musulmanes dont « le glaive féroce, barbare et plein de sang» interdisait toute sortie. L’invasion a suivi l’affaiblissement ; et le nettoyage ethnique a suivi l’invasion. (Jean Jacques Walter – les 2 islams)

Ainsi aujourd’hui comme hier des groupes de migrants sont envoyés semer la confusion en avant-garde de ces conquérants voulant introduire la charria, y soumettre les populations mécréantes et, à terme, les forcer à la conversion et les épurer. ([10])

Et quiconque émigre dans le sentier d’Allah trouvera sur terre maints refuges et abondance (4:100) car la terre appartient aux pieux serviteurs d’Allah  (7:128, 19:40, 21:105) Après l’émigration des juifs de Jérusalem vers la Syrie, puis celle des musulmans de la ville sainte (la Mecque, Pétra ou Jérusalem, selon la théorie historique qu’on accepte)  vers Médine, voici la 3ème émigration (hijra) pour partir à la conquête du monde sur le sentier d’Allah.

La mondialisation place, par principe, les nations sans politique de contrôle de l’immigration (voir notre page mondialisation et immigration) En décembre 2018, le pacte suicidaire de Marrakech officialise et organise le « grand remplacement », qui n‘est ni une théorie ni un complot mais un fait démographique reconnu par l’ONU sous la dénomination de « migration de remplacement » (voir https://www.un.org/en/development/desa/population/publications/ageing/replacement-migration.asp) et  ce fait facilement vérifiable résulte du choix des élites et de la naïveté de ceux qui les ont élus et réélus. Il suffit pour constater ce « grand remplacement » ou ce « génocide par substitution » (comme disait Aimé Cesaire et Christiane Taubira en parlant d’autres colonisations) il suffit donc de comparer des photos de classe sur plusieurs décennies ou de consulter les naissances en mairie [([12]). Le pacte de Marrakech est un véritable manuel orwellien à l’usage des artisans de cette razzia mondiale. Ce pacte proclame en de multiples articles l’ « engagement » de penser pour nous un monde nouveau. Dans ce monde nous serons dispensé de penser et même de ressentir et de pouvoir exprimer ce ressenti, car ces engagements précisent les moyens à mettre en œuvre, moyens dont on voit chaque jour la mise en place effective : censure de l’information (reformatage des esprits (préambule 10,17,article 15j,33f), financement orienté (article 17, 33c), constitution des plateaux des intervenants sur les médias, biaisage des moteurs de recherche sur internet, fermeture des comptes des opposants), délation (article 33g), judiciarisation des opposants, communautarisme (article 15a,34h,36), protection sociale universelle (article 20f, 21g, 23i, 32i,objectif 22), tout cela pour en fait abolir les frontières et favoriser l’immigration massive au nom de l’égalité des droits de l’homme (article 15a) avec comme objectif final la fabrication de matière humaine indifférenciée, homogène. Et, cerise sur le gâteau, le tout est fait en remplaçant « l’égalité homme/femme » par « la problématique homme/femme ». C’est d’ailleurs ce que préconisait Peter Sutherland, représentant spécial de l’ONU pour les migrations lors d’un forum mondial sur la migration et le développement :  » L’UE devrait « faire tout son possible pour saper l’homogénéité » de ses États membres car la prospérité future des États dépendra, selon lui, de leur ouverture internationale.Curieusement, rien n’est prévu pour demander aux pays d’origine de mieux respecter les droits de l’homme (objectif 21). (voir https://ripostelaique.com/jai-decortique-le-pacte-de-marrakech-cest-encore-pire-que-prevu.html)  bien au contraire, la CEDH reconnait le blasphème en confirmant en octobre 2018 la condamnation d’une autrichienne pour blasphème de Mahomet, et  oubliant qu’elle a jugée en 2001 et 2003 la charia incompatible avec la déclaration des droits de l’homme, tout en déboutant des  musulmans demandant à hériter de leur frère défunt aux dépens de sa veuve, la cour, au lieu de faire référence au jugement de 2003, déclare dans un inattendu commentaire en décembre 2018 qu’un état « peut créer un cadre juridique déterminé pour accorder aux communautés religieuses un statut spécial impliquant des privilèges particuliers » fournissant ainsi une justification aux demandes d’accommodements pour l’application de la charia sous condition de consentement mutuel, éclairé et réfléchi ou non. Autrement dit la cour invite ainsi à la constitution d’une forme de justice parallèle, communautariste, qui aurait raison, par rapport à la justice institutionnelle des pays membres. Porte ouverte donc désormais à la submersion migratoire, aux tribunaux islamiques  et à l’islamisation. La razzia moderne consistant à profiter au mieux et sans contrepartie de droits donnés sans cotisation préalable. Le conseil européen finira surement par reconnaitre la compatibilité de la déclaration des droits de l’homme de l’ONU et celle du Caire, des pays de l’OCI, dont tous les articles se réfèrent à la charria. (voir notre page les phases du djihad)

Pendant ces opérations de razzias, la nécessité pour les membres de la communauté de porter des signes de reconnaissance ostensibles est évidente, pour les hommes comme pour les femmes.

            Une sourate entière, nommée « le butin », est consacrée à inciter les croyants à la haine du non croyant (8 :12,7,37,73), à les encourager à partir en guerre sans faire ni quartier ni prisonnier (8 :15,17,39,57,58,65,67) et à la gestion du butin de ces razzias (8 :41,68,69) . Curieuse préoccupation pour le fondateur d’une religion d’amour, de tolérance et de paix. Les savants de l’islam ont formalisé la répartition de ces richesses, hommes, femmes et enfants : faut-il les tuer tous ou en conserver certains pour profiter de leur travail et de leurs impôts ? ([9])  Remarquons au passage que cette sourate et la suivante sont les dernières révélées et donc, de par le principe des versets plus récents abrogeant les plus anciens, elles abrogent tout ce qu’on pourrait trouver de relatif à l’amour, la tolérance ou la paix dans le coran.

Dans sa lettre synodale d’élection en 634, Sophronios, le patriarche de Jérusalem ([1]) écrit : Que dieu accorde à nos empereurs des sceptres robustes et puissants afin qu’ils brisent l’orgueil de tous les barbares, et  surtout des saracènes qui, à cause de nos péchés, se sont dressés soudainement contre nous et se livrent à un pillage total avec cruauté et sauvagerie.

Al Waqidi, écrivant beaucoup plus tard (745-822), donne ces détails : Il [Usâma] lança l’attaque. Aucun chien n’avait aboyé, personne n’avait bougé et ne s’était aperçu de rien avant de voir les assaillants fondre sur eux aux cris de : « O toi qui est assisté (par dieu), donne la mort ! » Il tua tous ceux qui lui apparaissaient, il fit captifs tous ceux qu’il pouvait capturer ; il brûla au feu leurs groupement, incendiant leurs maisons, leurs cultures et leurs palmiers, dont s’élevèrent des nuages de fumée ; et il fit galoper les cavaliers dans les enclos et les pourtours de leurs demeures. Ils arrêtèrent là leurs poursuites. S’emparant de tout ce qui était à leur portée, ils passèrent ce jour-là à mettre en ordre tout le butin qu’ils avaient fait ». (cité également par A.L. de Prémare dans les fondations de l’islam)

Après les razzias qui déciment la population rurale, contrainte de se réfugier dans les villes, la conquête se continue par le jihad, dont le but est le partage du butin (terres, biens, vaincus) et se termine, au choix de l’Imam, par l’extermination, le partage comme esclaves ([2]) entre les combattants, la conversion forcée ou la soumission à un tribut dont le versement est garanti par le statut de dhimmi (ce qui permet par leurs impôts d’alimenter la communauté musulmane). L’islamisation  consiste enfin à transférer à la communauté musulmane, l’oumma, tous les leviers de commande dont ces peuples disposaient sur l’économie, les techniques, …  Dans un premier temps l’administration du pays conquis est laissé aux élites indigènes, y compris la perception des recettes, puis, au fur et à mesure de l’établissement colonisateur des tribus arabes nomades, la fonction des dhimmis est limitée à l’entretien de la communauté musulmane. En plus de l’impôt il faut compter la pratique du devshirme, qui consiste à prélever régulièrement un cinquième des enfants des dhimmis pour les enrégimenter dans le corps des janissaires.

L’état garantissant la protection des dhimmis entre alors en conflit avec des clans nomades rebelles ou incontrôlables, qui lancent à leur tour des raids. En résumé, le Coran codifie la guerre tribale, la « ghazwa », que nous avons transcrit en « razzia », et élève les luttes tribales et la cupidité au rang de vertus religieuses suprêmes, sous le nom de jihad. ([3]).

Se succèdent donc des dynasties concurrentes, se remplaçant par vagues successives, les plus conquérantes se proclamant califat après avoir soumis une plus ou moins grande partie du monde musulman. Ces dynasties prennent leurs sources dans les peuples nouvellement convertis (Perse, Mamelouks) ou des envahisseurs,  convertis également (mongols, turcs). Elles se réclament alternativement du sunnisme ou du chiisme, et souvent d’une réformation idéologique et s’accompagnent alors d’un retour au rigorisme (almohades, seldjoukides, wahabites, frères musulmans, …). Voir le rapport de l’institut Montaigne sur la fabrique de l’islamisme, analysant l’histoire de ces différents courants.

Les premiers successeurs de Mohamed forment la dynastie des omeyades avec Damas comme capitale en 661. Ils constituent les armées qui prennent la Palestine en 637, Jérusalem en 638, la Syrie ([4]), l’Irak, l’Iran, puis, en une centaine d’années seulement, grâce à leur idéologie particulièrement efficace, et grâce aussi aux schismes inter religieux (catholiques, orthodoxes, monophysites, nestoriens, juifs), ils vont soumettre successivement tous leurs voisins : l’Egypte, Carthage (698), Tanger. L’Afrique du nord est totalement conquise en 711, malgré la résistance berbère ([5]). Vers le nord, l’empire byzantin résiste (échec au siège de Constantinople en 718). Parallèlement sont conquis la Perse, le Kirghistan, l’Asie centrale et l’Inde (sur 7 siècles, 80 millions d’hindous sont tués dans ce qui constitue le plus grand génocide de l’histoire ([6])), les chinois stoppant l’expansion vers l’est. Commence alors le débarquement en Espagne.  En 714, Narbonne est prise et sert de base de départ vers Nimes, Toulouse, Sens, Bordeaux. En 732, Charles Martel arrête l’invasion à Poitiers ([7]). Le royaume chrétien s’établit au nord de l’Espagne et entame sa longue libération, qui durera jusqu’en 1492. C’est l’âge d’or andalous, mais les non musulmans y vivent sous le statut de dhimmis ([8]) : l’évêque de Cordoue, Euloge, qui voulait s’opposer aux conversions forcées, est exécuté en 859, par les omeyades, donc pendant la période que certains appellent l’islam des lumières. En 1148 la famille juive du jeune Maïmonide (1138-1204) fuit Cordoue vers Fés, la Palestine, le Caire car on veut les forcer à la conversion à l’Islam. Averoes (1126-1198), philosophe et médecin, commentateur d’Aristote, est exilé dans une petite ville puis au Maroc, ses livres condamnés à être brulés. Avicenne également fuit l’Espagne, car ses travaux philosophiques (dont le Tahaful al tahaful, « Contradiction de la contradiction ») déplaît aux autorités religieuses (dont Ibn Gazhali). Remi Brague disait que la mythification du passé sert de compensation à des peuples dont la situation présente est peu brillante.

En 750 les califes omeyades sont renversés par les abassides (chiites, de la famille de Mohamed). La ville de Bagdad est crée ex nihilo en 762 pour y établir la capitale avec l’étendard noir.

Suite : La fixation du dogme

[1] Jérusalem était alors appelée Aelia, en grec, liliya en arabe, du nom de l’empereur romain Aelius Hadrien

[2] Ce qui est également prévu dans le deutéronome (21 :11-13), y compris pour les femmes.

[3] Bat Ye’or, dans les chrétientés d’orient, donne à propos de ce mécanisme de conquête de très nombreuses références sur les chroniques juives, chrétiennes et islamiques. Des événements récents montrent que ces pratiques perdurent, voir http://www.dreuz.info/2013/07/souffrance-des-chretiens-sous-le-joug-jihadiste/

[4] Où ils retrouvent donc, selon les commentateurs musulmans eux-mêmes, des autochtones déjà musulmans ! Ils sont appelés en grec « moagaritai » et en araméen « maggrayé » et se nomment eux-mêmes « muminin » (croyants/affidés).

[5] Sur le détail de l’islamisation de l’Afrique, voir : http://www.mission.catholique.fr/IMG/doc/islamisation_Afrique_SMM_2009.doc

[6] Voir les sites http://www.jaia-bharati.org/histoire/ind-victim-islam.htm ainsi que http://fr.wikipedia.org/wiki/Conqu%C3%AAtes_musulmanes_des_Indes et aussi http://www.dreuz.info/2013/03/hindi-kouch-ou-le-negationnisme-du-genocide-de-80-millions-dindiens-par-lislam/ et encore http://www.jaia-bharati.org/livres/autre-regard/autre-reg-chap7.htm et enfin http://www.observatoiredesreligions.fr/spip.php?article320

[7] Voir http://histoire.fdesouche.com/15-la-fin-de-la-presence-musulmane-en-gaule-732-759#more-15

[8] Le nom Andalousie, comme al andalous, vient du nom Vandalousie, non du royaume formé par les vandales, arianistes, dans le sud de l’Espagne. Voir http://histoire.fdesouche.com/al-andalus-le-mythe-du-vivre-ensemble, qui montre quelques exemples de jurisprudence de l’époque andalouse et voir aussi un autre mythe http://islamineurope.unblog.fr/2010/11/03/le-mythe-de-la-transmission-arabe-du-savoir-antique/ et aussi http://lahuppe.com/2013/12/11/la-dite-civilisation-araboandalouse-musulmane-est-une-mystification/ et enfin http://riposte.sefarade.over-blog.com/15-categorie-12203920.html

et aussi 

http://www.dreuz.info/2015/11/26/lapport-de-la-civilisation-arabo-musulmane-a-loccident-cest-de-lhumour/  et enfin https://www.dreuz.info/2019/11/01/670-millions-de-morts-lislam-est-la-religion-du-genocide-2/

[9] Lire notre page dhimmitude

[10] Hari Boumedienne, président algérien – discours à l’ONU en 1974 : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour faire irruption dans l’hémisphère nord, et certainement pas en amis. Car ils y feront irruption pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant de leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire ». En aout 2015, l’état islamique a menacé d’envoyer 500 000 migrants sur les côtes de l’Europe, et le Cheikh Mohammad Ayed précise dans un discours à la mosquée Al-Aqsa à Jérusalem en septembre 2015 : « Ils ont perdu leur fertilité, donc ils cherchent la fertilité dans notre milieu, nous allons leur donner la fertilité. Nous allons faire des enfants avec eux, parce que nous allons conquérir leur pays »
[12] https://youtu.be/M0h_82wLK20 protocole de Barcelone 1973- Alain Wagner
https://www.slate.fr/story/92641/christophe-guilluy-france-peripherique Christophe Guilluy – la France périphérique – 2014
https://www.youtube.com/watch?v=OXXZhwF-48Q J.P. Gourevitch – 2017
http://www.fdesouche.com/1184205-jean-paul-gourevitch-linsee-manipule-les-chiffres-de-limmigration J.P.Gourevitch – 2019
https://www.lepoint.fr/societe/exclusif-la-france-le-grand-bouleversement-27-02-2019-2296870_23.php – Jérôme Fourquet 2019 – l’archipel français
http://www.fdesouche.com/1184501-laurent-alexandre-la-france-sera-demain-cafe-au-lait-et-musulmane-cest-le-choix-que-nous-avons-fait-en-acceptant-limmigration-de-masse Laurent Alexandre
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/malika-sorel-la-non-assimilation-aboutira-a-la-mise-en-minorite-des-ideaux-francais-sur-notre-propre-sol-20190405#xtor=AL-201 Malika Sorel

Une réflexion sur “Guerre de razzias

  1. c.i.a. 27 Mai 2018 à 3 h 37 min Reply

    Ce qui est bien avec l`islam conquérant, c`est lorsqu`il sera « victorieux » et aura soumis tous ses adversaires, plus de « porcs de mécréants » pour souiller leur religion, mais plus personne pour entretenir les croyants.

    Alors, les différentes sectes chiites ou sunnites, feront ce qu`ils font le mieux : transformer des pays occidentaux prospères, en pays tier-mondistes et barbares sous la loi de leur charia, et s`entre-tuant par leur haine d`eux-mêmes et des autres comme depuis 1500 ans!, ils disparaîtront eux aussi!
    Voilà ce que l`islam de « paix, d`amour et de tolérance » réserve à l`humanité!, LE NÉANT!!!

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